Présentation de Kanzaki Koichi [15 Exps]

Nom : Koichi
Prénom : Kanzaki
Age : 17 ans (née le 12 décembre)
Lieu de naissance : Konohagakure no Sato

Physique : Kanzaki ne ressemble pas tellement à une kunoichi pour un œil non averti (quelqu’un qui s’y connaît, comme un ninja expérimenté, ne devrait pas s’y tromper lui). Elle n’est pas très grande et ne semble pas très musclée, ses épaules et ses hanches sont fines, sa taille est svelte, ses bras et ses jambes sont menus et il est difficile de voir en elle quelqu’un d’excessivement athlétique. Mais il ne faut pas s’y tromper, certes la portée de ses poings et de ses pieds n’est pas grande, mais elle sait s’en servir avec force, et elle compense son manque de puissance par plus de souplesse et de précision !
Sa poitrine contraste harmonieusement avec le manque de consistance de son physique, sans toutefois aller jusqu’à l’extrémité « Tsunadienne », ce qui la rend assez féminine et qui peut être un atout pour une kunoichi en mission.
Elle a une peau claire, ferme et particulièrement douce dont elle s’est efforcée de prendre soin pour contrer les malmenages qu’elle a enduré dans sa vie de shinobi. Elle a un lotus blanc tatoué dans la paume de sa main droite, et un autre noir dans la main gauche, tatouages qui l’aide à la fois à maîtriser ses techniques, et qui ont une forte connotation nostalgique.
Kanzaki a une longue chevelure rousse avec une franche qui lui balaye ses yeux bleus. Souvent elle coiffe ses cheveux en ramenant ceux sur le côté derrière en hauteur à l’aide de broche (mais ce n’est pas toujours le cas). Son visage est féminin mais sans excès, il a encore de légers traits enfantins, avec son petit nez au milieu de son visage, sous ses yeux en amande et au dessus sa bouche rose.
Ce qui fait le plus qu’elle ne ressemble pas à une kunoichi c’est son look. Elle ne porte que rarement les traditionnelles tenues de kunoichi, préférant s’habiller de robe voilée, d’habits à dentelles, avec des accessoires, des fleurs, etc. Mais on la trouvera cependant certaines fois dans des styles plus conventionnels, selon son humeur et les besoins de la situation. Parfois elle porte également des déguisements comme s’ils étaient des habits normaux. Le mystère est de savoir si elle les fabriques elle-même ses fringues ou dans le cas contraire où elle peut bien se procurer des affaires comme celle là ?
Elle a un mystérieux kanji que personne ne connaît tatoué sur la bouche. D’où vient-il ? Suffit de lire l’histoire !

Taille : 1m55
Poids : Information classée top secrète (réaction typique : elle a un poids normal voire légèrement sous la moyenne mais s’avoue volontairement trop grosse et dévoilerait son poids seulement sous la torture).
Cheveux : Roux.
Yeux : Bleus.
Groupe sanguin et rhésus : O négatif.

Personnalité : Kanzaki possède deux aspects, celui qu’elle garde pour elle-même : un esprit d’analyse à la fois pragmatique et philosophique. Elle aime réfléchir, étudier, comprendre et se livre à diverse masturbations intellectuelles, parfois inutiles comme le sudoku XD
L’autre aspect qui semble être celui qui est le plus naturel et qu’elle manifeste couramment, c’est son côté fofolle et décalée qui n’est pas très conforme pour une kunoichi. Elle aime exagérer les choses, n’a pas peur du ridicule, et fait souvent d’une montagne un fromage et inversement. En réalité elle n’est pas mentalement déficiente, c’est simplement que ça l’amuse d’être comme ça, et sa philosophie c’est de vivre à fond ses journées.
Elle est psychologiquement forte mais assez susceptible, sauf pour une chose, elle accepte sans rancœur qu’on mette en cause ses compétences de ninjas. Cela étant sa profession, elle pense qu’on ne peut la juger que sur le terrain et au long terme et les critiques, sauf si elles sont fondées, lui glissent dessus. Par contre, mieux vaut éviter de critiquer ses manières de manger des bonbons au milieu d’une mission périlleuse, ça l’énerve !
Ses deux points faibles sont l’alcool et les bonbons.

