Jïn et sa voie Maternelle

Un vent violent soufflait sur Suna. Le sable se levait brusquement et venait à piquer les yeux de Saï. A côté de Saï se trouvait Jïn. Ils étaient tout deux dans le désert de Suna, essayant désespérément à résister contre la fureur du désert. Les yeux de Jïn succombaient aux sables et le jeune Genin lâcha prise. Saï lâcha son point d’appui et essaya de rattraper Jïn qui s’enfonçait dans le sable. Aucun mot ne quitta leurs bouches. Ils restèrent silencieux. Et une lumière vint ramasser Jïn. Que se passait-il ?

Le soleil était fort éclairé et ses yeux venaient de s’ouvrir. Jïn s’éveillait lentement, il pensait au rêve ou plutôt au cauchemar qu’il venait de vivre. Ce rêve était brouillon, et Jïn n’en garda que peu de souvenir. Bref, il se leva en s’étirant longuement puis il relâcha ses bras en poussant un soupir de fatigue. Il poussa du bout des doigts les rideaux de la fenêtre principale et jeta un coup d’œil à l’extérieur. Il constata que tout allait pour le mieux à Suna. Toujours en pyjama, Jïn alla faire sa toilette puis s’habilla. Quittant le domicile, Jïn regarda devant sa porte où un paquet l’attendait. Il était emballé d’une manière particulière, celle de Saï ! Jïn s’empressa d’ouvrir le paquet et il découvrit ceci

Un Habillement ainsi qu’un masque. Cela faisait connaitre à Jïn la panoplie actuel de Saï. Celui-ci rentra chez lui et se vêtu en Mode Saï ! Cependant, Jïn aurait bien voulut recevoir un petit mot de Saï ou une petite adresse sur le paquet seulement, il n’y avait rien. Personne ne savait d’où provenait le paquet ni même qui le livrait. Une fois habiller, il y ajouta une cape noire qui le recouvrait jusqu’au pied. Puis il mit son masque. Une fois prêt, Jïn disparu derrière un nuage de fumée et réapparu quelques mètres plus tard devant l’hôpital. Une fois devant l’hôpital, il retira son masque et le cacha derrière sa cape.

Il entra dans l’hôpital et chercha le bureau de Chiyo-Basama, l’âme de Suna. Une fois le bureau repéré, Jïn toqua à la porte et y entra. Grand-mère se trouvait assise sur une chaise. Elle se faisait vieille mais ses nombreux talents dégageaient une telle jeunesse qu’on en oubliait ses rides. Jïn salua et se présenta :

« Ohayô gozaimasu. Je me présente : je suis Jïn Kurosawa, Genin No Suna »

Puis, il attendit tranquillement.

[Acquisition d’une cape noire et d’un masque qui lui confère + 2 en survie]

« Ohayô gozaimasu. Je me présente : je suis Jïn Kurosawa, Genin No Suna »

Attendant depuis deux bonnes heures sur son siège, Chiyo venait de voir un Ninja entrer dans sa salle. Ce Ninja était un des nouveaux Genin de Suna. La révèle du pays allait-elle être forte ? A première vue, ce Genin n’avait pas l’air très fort vu son physique mais la force d’un Shinobi ne résidait pas seulement au physique, il y a le mental qui joue un grand rôle. Chiyo savait déjà ce que voulait le Genin mais, elle fit durer la conversation

« Que puis-je faire pour toi mon enfant ? »

La vieille femme appelé Chiyo-Basama se tenait là assise. Son visage ridé laissait penser que Chiyo-Basama était une folle. Ses cheveux mal coiffés et ses vêtements extrêmement fatigué lui donner encore plus l’air d’une folle. Cependant, cette femme détenait entre ses mains les plus grands pouvoirs des Médical-Nin. Derrière Tsunade-Sama, le 5ème Hokage-Sama, Chiyo-Basama était la plus forte. Et se retrouver second en la matière l’avait rendu jalouse. Bref, Jïn attendait silencieusement tandis que Chiyo-Basama l’avait observé de haut en bas. Elle était bloquée au niveau de la cape de Jïn. Comment en cette période de l’année, où la température du soleil atteignait les 45 degrés, Jïn arrivait à supporter une cape. Sous cette cape était dissimulé un livre, un masque, des Kunai et des Shuriken ainsi que de nombreux parchemins. La vieille dame regardait ensuite les yeux de Jïn puis lui dit

