Planete Naruto
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L'histoire originale du jeu de rôle du quatrième âge de la terre du milieu
Tchat Blablaland
Le couteau suisse du montage photo
Runes Of Magic
Tchat Blablaland


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 Présentation Kigafureru Mugen [en cour]

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AuteurMessage
Kigafureru Mugen
Civil
Kigafureru Mugen


Nombre de messages : 112
Age : 31

.::RPG::.
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MessageSujet: Présentation Kigafureru Mugen [en cour]   Présentation Kigafureru Mugen [en cour] Icon_minitimeDim 6 Sep - 20:24

~~Présentation~~
Nom:Kigafureru
Prénom:Mugen
Age:25 ans
Grade souhaité: Raï no Ragan
Physiques:
Qualités:
Défaut:
Peur:
La peur... Pour lui, la peur est absolue, c'est une arme, c'est une amante, c'est une ennemie... La terreur qui le dévore chaque jour, à chaque instant, à chaque seconde, c'est qu'il perde tout. Il ne veut pas que tout ce qu'il a fait, tout ce qu'il a créé pour son plaisir disparaisse, cela inclut aussi la vie. Cependant, même si il la combat, même si il la surmonte, il ne la déteste pas pour autant. C'est cette pression constante qui le stimule, qui le fait progresser, car après tout, sans objectifs, même la vie d'un homme dédié à son plaisir perd sa saveur. Alors il l'apprécie, comme l'on apprécie un bon vin, son amertume et son acidité sont à la limite de l'insoutenable, mais mélangé à sa personne, ces arômes prennent toutes leurs valeurs. On voit au travers de cet être à moitié fou et parfois lâche, une sorte de méchant héros qui pourtant, fascine quelque part. Son origine alimente sa folie, et c'est cette folie qui lui a donnait sa force, et c'est cette même force qui alimente sa peur. Oui, car si jamais on découvrait qui il a été dans le passé, alors... Il perdrait vraiment tout, y comprit sa propre vie.