Qualités et défauts : Elle se remet facilement des épreuves difficiles mentalement, elle possède un certain nombre de qualités sociales mais étant parfois lunatiques, cela peut s’avérer trompeur… Elle a fort esprit d’analyse mais se laisse facilement distraire. On aime ou pas, mais elle est plutôt rigolote. Elle est très solidaire avec les « siens », mais devenir une telle personne n’est pas si facile. Elle est allergique aux poils de lapin, ça lui donne des boutons…

Peurs : Kanzaki n’a pas excessivement peur du noir mais elle craint les ténèbres et particulièrement les nuits sans lune ou bien celles où le ciel est si nuageux que rien ne passe. Elle a une crainte maladive des insectes aussi inoffensifs qu’ils puissent être (enfin, il y a des exceptions, comme les coccinelles et les papillons) et sa pire frayeur sont les revenants (zombies, spectres, fantômes, etc.).

Souhaits : Elle aimerait trouver un sens profond à sa vie, un fil à suivre et c’est là que va commencer son aventure sur PN. Elle s’imagine former une équipe avec des Genin. Sentimentalement elle n'a pas tellement d'envie, si ce n'est un "homme à son service" avec un physique à la Uchiwa (lol)

Histoire :




Les guerres sont des choses que les gens éclairés au moins un minimum se doivent de qualifier des pires noms. Mais si on raconte que ces moments sont propices a engendrer des hommes à la barbarie exécrable, on peut aussi avouer que ces sombres temps nous offre parfois des personnes remarquables, des prodiges de philanthropie en face des génies de la guerre. C’est ainsi que durant la guerre qui suivit la disparition du troisième Kazekage, un homme que l’on a qualifié d’admirable fit parler de lui pour la première fois, c’était Hattori Koichi, l’un des héritiers des pouvoirs du Shodaime Hokage. Cet homme n’a évidemment pas permis la suprématie de Konoha, son village, sur les pays des Gokage et leurs alentours, ça se saurait, mais il a contribué à ce que la cité des feuilles tienne toujours debout après les conflits et c’est déjà quelque chose qu’il fallait faire. Certes il n’était pas le seul héros du pays du feu, mais ça n’enlève pas moins à son mérite.

Mais s’il y a des héros, il y a aussi des gens plus anodins, nécessaire à la société mais pas indispensable, comme Shinji Koichi, le petit frère de Hattori. Sa maîtrise de l’art d’utiliser les techniques de bois était peu convaincante comparée à celle de son frère, et peu de gens connaissait son prénom, même s’il accompagnait la plus part du temps son aîné qui ne souffrait d’aucun défaut de notoriété. Shinji malgré tout se satisfaisait de sa situation et épousa une jolie fille du nom Kaori Kudan.

Kaori faisait partie de ces médecins qui n’avaient pas reçu d’entraînement militaire de shinobi et était incapable de se battre mais maîtrisait le pouvoir de son chakra pour exécuter quelques techniques médicales bien pratiques dans sa profession. Outre le fait que son métier faisait penser à juste titre qu’elle fut une personne altruiste, ce qui la caractérisait aussi principalement était qu’elle fut particulièrement belle. Pas une beauté transcendantale toutefois mais elle était suffisante pour que le jeune Shinji tombe éperdument amoureux de cette femme médecin à la vénusté jalousée, svelte, rousse, au visage fin, et qu’il fit tout ce qu’il put, avec succès, pour obtenir sa main. De leur union naquit une fille unique : Kanzaki.





A la fin de l’automne, un peu avant la mi-décembre naquit Kanzaki au sein d’une des branches de la famille Koichi, du village caché des feuilles au pays du feu, cousins éloignés de la dame qui était à la tête de la chefferie du village, vint à la vie une petite fille à la coiffe rousse, fille unique et aimée de Kaori et Shinji.

Au mois de Juin, plus de trois ans après la naissance de sa fille, Kaori se tenait dans le jardin de sa propriété, assise sur un banc, regardant les fleurs et se remémorant sa rencontre avec Shinji son mari. Elle était une jeune femme médecin, attachée au village de la feuille, qui plus jeune avait échoué ses examens à l’académie de shinobi, renonçant ainsi à une quelconque carrière de kunoichi. Et cet homme, ce beau brun aux yeux bleus pas très grand mais si mignon, timide et dans l’ombre de son frère, elle fut la seule à le remarquer, et lui-même la remarqua, trois semaines plus tard, après des regards partagés, les premières conversations, les premières caresses, les premiers baisers, les premières émotions, les premiers émois, Shinji la demandait en mariage, ce qu’elle accepta et se fit moins de six mois plus tard. C’était des jours heureux qui avec la naissance de Kanzaki ne s’interrompit pas le moins du monde, Shinji étant un père et un mari attentif bien que régulièrement absent.