« Que puis-je faire pour toi mon enfant ? »

Jïn écouta attentivement ce que disait la vieille femme. Il s’approcha silencieusement et se mit à réfléchir. Il se demandait qu’allait-il dire ? Puis, il regarda en l’air et dit en affichant un petit sourire

« J’aimerais être Médical-Nin »

Puis il regarda Chiyo-Basama. Être Médical-Nin, c’est aider les personnes coûtes que coûtes. Il est vrai que Jïn aidait ses partenaires mais, avait-il le pouvoir de les protéger ? Et d’où venait cette envie ? Jïn y avait réfléchi lors de sa dernière mission. Kagerou Lowa, jeune Genin de Suna avait été gravement blessé. Et à ce moment là, Jïn se sentit faible. Il n’avait aucune utilité à part transporter Lowa-Chan jusqu’au porte de Suna. De plus, lorsqu’il utilisa une technique, il vu un chakra étrange apparaitre. Ce chakra était d’une couleur vert, vert claire. D’après ce qu’il venait de lire, le Chakra vert est celui qui sert à soigné les Ninja. Il n’apparait pas aussi facilement, il faut qu’au moins un membre qui est relié à sa branche dans l’arbre généalogique ait cette faculté. Dans l’arbre généalogique de Jïn qu’il trouva dans un vieux tiroir chez lui, il remarqua que certain avait cette faculté. Et la dernière personne à avoir cette faculté est Kurosawa Niba. Il parle peu, et a toujours la moitié du visage dissimulé par un châle. Il se bat au sabre. En réalité ce ninja est un redoutable Médical-Nin qui combine ses attaques au sabre et ses Justus Médicaux afin d'extraire le sang de ses victimes, causant de redoutables hémorragies. On ignore si de telles pratiques lui procurent un réel plaisir ou le répugne, car son regard froid ne laisse rien paraitre, et son châle dissimule le peu d'expression qui pourraient filtrer. Ses victimes meurent généralement vidées de leur sang... Ce Ninja est actuellement un Sabaku No Bannin. Cet homme, c’est le père de Jïn. Son père protégeait les portes de Suna depuis la mort de sa mère, tué par des déserteurs. Et Jïn en conclu que cette faculté lui venait de son père. Après avoir plongé ses yeux dans le regard de Chiyo-Basama, Jïn ferma les yeux quelques secondes. Une tension étrange avait pris place dans le bureau. Et Jïn cassa cette tension en disant

« Je veux essayer de sauver ceux qu’on appelle amis. Non, je veux les sauver ! »

Un silence fut ressenti dans la salle après les paroles de Chiyo-Basama. Jïn s’approcha de la vieille dame et attendu. Quelques minutes plus tard, Jïn jeta ses yeux en l’air et resta figer en disant

« J’aimerais être Médical-Nin »

A ce moment, il baissa les yeux et fixa Chiyo-Basama. Il avait l’air très pensif à cet instant. Chiyo-Basama fixa à son tour Jïn. Yeux dans les yeux, les deux Ninja s’échangèrent des informations. Les minutes passèrent et les deux personnes restèrent dans la même position. Chiyo pouvait voir à travers les yeux du Genin sa détermination ainsi qu’un bout de son histoire qui défilait dans ses yeux luisants. Jïn ferma alors ses yeux empêchant la femme d’aller plus loin. Et il les rouvrit en disant soudainement

« Je veux essayer de sauver ceux qu’on appelle amis. Non, je veux les sauver ! »

Les yeux de Chiyo étaient emplis de larmes. Quels étaient les raisons ? Une tension qui rendait nerveux venait de se dissiper. Elle se leva et regarda par la fenêtre. Ce jour là, le vent soufflait à Suna et les clients à l’hôpital étaient nombreux. Chiyo-Basama cligna des yeux et dit avec le sourire

« Très bien ! Alors tu auras du pain sur la planche durant cette semaine, je pense que cela va être suffisant. Alors, lis ce livre. Tout bon Médical-Nin doit d’abord étudié avant de se lancer dans la pratique »

Chiyo-Basama déposa un livre sur son bureau. On entendit un bruit énorme ! Ce livre pesait lourd et son nombre de page étaient non mesurable.