~~ L'histoire ~~


Chapitre I: Prélude


Vous êtes là? Venez, venez. Aujourd'hui, je vais vous parler d'une étrange histoire, que je commenterais selon mes habitudes. Attendez juste le temps, que... Je prenne ce vieux livre épais et que... Un nuage de poussière se dégage. Gomennasai, kuf, kuf, mais il fallait bien, je l'ouvre, et c'est maintenant que va débuter le récit de ce jour. J'espère qu'il sera à votre goût. Tout commença, avec un gentil garçon. C'était le fils d'une très bonne famille de bourgeois dans le pays du riz. Il était le cadet de la famille, donc, il ne pourrait hériter de son père, tout comme cela faisait en ce temps. C'est pourquoi, cet homme, qui voulait assurer l'avenir de son enfant, décida de l'envoyer dans une prestigieuse académie, où il avait un très bon ami. Tout du moins, c'était ses projets, car, son second fils avait hérité comme l'ainé d'une grande intelligence. C'est une belle famille n'est-ce pas? La mère était encore en vie, ne vous inquiétez pas, cette histoire prend du temps avant de devenir comme les autres tragique. La mère était une véritable femme modèle, peu dépensière, soumise à son mari... Je vous entends vous offusquer, tout du moins certaines, mais en cette époque, elle était la parfaite épouse. Donc, donc... Reprenons, cette belle et riche famille vivait une vraie idylle. Le père achetait de nombreux livres de médecine au cadet, alors que l'ainé était formé par son père, à succéder à celui-ci, dans son entreprise d'importation et d'exportation. Bâillement. Je sais, cela est d'un ennuie, d'une platitude, mais bon nombre d'histoires ne commencent pas ainsi? La suite, dans tout les cas, est aussi monotone que l'est un tournoi d'échec au ralenti. Il y eut de nombreux moments heureux, des fêtes grandioses, et d'autres encore plus miraculeux. En effet, l'ainé se maria avec une fille unique d'une grande famille dirigeant de nombreux ateliers. Ainsi, cet hymen d'amour mutuel, fut un des plus grands moments de cette existence médiocre, qu'ont partagé cette famille. Le summum fut atteint, lors de la naissance du premier enfant de ce couple heureux. Un garçon bien potelé et plein d'énergie, apporta une sorte d'euphorie dans les familles parentes. Le cadet était bouffi d'orgueil d'être l'oncle et le parrain de ce «miracle». Un grand mot pour pas grand chose, il y a tellement de naissances, que cela ne mérite pas ce genre de terme. Je me fais peut-être démon à vos yeux, ou simple cynique dénigrant ce qui complaît à l'homme, cependant je suis et resterai franc. C'est bien beau tout ça, mais vous attendez certainement le suite du récit? Hein? Intéressant. Passons maintenant à la description du cadet, peu avant le moment fatidique. C'était un homme d'apparence, un de ceux auquel on donne du talent, si l'on ne le connait pas. C'était une sorte de coquille vide, emplie de stupides vanités, il était de ceux qui sont capables de colères noires, mais qui vite par lassitude, oublie cette haine. Un être aussi indifférent que fade, il était juste comme une image floue et quelque peu mystérieuse, qui une fois dévoilée, ne fait que décevoir. Malgré ses capacités limitées, sauf en ce qui concerne l'intellect pur, il réussit à se hisser si loin dans sa spécialisation de psychiatrie, qu'il allait devenir un éminent membre de la communauté scientifique. Pour cela, il devait rendre une thèse appuyant ses recherches sur les folies. Il avait été largement aidé par son frère, mais bon, il devait la rendre à une heure précise, sinon, il devrait attendre encore un an. C'est pourquoi, la veille, il n'arriva pas à dormir. Ainsi, le lendemain, il se leva tard, ce qui eut pour conséquence, de le mettre en retard pour son rendez-vous. Il se mit en selle, et s'en alla vers son académie. C'était un de ces jours, que je suis le seul à réellement apprécier. Vous savez, lorsque le ciel est noircie par des nuages menaçants bougeant sans cesses, tandis que le vent vous fouette le visage d'un air lourd et tiède. Ce sont ces sensations liées à ce temps orageux, qui déchaînent en moi la passion d'écrire, et d'imaginer. Sur le chemin de terre battu menant à la ville, il y avait un vieil homme. Un bien étrange vieillard au corps desséché, s'était assit sur le chemin. Il avait d'énormes sourcils broussailleux, qui cachaient ses yeux. Il avait une canne, et semblait tenter vainement, de cacher une infirmité, il semblait boiteux. Il vit passer ce jeune homme et lui hurla:
«Seigneur! Vous qui êtes grand et riche, pourriez-vous aider un pauvre vieillard? J'ai du mal à marcher, et j'aimerais me rendre à la ville. Alors je vous en pris, respectez votre karma, et offrez moi le soutien de ce magnifique animal.»
Cependant, le garçon était bien trop en retard, et faisait donc galoper son cheval. Il ne put entendre la supplique du vieux boiteux, bien il l'ignora sciemment dans son immense égoïsme. Celui-ci parut pensif devant cette réaction. Il était comme un juge prêt à annoncer sa sentence, pesant une dernière fois le pour et le contre. Finalement, le jeune arriva à l'heure, et put rendre ses recherches, ce qui lui permit de publier ses observations et raisonnements, avec l'appuie de l'académie. Cependant, quelque chose le travaillait, il ne se souvenait pas clairement du chemin qu'il avait emprunté au galop. Il avait comme un trou de mémoire, et ce depuis le moment où il avait croisé l'énigmatique vieillard. Plus tard chez lui, alors qu'on prenait le repas, le père parla de la grande fête qu'il allait organiser en l'honneur de son fils cadet. Cependant, plus tard, le maître de maison, parla d'un meurtre. Un vieux boiteux avait été tué près de chez eux, piétiné par un cheval. Troublé par ces détails, le jeune agrégé, alla sur les lieux du crime. Cependant, le chemin disparu sous ses yeux, le laissant erré dans un épais brouillard. C'est alors, qu'il eut une sorte d'étrange impression, un déjà vu. Il était déjà passé par ici, pourtant, il n'en était pas totalement sûr, c'était plutôt une sorte d'intuition. Il continua de marcher, encore et encore. C'est alors, qu'il trébucha... Il avait marchait sur un homme, qui se releva péniblement, c'était le vieillard d'hier. Le brouillard disparut, et il put apercevoir la ville où souhaiter aller ce vieil homme. Le jeune homme se sentit alléger d'un horrible fardeau, non pas de la culpabilité d'un meurtre, mais de celui d'avoir peur pour sa petite vie bien réglée. C'est alors qu'il rentra chez lui, et ce qu'il y vit n'était pas croyable. Il vit une sorte d'incendie gigantesque, où des squelettes armés de faux, exécutaient une danse macabre, fauchant la vie de sa famille et de ceux invités à la fête organisée en son honneur. Au milieu d'eux, il put voir le même vieil homme, qui se métamorphosa en divinité sous ses yeux. Le dieu s'assis sur son trône de crâne, et prononça sa sentence:
«Pour n'avoir été ni bon, ni mauvais. Pour n'avoir ni aidé, ni craché sur un vieillard, je te condamne à subir la folie. Cependant, je te donnerai une sorte de cadeau. Un esprit intact pour lutter contre cette affliction. Chaque jour de ta vie sera désormais un combat contre toi-même, et ce destin sera partagé par ta descendance, qui saura en prendre avantage. Désormais, je te maudis en mon nom!»
Le dieu apparut soudainement devant le jeune homme, qui tomba en arrière avec un horrible cri de terreur bloqué dans sa gorge. Le terrible homme qui faisait plus de trois mètres, apposa sa main sur le front du mortel, sa paume se mit alors à rayonner d'une façon malsaine, tandis que le jeune homme se tordait de douleur. Malgré toutes ses plaintes, et tous ses mouvements, la main semblait comme collé à son front. Il hurla un dernier hurlement rauque, avant de sombrer... Il se réveilla alors dans sa chambre. Il était en sueur, avait-il rêvé? C'est alors, qu'il entendit un son, comme un craquement ou un souffle, il se retourna... C'est alors qu'il vit le kami lui disant: «Tu es désormais maudit pour l'éternité, tu vivra dans ta propre folie, jusqu'à la fin de ta personne.» Le jeune homme hurla à nouveau, et c'est ainsi que naquit la malédiction d'un clan de dégénérés. Mais en vérité, ce n'est qu'un récit parmi une mythologie chaotique, après tout, les fous ne sont que rarement ordonnés, à moins que ce ne soit une sorte de manie malsaine, bien sur. Bientôt la suite de cette histoire commencera. La vraie histoire arrivera bien assez tôt après cet autre récit, mais pour l'instant... Oyasumi, et à bientôt pour la suite du récit sur l'existence de Kigafureru Mugen.