Mais le malheur de Kaori qui devint aussi celui de sa famille par la force des choses, c’était qu’elle fut malade, non pas d’un mal simple, mais d’une infection de l’esprit très insidieuse : la schizophrénie. Ce genre de maladie a pour habitude de se manifester à l’adolescence, la plus part du temps au plus tard à une vingtaine d’années, mais dans ce cas là la première manifestation se fit en ce mois de juin où elle se tenait dans son jardin, portant sa fille de trois ans dans les bras. Et comme si cette maladie refoulée avait échauffé la pression en restant en sommeil, son réveil fut violent, mais pas d’une violence visible, mais plus subtile : Kaori posa sa fille sur le banc comme si ce n’était qu’un objet, attrapa l’une de ses poupées, et se mit à l’appeler « Kanzaki ». La mère avait reporté la conscience de sa fille sur un objet, et entra dans une folie qui la coupa du monde. Elle se mit à genoux et borda son nouveau « bébé » qui ne grandirait jamais. Kanzaki, elle, pleurait, sur le banc, et ne fut trouvée que par son père, le soir même, très tard.

Depuis, Kaori était placée en maison de repos, on tentait de la soignée sans succès… Kanzaki quant à elle dû être élevé par une nourrice, perdant peu à peu le souvenir du parfum de sa vraie mère qui l’avait abandonnée…





Kanzaki avait douze ans lorsqu’elle réussit l’examen Genin. Elle était même l’une des élèves les mieux notées de sa promotion. Il y avait un adjectif qui la qualifiait très bien : « sérieuse ». Il fallait comprendre que n’ayant pas de famille si ce n’était un père très souvent en mission, Kanzaki souffrait d’un grand déficit d’affection, et ainsi qu’elle cherchait comme c’était peut-être souvent le cas dans les cas similaires, un ersatz « d’amour » auprès de ses professeurs lorsqu’ils la félicitaient pour ses notes : voilà pourquoi elle travaillait dur, pour une semi émotion de considération. C’était peut-être difficile à comprendre, mais la gamine n’était pas du genre à exprimer ses émotions ni son mal-être, alors…
Comme tous les Genin, elle forma un trio avec ses semblables. Il y avait d’abord Rin Kimochi, jeune garçon du même âge, plutôt agréable à regarder, il semblait plus mûr et mesurait une tête de plus que Kanzaki, et ensuite la petite Hitsuko Hyûga, une brunâtre aux cheveux longs, extravertie et aux yeux blancs comme du lait…
En tant « qu’enfant sérieuse », Kanzaki n’avait pas eu l’occasion de faire plus amples connaissances avec les autres élèves, mais elle les connaissait un peu par la force de choses. Elle était attirée par Rin, comme beaucoup, sans évidemment l’admettre, et trouvait Hitsuko un peu bizarre, trop pour elle. A cette époque, elle ne ressemblait pas à la Kanzaki de plus tard. Elle était toujours coiffée d’une natte, tous ses cheveux prisonniers en arrière. Elle avait toujours sa veste moulante en cuir noir, fermée devant par une fermeture éclaire, et un pantacourt de la même couleur, avec les traditionnelles sandales et gants aux plaques d’acier.

Evidemment, ce trio n’aurait rien été sans un sensei : et ce fut ainsi qu’on assigna le mystérieux jounin Tendô Inozuka. Pourquoi mystérieux ? On verra cela dans la suite de l’histoire…





Tendô était un être joyeux, amical et aimant les plaisirs de la vie, mais c’était aussi un ninja et si on lui avait confié la formation de trois graines de Konoha, ce n’était pas pour rien ! Et il fit évidemment passé le test des deux clochettes au trois troncs : surprise ! Oui, Tendô fut surpris de constater que les trois Genin agirent à l’unisson dès le début de l’épreuve, sans cette période habituelle du chacun pour soi. En réalité, il comprendrait plus tard qu’il ne pouvait être autrement… Kanzaki n’était pas forcément contre retourner à l’académie, mais surtout, elle souhaitait réussir, alors s’allier aux deux autres était pour elle un calcul naturel. Hitsuko, la petite Hyûga, quant à elle, s’en fichait un peu de réussir, elle faisait quoiqu’il en fût preuve d’une solidarité sans faille envers n’importe qui et elle ne voyait pas pourquoi elle resterait toute seule dans son coin… Et de son côté, Rin avait vraiment pris conscience que deux clochettes pour trois signifiait l’exclusion de l’un d’eux, mais il pariait sur le dernier moment, où il « trahirait » l’une des deux autres pour sa clochette… Mais ce ne fut pas le cas, Tendô décréta qu’ils resteraient tous les trois, les félicitant pour leur esprit d’équipe.