Après ses mots, Jïn regardait Chiyo-Basama. Sa détermination se faisait encore plus ressentir et sa sincérité aussi. La sage femme observa le Genin les larmes aux yeux. Elle se leva et se mit au bord de la fenêtre. Jïn attendait patiemment la réponse de la vieille femme qui réfléchissait. Aider ceux qu'on appelle amis, se sentir utile... Jïn était si pressé de ressentir ses quelques émotions qui ne l'avait effleurer auparavant. Bien qu'il ne recevait que peu d'émotion, Jïn avait comme même un coeur... Il ne pensait qu'à ses coéquipiers. Après mûrs réflexions, Chiyo-Basama se retourna avec le sourire aux lèvres. Elle ajouta en clignant des yeux

« Très bien ! Alors tu auras du pain sur la planche durant cette semaine, je pense que cela va être suffisant. Alors, lis ce livre. Tout bon Médical-Nin doit d’abord étudié avant de se lancer dans la pratique »

« Hay, Chiyo-Basama ! »

Chiyo-Basama alla dans une pièce juste à côté. Dans cette petite pièce se trouvait une bibliothèque retenant tous les bouquins concernant la médecine et son histoire. Elle fixa les étagères et chercha un bouquin en particulier. Elle fouina les étagères et s'arrêta à la troisième. Cette étagères comportait les livres pour les débutants dans la médecine. Il y en avait cinq et sur les cinq, Chiyo-Basama prit le plus épais. Elle le saisis avec ses deux mains et le transporta jusqu'à son bureau. Ouvrant la porte avec son épaule, elle entra dans le bureau et posa le livre sur la table. Un bruit énorme retentit. Elle dépoussièrera la première page de garde d'un coup de manche et souffla dessus. Jïn dit

« Je pense que le dernier Genin ayant utilisé ce livre est Trey non ? »

Et elle quitta le bureau en acquiesçant. Jïn observa le livre attentivement. Il lu le titre puis remarqua que l'auteur de ce livre était la grand-mère de Suna: Chiyo. Jïn prit une chaise et la posta devant le livre puis, il commença à lire.

La première page parlait de l'origine du mot Médecine. La médecine vient du latin médicus qui veut dire guérir. C'est la science dont l'objet est à la fois l'étude du corps humain, de son fonctionnement normal, de la conservation de la santé, du dysfonctionnement et des divers moyens rétablissant la santé... Après avoir lu ceci, Jïn tomba sur le chapitre concernant l'anatomie. L'anatomie est aussi une science descriptive étudiant structure, la topographie et le rapport des organes entre eux. Elle désigne à la fois la structure d'un organisme vivant et la branche de la médecine qui étudie cette structure. Regardant attentivement ce sujet, Jïn finit par comprendre en apprenant et décida de passer à la suite: les plantes médicinales. Ceci lui serait très utile car Jïn souhaitait créer des médicaments, des antidotes, des poisons et autres de ce genre. Une plante médicinale est une plante dont un des organes, par exemple la feuille ou l'écorce possède des vertus curatives, et parfois toxiques selon son dosage. Jïn apprit par la même occasion qu'il existait des plantes appelé sauvage. Les plantes ont pour caractéristique de contenir une molécule complexe ayant un effet sur le corps humain. Ainsi, la digitale contient une substance agissant sur le cœur qui, bien dosée, est utilisée comme médicament (fabrication de la digitaline) mais qui est mortelle autrement et en particulier si l'on mange directement la plante. Si l'on s'en tient à cette définition, nous tombons vite sur un problème extrêmement complexe. En effet, on peut différencier les plantes de la manière suivante : les tisanes classiques : tilleul, menthe, verveine, camomille. Les plantes très toxiques utilisées par les laboratoires : digitales, aconit napel. Le tabac. Les drogues : chanvre (cannabis), morphine (pavot). Si Jïn voulait utiliser ses qualités d'alchimistes pour créer des poisons, il devait connaitre ses constituants.

Le soleil commençait à se coucher sur Suna et la fatigue pesait aux yeux de Jïn. Après avoir pousser un long soupir, Jïn s'étira puis quitta la salle. Il quitta l'hôpital et se rendit chez lui, avec première intention dormir. De plus, il avait retenu que le sommeil faisait parti de l'apprentissage.