Chapitre II: Devenir fou, c'est-être abandonné

Ah! Konbanha! Vous êtes pour continuer notre histoire? Je vois, donc, reprenons au moment où la folie s'installa en lui. Quelque part, c'est le comble de l'ironie, de voir un brillant psychiatre devenir fou, mais bon, ce ne doit pas être drôle pour celui qui le vit. Après qu'il ait hurlé suffisamment pour réveiller toute la maisonnée, toute sa famille vint le voir. Ils ne trouvèrent que, une chambre dévasté et le maudit en pleine convulsion. Le cauchemar ne faisait que commencer, car, sa crise s'arrêta, et il se releva, avant de jeter tout ce qu'il trouvait sur sa propre famille. Il avait les yeux exorbités, de la bave aux lèvres et un teint pâle. On aurait dit qu'il était fou, mais aucunes maladies ne pouvaient y correspondre. C'était invraisemblable, surtout pour l'époque, on l'on considérer que la folie venait d'esprit malsains, qui s'étaient incarnés dans la tête des malheureux. Alors, toute sa famille battit en retrait vers le salon, pour en parler:


"Mon fils, ton frère est devenu fou. C'est horrible... L'héroïque vieillard fondit en larmes... Je ne sais pas quoi faire... Je l'aime, mais...