De là, se succédèrent les premières missions de rang D : recherches des animaux perdus, livraisons, aller laver les marais, gardes d’enfants des hauts-gradés en mission, protections rapprochées sans risque (et sans action !), etc., bref rien de très excitant, même si quelques fois ils eurent la chance de quitter le pays du feu pour voir un peu le monde.
Parallèlement, les entraînements devinrent plus sérieux que ceux de l’académie : entraînements physiques, missions de survie, apprentissages de pièges, stratégies, techniques, etc.
Et ce qui devait indubitablement arriver arriva : une nouvelle famille se forma, une équipe de ninjas formée par le Hokage troisième, et sa logique qui lui appartenait, des inconnus qui dans l’adversité se soudèrent, s’épaulèrent, se solidarisèrent, devinrent plus que des amis. Evidemment ce n’était pas le genre de chose que l’on constatait, encore moins que l’on s’avouait, mais c’était comme ça, et ils le savaient tous dans un coin de leur tête. Et pour une fille quasiment orpheline comme Kanzaki, c’était un fait heureux comme elle en avait peu connu. Alors le caractère de Kanzaki fut légèrement influencé, toujours une gamine sérieuse et timide, elle hésitait moins à donner son avis sur des choses futiles et osait quelques plaisanteries. Elle était heureuse car elle avait souvent une raison de sourire ou d’éclater de rire en compagnie de son équipe. On ne pouvait que se réjouir pour elle.

Revenons aux entraînements. Evidemment Hitsuko se spécialisa en taijutsu et son poing souple était redoutable, par sa rapidité et sa souplesse elle compensait largement sa petite taille, et grâce aux pouvoirs de son byakugan, sa perception du chakra, entre autre, était accrue et les applications de ses jutsus étaient inattendues et appréciables. Evidemment elle n’était pas non plus une machine à tuer et ses progrès étaient minimes par rapport au potentiel qu’elle avait, néanmoins en matière de combat elle était la plus forte des trois. De son côté, Rin était un jeune garçon à la manière de combattre moins émérite, il n’empêche que son niveau n’était pas si faible que ça, de plus il réfléchissait bien et vite. Quant à Kanzaki, elle était assez semblable à Rin, sans techniques lui donnant un avantage certain comme Hitsuko, elle compensait par son esprit d’analyse. Vinrent ensuite des entraînements plus difficile sur les ninjutsu élémentaires : mais quels étaient leurs affinités ?
Les trois firent le test de la feuille et Tendô, leur sensei, avoua avoir des affinités doton, mais cela les trois ninjas avaient pu s’en rendre compte en mission. Rin, le beau gosse de la bande, coupa la feuille avec son chakra : son affinité était le vent et il devrait se spécialiser en techniques fûton. Hitsuko, la petite mutine du trio, embrasa la feuille avec son chakra : son affinité était le feu et elle devrait se spécialiser en techniques katon. En enfin ce fut le tour de Kanzaki. On se doutait un peu du résultat de l’intello de l’équipe, parce qu’elle était une descendante sur quatre générations de Shodaime Hokage : la feuille devint humide, puis tomba en miette… Elle avait des affinités avec l’eau et la terre, et en plus des techniques doton et suiton, elle aurait accès au mokuton, l’art d’utiliser le bois.

Chacun d’eux reçurent un entraînement spécifique et individuel, celui de Kanzaki fut pénible pour elle. Elle semblait avoir des prédispositions pour la manipulation du chakra d’après Tendô, mais elle n’arrivait pas à passer de la maîtrise à la transformation en élément bois. Il faut dire que ce n’était pas simple ce composite de terre et d’eau, d’une main elle devait composer un suiton, et de l’autre un doton, pour les synthétiser lors de ses sceaux zodiacales : trop de chose à penser. On se tourna vers Hattori, le fameux oncle de Kanzaki, celui qui avait fait sa légende pendant la grande guerre des villages cachés. Il avait vieilli, beaucoup vieilli, et était tombé malade. Il n’était plus que l’ombre du héros qu’il était sensé avoir été, et à cause d’une maladie dégénérescente, se déplaçait en fauteuil roulant… Ce fut sous une idée à lui qu’on tatoua dans les paumes des mains de Kanzaki deux lotus, l’un blanc, l’un noir, du moins, au « repos ». En réalité, grâce à une encre spécial, lorsque Kanzaki générait un chakra d’eau, le lotus noir devenait blanc (et l’autre ne changeait pas de couleur), et en face, il devenait noir lorsqu’elle générait un chakra de terre. Ce fut ainsi qu’elle put commencer à s’entraîner à tout moment de la journée, toute seule, sans avoir besoin de son sensei à ses côtés. A toutes heures, elle tentait de créer tel ou tel chakra, se fixant sur ses lotus comme d’une interface, ce qui accrut considérablement ses progrès et elle put comme de rares élus générer un chakra de bois. Après quelques semaines, elle réussit sa première technique mokuton, aidée de Tendô et de son oncle Hattori, ravis de pouvoir servir peut-être une dernière fois son village bien aimé en aidant à la formation de l’une de ses graines.