Le lendemain, il était samedi matin et le soleil de Suna venait de se lever. Jïn Kurosawa était encore couché dans son lit, avec pour souvenir de la journée précédente un livre énorme. S'étirant doucement, il sortait de son lit avec l'espoir de finir le bouquin aujourd'hui. Ramassant des deux mains le livre qui trainait sur la table, il alla au salon et s'installa sur le fauteuil. Il ouvrit le livre et tourna rapidement les pages lourdes jusqu'au chapitre d'hier. Il remarqua qu'il ne restait qu'un court paragraphe qu'il lu rapidement. Ensuite, il était arrivé à un chapitre qui marque l'histoire appelé Eucalyptus. A Suna No Kuni, l'eucalyptus est très respecter car c'est la graine qui avait été planté au pied de sa tombe. Mais de la tombe de Qui ? Celle de l'ancêtre de Chiyo. Elle voulait autrefois créer une serre médicinale qui est aujourd'hui ici. Pour se faire, elle demanda l'autorisation au Kazekage-Sama qui était son frère. Celui-ci accepta en lui demandant de rechercher elle-même les graines des plantes à Konoha qu'elle mettra à Suna. Cependant, Konoha était en guerre et la vieille femme se retrouvait en plein milieu de cette guerre. N'ayant le temps de prévenir son pays, la vieille dame mourut. C'est à ce moment qu'elle fut enterré quelques temps plus tard dans le désert de Suna avec une graine d'eucalyptus devant sa tombe. eucalyptus est un puissant antiseptique des voies respiratoires. On peut facilement le cultiver en contenant à l'intérieur l'hiver et sur le patio l'été. Il existe une multitude de sorte d'eucalyptus, tous différents les uns des autres.

Le chapitre finit, Jïn arriva au chapitre contenant la médecine traditionnelle. Il existe des remèdes appelés immortel. Ces remèdes étaient basés essentiellement sur cinq substances canoniques: le réalgar, le soufre, l’ovre, la turquoise et l’améthyste. Certaines étant toxiques, un entraînement progressif d’immunisation était nécessaire. L’expression médecine traditionnelle se rapporte aux pratiques, méthodes, savoirs et croyances en matière de santé qui impliquent l’usage à des fins médicales de plantes, de parties d’animaux et de minéraux, de thérapies spirituelles, de techniques et d’exercices manuels pour soigner, diagnostiquer et prévenir les maladies ou préserver la santé.

« Très intéressant »

Jïn venait d'atteindre plus que la moitié du livre et il en était fier. Bien que cela soit chiant, fatiguant et ennuyeux, il en avait apprit beaucoup en deux jours et ce n'était pas encore terminer. Il se disait alors qu'il lirait encore un chapitre avant d'aller prendre l'air dans les rues de Suna d'où le soleil chaud envahissait le pays. Bref, il regarda le chapitre concernant les médicaments. Les médicaments, qu'est-ce que c'est ? Un médicament est une substance ou une composition présentée comme possédant des propriétés curatives, préventives ou administrée en vue d'établir un diagnostic. Un médicament est le plus souvent destiné à guérir, à soulager ou à prévenir des maladies humaines ou animales. Et il s'endormi... Le lendemain, Jïn venait de remarquer qu'il avait réussi à lire le bouquin. Il apporta rapidement dans le bureau de Chiyo-Basama...

Jïn déposa le bouquin sur le bureau de Chiyo-Basama en entrant. Il avait l'air déterminer. Chiyo ramassa le livre de ses deux mains et le déposa à sa place. Ensuite, elle rangea sa chaise et quitta la salle en disant

« Très Bien »

Elle avança et fit signe à Jïn de la suivre. Ils parcouraient les couloirs de l'hopital de Suna. Et elle s'arreta devant une salle. Elle ouvrit la porte et laissa Jïn entrer. Dans la salle se trouvait un homme attacher à un lit de malade. Il avait une ouverture qui commençait du bas du ventre au haut du torse. Du sang coulait à fleau et l'homme poussait des hurlements. Chiyo-Basama dit

« Voilà un prisonnier de Suna qui a essayé de s'enfuir de la prison. Mais, il a été rapidement rattrapper et les gardiens de prison avaient reçu l'ordre de blesser le prisonnier. Regarde dans quel étât pitoyable se trouve t-il ? Concentre-toi et malaxe ton Chakra. Une fois malaxer, tu dois essayer d'en extraire le Chakra curatif et l'appliquer sur la blessure. Si tu n'arrive pas à le soigner, il mourra certainement dans l'heure qui suit. De toute les manières, ce n'est pas une grande perte... »

Et Chiyo quitta la pièce en laissant quelques instructions au tableau qui était accroché sur un des murs de la pièce.