-Chéri arrête... C'est dur, je le sais, mais il faut que tu sois aussi fort qu'à ton habitude... C'est ce que souhaiterais ton fils, si il allait bien... La douce vieille femme fondit en larmes à son tour.

-Père, mère... L'ainé est comme abasourdi par ce qu'il a vu. Il faut nous rendre à l'évidence, frère a dut gravement offenser le ciel... Allons porter des offrandes aux kamis... Il n'y a rien d'autres à faire pour lui... C'est toujours mon frère, même si il est fou, et il le restera..."


Toute la famille pleurait, alors que les bruits venant de la chambre augmentaient, s'accompagnant de cris de damnés. Cet endroit respirait la détresse la plus profonde, pourtant, le pire n'était pas encore arrivé. Dans sa chambre, le fou s'était calmé. Il était allongé sur le dur et froid sol de pierre. Son regard vide, et ses larmes... Ses poignées entaillés et son air malingre... Tout cela lui donnait l'air d'un spectre maudit depuis la nuit des temps. Il n'était plus qu'une ombre, une loque, sans volontés, ni courages. Il s'endormit lentement, se laissant porté par une douce somnolences sans souffrances. Dans son sommeil, on aurait dit qu'il était mort. Il respirait si faiblement, que sa cage thoracique se soulevait à peine. Combien de temps pourrait-il encore se reposer, avant que son tourment ne reprenne? Quelques minutes apparemment, car encore endormit, il se leva... Somnambule? Intéressant ne trouvez-vous pas? Il ouvrit la porte, et s'engouffra dans le couloir. Il marchait lentement, mais sûrement, connaissant cet endroit par cœur. Au bout d'un certain temps, il rejoignit la cuisine, où il se saisit d'un grand couteau. Son visage se mua dans une expression démoniaque. Cette grimace souriante, était tellement grotesque, que l'on aurait dit un masque. Il marcha d'un pas lent, mais décidé. Il arriva alors, au salon où la famille entière était prostrée. Il utilisa son couteau pour détruire le paravent, d'une façon si brutale, que la famille le remarqua. Devant le spectacle horrible de cette marionnette, seul un cri unanime de terreur pouvait-être la réponse. C'est ainsi, que notre cher fou se réveilla, hurlant à son tour son incompréhension. Je sais, mon âme est quelque peu perverse à se régaler d'un tel festin, mais au moins je le partage avec vous; je ne suis pas seul. Savourons ensemble ce délicieux repas qu'est le récit sombre d'une chose irréelle, ou pas. Le meilleur est à venir mes chers vautours, car nous allons voir comment cette famille parfaite va réagir face à l'horreur. Pour l'instant, nous allons nous contenter d'attendre un peu, le temps que tout de met en place. La femme du bon frère pleurait, tandis que les deux vieux parents étaient comme statufiés. Seul l'ainé qui réconfortait sa femme, commençait à haïr un peu son frère. Il l'aimait, bien plus que n'importe quel autre frère. Cependant, il aurait put le tuer, il aurait put tuer sa femme, toute sa famille... Il ne le supportait pas, dans son esprit, une idée assassine était née. Même si il devait attendre, il avait proposé d'aller voir les kamis, donc ils iraient. En attendant, il le laisserai seul ici, avec de la nourriture, mais, sans que personnes ne l'approchent. Ce qui fut le cas, tandis que cette communauté se rendit dans un temple, où de nombreux kamis avaient leurs prêtres, et où une prophétesse exprimait la volonté des kamis. Ce lieu a aujourd'hui disparut, était à l'époque, l'un des édifices les plus beaux et les plus luxueux. Entièrement construit dans un magnifique marbre immaculé, et orné de fins dessins dorés. Cet édifice était si beau, que l'on pouvait sentir de façon palpable, la force et la gloires des kamis en ces lieux. Toute la famille s'était vêtue avec leurs plus beaux vêtements, afin d'offrir des offrandes pour pardonner l'homme rendu fou. Pour cela, ils avaient acheté le meilleur des sakés possibles, et préparé de délicieuse boulettes de farine de riz et de noix de coco, fourré avec de la gelé d'haricots rouge sucrée. En plus de la nourriture et de la boisson qui était traditionnelle. Ils offrirent un don conséquent d'or et d'œuvres d'arts. Pour tout ces bienfaits, le maître du temple en personne, participa à la cérémonie. Après les avoir longuement purifié, il les fit se prosterner devant un autel représentant une foule de kamis. La pièce se recouvrit d'une étrange fumée, elle l'odeur de l'encens, mais cela n'en était pas. Une sorte de pression s'installa, alors que même le grand prêtre avait peur, il n'avait jamais cru cela possible. Les kamis venaient vraiment en personnes, c'était incroyable, tout cela, juste pour un mortel. C'était étrange, non? On voit bien que c'est un récit imaginaire, n'est-ce pas? Tout du moins, je l'espère... Car, une immense lumière envahit ce lieu. Nuls personnes n'osa pousser un seul cri, la tension était à son apogée, alors que les kamis descendaient sur terre. On put entendre de nombreux sons, des chevaux, des calèches, des porteurs... Lorsque finalement, la fumée se fit moins dense, les statuettes représentants les kamis se mirent à luire. Une voix se fit entendre:


"Pourquoi tant de tristesses? Pourquoi nous avoir appelé?

-Oh, kamis, nous vivons des moments funestes. Mon frère est devenu fou, son âme est consumé. Nous ne connaissons pas la cause, mais mon frère a du profondément vous offenser, c'est pourquoi, j'ai apporté ces offrandes, afin d'alléger son fardeau.


-C'est moi qu'il l'ai maudit. Je suis un kishin, auquel il n'a pas tenu les engagements ordinaires. C'est pourquoi, il se battra pour l'éternité contre lui-même, ainsi que toute sa famille. Tout du moins, ceux qui naîtront... Ce monstre se met à rire d'une étrange manière... je suis près à vous assurer une descendance normale, et même bénite, à condition d'aller loin vers le nord. Jusqu'à ce que les plaines laissent place aux montagnes. Là-bas, vous me construirez un autel, et c'est là-bas que votre bonheur sera assurer.

-Comment as-tu osé faire cela? Une bonne famille qui nous vénérez, et cet homme je peux assurer qu'il a toujours été un dévot. Humains, je suis prête à alléger le fardeau de sa malédiction. Pour cela, vous devrez le laisser seul. Il vivra lui, et ses semblables dans votre demeure, qui jamais ne s'écroulera. Sa folie diminuera, mais il devra toujours lutter contre elle. Ainsi ai je parlé, et ainsi les kamis l'ont décidé.

-Nous vous remercions seigneurs." Dirent-ils unanimement.

Peu à peu, la tension disparue, tout comme la fumée, le grand prêtre partit... Tandis que la famille restait prostrée contre terre, pleurant de chaudes larmes. Après ces révélations, il y avait dans le cœur de ces bonnes personnes, une sorte de plaie béante. Il y avait un abysse d'amertume et de vide, d'une douleur presque infinie quelque part.... Tout cela semble des grands mots, non? Oui, je viens casser ce moment ennuyant. Après tout, ce genre de chose est si commune, si inintéressante, mais ce qui en découlera le sera assurément à mon avis. Donc, je continue sur la description de cette tristesse infinie pour ceux et celles qui la subissent. Le père hurlait presque, la mère geignait, l'ainé serré les points et la femme hoquetait entre ses larmes, pour ce gentil beau-frère qu'elle avait. Que tout ceci est mièvre, encore une fois je me plains, mais bon, accélérons les choses. Il prend la télécommande? On n'est pas en train de lire un livre là!? Bon, bon, touche accélérer. Et voilà, nous voici au moment où ils quittent le temple c'est mieux, mais c'est pas encore assez loin, bordel! Il tape sur la télécommande... Il y a plus de pilles Tant pis, vous pourrez voir cette magnifique scène au soleil couchant, avec des personnes abattues, qui se mettent à cheval pour rentrer chez eux. Rapidement, de sombres nuages s'accumulèrent, alors, que les esprits de ce groupe s'égaraient, sur les sombres chemins de la culpabilité, et en même temps de la haine.
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