De leurs côtés, les missions se passaient bien, avec un taux de réussites très élevés, qu’il faut bien sûr relativiser à la vue de l’importance de celles-ci : de rang D, voir C.
Mais il y avait un fait que remarquèrent les trois ninjas qui pourrait peut-être expliquer en partie ce qui se passerait bien plus tard, Tendô, leur sensei, disparaissait souvent en cours de mission, laissant soit Kanzaki soit Rin prendre la place de leader. De plus, il ne semblait pas le signaler dans ses rapports. Jamais les trois ninjas auraient pu l’accuser de manœuvres douteuses, ils pensaient qu’il y avait une explication toute à fait honorable, mais de son côté Tendô avait l’art et la manière d’esquiver les questions, et donc le mystère restait entier.
A ce propos, il disparut pendant plusieurs mois, mais pour une fois c’était pour une mission officielle au pays de la griffe, sans que les Genin de son équipe en sachent plus. Et ce fut à cette période que fut organisé l’examen chunnin. Kanzaki et ses camarades réussirent formidablement l’épreuve de volonté, le premier test, et avec plus de difficulté mais avec succès vinrent à bout de l’épreuve de survie. Ce fut l’une des quatre équipes à aller aussi loin, dont la seule de Konoha pour cet examen, et ainsi s’organisa un tournoi avec les douze Genin, devant les kage et les daimyos.

A son premier combat, Kanzaki dut se battre contre un ninja du village caché de la pluie, et l’Amejin lui donna beaucoup de peine à le vaincre à cause de ses techniques d’armes. Victorieuse mais gravement blessée, Kanzaki n’alla pas plus loin. De son côté Rin gagna son premier combat contre un ninja du village caché du sable mais perdit son deuxième contre le coéquipier du premier ninja de Amegakure no sato, et ce fut la surprenante et talentueuse Hitsuko Hyûga qui remporta la finale contre un ninja de Kumogakure no sato.
Le trio de l’équipe de Tendô devint intégralement chunnin, et celui-ci ne manqua pas de les féliciter à son retour quelques semaines plus tard.

L’entraînement devint plus dur, et celui qui marqua le plus Kanzaki, remise de ses blessures de l’examen chunnin, ce fut la fois où Tendô la « balança » toute seule dans un cratère aux parois verticales, à l’intérieur duquel il y avait une végétation dense et une « meute » de gorilles enragés et tellement fort qu’ils broyaient facilement la pierre d’un geste de la main. Se battre contre ces animaux fut une expérience aux sensations extrêmes. Les missions aussi ont vu leur difficulté s’élever. Ce fut normal, Kanzaki et son équipe commencèrent à s’occuper de missions de rang B, et régulièrement elle devait se battre avec Tendô, Hitsuko et Rin contre des ninjas d’autres pays. Ce changement de situation était logique car les trois jeunes avaient été promus chunnin en prouvant qu’ils étaient compétents à l’examen. Cependant leur formation était loin d’être aboutie, et si Genin on les surnommait « graines », on pouvait à ce moment à peine parler de petites plantes, ou de jeunes arbustes.