Il apporta rapidement le bouquin dans le bureau de Chiyo-Basama qui était toujours assise sur son fauteuil. Celle-ci se leva et prit le livre pour le ranger. Puis elle ouvrit la porte et sortit en disant

« Très Bien »

Et elle fit signe au futur Médical-Nin de la suivre. Déambulant dans l'hôpital, Jïn aperçu lors de cette visite de nombreux habitants de Suna, pour la plupart gravement blesser. Certains se noyaient dans le bain de sang qui les entouraient, d'autre s'habituait aux béquilles... L'hôpital de Suna n'était pas un endroit où le sourire était le bienvenu. Jïn rangea discrètement son sourire. Et il continua à suivre Chiyo-Basama. Elle s'arrêta soudainement devant une porte qu'elle ouvrit. Jïn entra en premier dans la salle suivi de Chiyo. Un lit d'hôpital s'y trouvait ainsi que du matériel pas très sophistiqué. Sur le lit d'hôpital se trouvait un homme, bras et jambes attachés, poussant des cris en sanglotant. Le drap de son lit avait viré au rouge à cause de la fontaine de sang qui émanait du ventre de l'homme. Il semblait mal en point. Au beau milieu de son ventre, il avait une ouverture qui remontait jusqu'à son torse. Malgré cette atroce scène, Jïn n'avait laissé paraitre aucune expression et Chiyo-Basama pouvait apercevoir le sang froid du jeune Genin ! Elle dit

« Voilà un prisonnier de Suna qui a essayé de s'enfuir de la prison. Mais, il a été rapidement rattraper et les gardiens de prison avaient reçu l'ordre de blesser le prisonnier. Regarde dans quel état pitoyable se trouve t-il ? Concentre-toi et malaxe ton Chakra. Une fois malaxer, tu dois essayer d'en extraire le Chakra curatif et l'appliquer sur la blessure. Si tu n'arrive pas à le soigner, il mourra certainement dans l'heure qui suit. De toute les manières, ce n'est pas une grande perte... »

« Bien que ce ne soit pas une grande perte, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour le sauver. Non ! Je le sauverais ! »

Et Chiyo quitta la pièce en laissant quelques instructions au tableau qui était accroché sur un des murs de la pièce. Jïn s'approcha de ce mur et lit les instructions. A première vu, les instructions avaient vraiment l'air facile mais, Jïn savait qu'il ne devait pas se fier à çà. Alors il commença. Jïn alla vers la table de soin et ouvrit une boite. Il prit dans cette boite une aiguille et une paire de gant. Il enfila rapidement la paire de gant et il saisissais l'aiguille. Jïn enfonça l'aiguille dans le bras de l'homme et celui-ci s'endormit. Cette aiguille contenait un liquide tranquillisant. Une fois l'homme endormit, le Genin se concentra afin de rendre son Chakra catalyseur des réactions cellulaires de son corps. Jïn savait que s'il voulait réussir, il devait avoir une compréhension et une assimilation parfaite de la réplication cellulaire. Et, la lecture de son bouquin sera à cette instant utile. Jïn visualisa la plaie et se concentra. Il mit ses deux mains devant la plaie et resta concentrer. De ses mains sortaient du Chakra. Seulement, le Chakra utilisé pour exécuter des techniques et le Chakra dit curatif utilisé pour soigné des blessés est différent. Un Chakra bleu apparaissait autour des mains de Jïn qu'il appliqua sur le corps de l'homme. Il essaya d'accélérer la multiplication des cellules et au bout de quelques minutes, il réussit. Puis il modela son Chakra pour en sortir du Chakra curatif ! Le Chakra qui était dans les mains de Jïn avait viré au vert. La blessure se refermait très lentement mais surement. Il allait vivre et Jïn avait réussi !

5 Xp + Titre de Médical-Nin + Un livre sur L'Anatomie