L’équipe était formée depuis deux ans et les chunnin avaient quinze ans, sauf Kanzaki qui de fin d’année n’en avait encore que quatorze. Deux ans leur suffirent pour forger une amitié à toute épreuve, et en plus de leur travail, les trois ninjas passaient leurs temps libres ensemble. Ce fut à cette époque que Hitsuko, qui était de plus en plus délurée, tenta de « transformer » Kanzaki, ou du moins à l’aider à s’accepter non pas comme un ninja, mais comme une kunoichi, une femme. Oh, ce ne fut rien d’extraordinaire ! Quelques coquetteries. Kanzaki s’habillaient maintenant le plus souvent avec un débardeur blanc qui mettait en valeur, sans non plus être racoleur, sa jeune poitrine, ainsi qu’avec une longue jupe noire en toile épaisse, suffisamment large pour faire ses mouvements, et qui permettait de façon inattendue de porter toutes sortes d’armes, mais principalement des kunaïs et des shurikens, et avec tout cet acier elle était alors obligée de porter une grosse ceinture à la taille et un autre au bassin pour supporter tous ces kilos d’acier. Elle portait bien sûr toujours ses gants aux plaques protectrices et au lieu de mettre son bandeau frappé du symbole de Konoha, cette feuille en spirale, sur le front, elle l’accrocha sur la ceinture de son bassin. De plus ses cheveux n’étaient plus aussi souvent en natte plus généralement coiffé de deux tresses tombant devant chacune de ses épaules, avec des mèches désolidarisées et rebelles qui lui donnaient un côté plus anarchique. Autrement, Hitsuko la mit au parfum, c’était le cas de le dire, en lui apprenant les bases de la féminité qu’aucune mère n’aurait pu lui apprendre, quelques petits trucs de soins de la peau, maquillage (même si elle n’en mettait presque jamais), parfum, etc…

De son côté, la maladie de la maman de Kanzaki n’avait pas évolué, et de temps en temps la jeune fille allait la voir, l’observant dans un coin de la pièce s’occuper comme une mère d’une vieille poupée. Kanzaki avait renoncé à comprendre, renoncé à pleurer, renoncé à haïr, mais pas à espérer, non, elle n’avait de cesse d’imaginer la guérison de sa mère, et à chaque fois qu’elle allait la voir elle espérait créer un déclic, mais était irrémédiablement déçue à chaque reprise. Son père, lui avait abandonné sa vie d’homme quand sa femme avait abandonné sa vie de mère et d’épouse. Shinji Koichi n’était plus qu’un ninja et ne vivait qu’au travers de ses missions, ayant lui aussi abandonner depuis longtemps sa fille, mais il advenait tout de même à ses besoins et ce qui était à lui reviendrait à Kanzaki un jour, et quelque part il espérait lui construire un héritage. Ils vivaient donc à deux dans une maison moyenne, ne se croisant pas souvent et ne restant que rarement dans la même pièce. Cette maison comptait seulement deux étages, elle était l’une des plus traditionnelles de Konoha, avec certains murs intérieurs en papier de riz ou en bois et des portes coulissantes. Les tables étaient basses et il on n’avait pas l’électricité, enfin, on l’avait, mais on n’en servait pas. Enfin ce n’était pas totalement vrai, car justement à cette époque, Kanzaki se débrouilla pour raccorder sa chambre à l’étage et avec l’argent de ses missions se paya quelques équipements, des plus rudimentaires comme une lampe, un sèche-cheveux, un chauffage, et des plus ludiques comme une chaîne stéréo. Mais ce qu’il y avait de plus intéressant à voir c’était le jardin, plein d’arbres fleuris, même à contre-saison, et de plantes magnifiques, un territoire digne des descendants de feu Shodaime Hokage.

Mais revenons un temps soit peu à l’entraînement de la jeune chunnin. Ayant prouvé qu’elle était capable de suivre un apprentissage difficile pour acquérir une technique avec ses entraînements pour son jutsu de mokuton, Tendô l’initia à l’art du Kuchiyose, les jutsus d’invocation. Après un long apprentissage théorique où il lui expliqua notamment comment on procédait et quels étaient les préliminaires, à savoir la signature d’un pacte avec une espèce animale, il lui proposa de signer un contrat avec l’animal que lui-même pouvait invoquer : l’hibou. Kanzaki hésita, parce qu’elle aurait préférait avoir la possibilité d’invoquer des tigres ou un gros python, et qu’on ne pouvait se lier qu’avec un seul animal, le contrat était donc synallagmatique en quelque sorte, et dans le futur elle ne pourrait en signer d’autre… Ce qui la décida, ce fut lorsque Tendô invoqua un hibou de la taille d’une petite maison, et qu’ils voyagèrent sur son dos. L’expérience fut si jouissive qu’elle signa tout de suite pour la même chose, dans tous les sens du terme. De son sang elle inscrivit son nom sur le contrat des hiboux, et commença l’entraînement à l’invocation : Cochon, Chien, Coq, Singe, Chèvre, voilà les sceaux qu’elle exécuta après cette mordue le pouce jusqu’au sang, et ensuite à chaque fois qu’elle posa la main à terre apparut un volatile ou un autre, un semi-hibou, auquel il manquait toujours au moins une chose : une aile, une patte, une tête, des plumes, etc…
Kanzaki n’avait encore jamais réussi à invoquer un hibou correctement, même des années plus tard, et c’était bien l’une de ses grandes frustrations. En même temps, c’était une sorte de jutsu bien difficile à maîtriser.

Arrivé à ce moment de l’histoire, nous voilà bon pour enlever une partie du mystère entourant Tendô et ses absences, en somme de plus en plus fréquentes. Mais attention, ne vous attendez pas à ce qu’on vous donne toutes les réponses… Surprise : en pleine mission au pays du riz, alors qu’ils allaient à l’encontre des ninjas d’Oto et des ennuis ordinaires de ninjas de moyenne classe, Tendô ordonna en plein chemin l’abandon de la mission. Stupeur et tremblements (XD) chez les jeunes chunnin, avec l’inquiétude, et peut-être une angoisse, inhabituelles sur le visage de Tendô. Mais au lieu d’ordonner de rentrer, il surprit encore une fois son équipe : direction Kiba no kuni, le pays de la griffe. Le voyage n’était pas spécialement court et Tendô et Hitsuko se disputèrent en chemin, celle-ci insistant pour comprendre. Quoiqu’il en soit ils arrivèrent dans une grotte, une immense caverne à l’abri de la civilisation, cachette de Tendô. Se mettant à rire, puis à pleurer à grosse larme, et enfin en faisant les deux à la fois, il commença à expliquer à son équipe qu’il n’était pas qui ils croyaient, que ce n’était qu’un chien et non un ninja, encore moins un homme… Cela restait sibyllin et les chunnin ne savait pas quoi penser, n’avait pas réalisé de quoi il parlait, et ne comprenaient pas non plus pourquoi ils étaient à cet endroit. Tendô balbutia des phrases à la syntaxe désordonnée, on entendait certains mots faisant penser qu’il était impliqué dans une organisation de trafique d’organes.

Et ce fut là que leur maître pourtant bien aimé prononça une phrase toute à fait compréhensible : avec vos trois corps, je pourrais m’en sortir, désolé. Compréhensible est un terme peut-être un peu fort, mais l’information important était là, Tendô était sur le point de tuer ses disciples. Et les trois chunnin comprirent également qu’en tant que spécialiste du doton, il était plus qu’à son avantage ici, dans une grotte. Hitsuko se mit à hurler des demandes d’explications, ayant pris la relève de son maître elle pleurait (celui c’était « calmé »), Rin tremblait, attendant de se réveiller de ce cauchemar, et Kanzaki… elle ne savait pas quels étaient les sentiments qui la tétanisait, elle perdait l’impression d’avoir une famille, c’était horrible pour elle, et son amour pour cet être quel surnommait dans sa tête comme étant un second père ou un grand frère selon les moments, se transforma non pas en haine mais en rage.
Tendô lança des kunaïs sur ses chunnin, une slave rapide et inattendue. Mais il avait bien formé ses ninjas qui esquivèrent et se mirent en position du garde. Chacun, dans sa tête, malgré ses sentiments exacerbés, allait se battre pour lui. Au innombrables lancés de projectiles se succéda un jutsu de Tendô créant un vague de terre s’élevant du sol. Avec un katana, Rin trancha la vague en deux, en se servant de son chakra de vent, et Hitsuko lança une fiole d’huile à laquelle était adjointe un parchemin explosif par l’ouverture dans la terre, se servant de son byakugan pour ne pas manquer sa cible, son maître, qui se retrouva projeter par la déflagration de l’explosion créer par la jeune Hyûga. Devant cette faille sur ce mur de terre qui se trouvait au milieu de la grotte depuis quelques secondes, les deux kunoichi et le ninja hésitaient à passer la brèche pour constater si leur maître était mort ou s’il faudrait reprendre le combat. En réalité, celui-ci avait été gravement blessé et brûlé, mais il était en état de se battre, largement.

Il apparut par le sol, le traversant comme s’il était sortit de l’eau d’une piscine, aux pieds des chunnin. Et de la lame de son katana, il donna une vision d’horreur aux deux filles qui virent entre elles, le corps de Rin être tranché en deux sur toute sa longueur, de son entrejambe à sa tête, le jeune homme n’eut pas le temps de crier ni de se rendre compte qu’il quittait pour toujours la vie. Les deux parties de Rin n’étaient pas encore tombées sur le sol que Tendô se jeta sur Hitsuko prêt à la découper dans l’autre sens : un coup d’épée transversal pour la trancher horizontalement. Mais Kanzaki avait été plus rapide que lui, profitant qu’il lui tourne le dos, elle lui enfonça l’épée de Rin qu’elle avait rattrapé en vol dans son abdomen, et saisit un kunai pour le lui enfoncer entre les deux omoplates. L’épée de Tendô lui échappa de ses mains à cause de la douleur et trancha sur dix centimètres le bassin de la jeune Hyûga,

Puis ce qui se passait ensuite, Kanzaki ne serait pas sure plus tard de s’en souvenir. Un dernier jutsu de Tendô peut-être ? Quoi qu’il en soit, le plafond sembla s’effondrer et après la douleur insupportable, Kanzaki perdit connaissance partiellement… Si elle avait été profondément « endormie » elle n’aurait pas pu se rendre compte que Tendô l’embrassait alors qu’elle souffrait, étendue sur le sol. C’était le premier baiser de Kanzaki et il n’avait rien de romantique. De plus, ce baiser à pleine langue était brûlant et difficile à supporter, même dans l’état où elle était où chaque partie de son corps la faisait souffrir. Kanzaki gémissait d’horreur et de douleur, sentant la langue râpeuse et brûlante de Tendô caresser la sienne, alors qu’il lui forçait à ouvrir la bouche en tenant de ses doigts sales au goût terreux la mâchoire inférieure de Kanzaki ouverte. Puis elle perdit totalement ses esprits…

Lorsqu’elle reprit connaissance, sa vision était floue mais elle put voir que la grotte ne s’était pas effondrée, seulement quelques gros blocs sur eux… Le corps de Tendô était inerte auprès d’elle et elle devina qu’il avait passé de vie à trépas. Sur ses jambes il y avait un gros rocher qui la bloquait, mais elle sentait toujours ses jambes. Elle ne pouvait pas s’en réjouir, la douleur était insupportable. Quant à la partie supérieur de son corps, il ne lui faisait pas moins mal mais elle ne pouvait le bouger, elle était trop faible. Elle vit que son amie Hitsuko la regardait, elle était en vie et dans la même position qu’elle, un rocher lui bloquait les jambes. Au près d’elle, il y avait les deux morceaux de Rin.

Elles restèrent des heures à se regarder, perdant parfois connaissance avant de se réveiller. Elles n’avaient pas la force de parler et encore moins de bouger. Jusqu’à qu’Hitsuko y arrive. Elle demanda si Kanzaki allait bien, mais elle ne répondit pas pendant plusieurs heures. Enfin, elles purent l’une et l’autre dialoguer ensemble, pouvant bouger au prix de terribles douleurs et sans force. Elle ne parlait que d’une chose, elles se demandaient à tout de rôle de tenir le coup, pensant qu’on les retrouverait… Kanzaki ne pensait plus au baiser de Tendô…
Elles mouraient. Si elles restaient ainsi, elles n’avaient aucune chance, en plus elles avaient soif et faim. Et ce fut Hitsuko qui franchit le pas, attrapant la jambe de Rin, ramenant à elle une partie de corps et plongeant le visage dans la partie intérieure qui avait été mise à l’air par le katana de Tendô. C’était l’instinct de survie. Et au prix d’efforts surhumains, elle attrapa l’autre morceau de Rin et le jeta à Kanzaki. Après quelques secondes d’hésitations qui parurent être des heures, Kanzaki plongea la tête dans les entrailles de son ami et but ce qu’elle put, notamment du sang moribond du jeune homme. C’était ce qui leur permit de vivre, de survivre, jusqu’à que Konoha les retrouve, cinq jours plus tard…

Les deux jeunes filles furent hospitalisées pour état de grande faiblesse et multiples fractures et Kanzaki resta à l’hôpital pendant un an, elle sortit alors qu’elle avait à peine seize ans. Physiquement elle s’était remise, notamment grâce à sa rééducation, mais mentalement, son état était plus préoccupant. On tut l’affaire des kunoichi cannibales dans l’œuf et peu de personnes étaient au courant de cela, mais Kanzaki s’en souvenait très bien… Avec la trahison de Tendô, dont elle n’eut aucune explication, l’état de Hitsuko (on va y revenir) et ce baiser de la mort qui avait laissé une trace sur la langue de Kanzaki : un kanji dont on ignorait la signification. Les médecins ninjas identifièrent un sceau, mais il était inconnu et on n’arrivait pas à connaître son utilité.

De son côté Hitsuko devint hautement déprimée, et elle ne quitta jamais l’hôpital, restant vingt quatre heures sur vingt quatre à ne rien faire dans son lit. Elle ne répondait qu’une fois sur dix les meilleurs jours… Mais c’était le dernier des membres de la « famille » de Kanzaki, et elle allait régulièrement la voir. Kanzaki était tellement triste de la voir avoir perdu sa joie d vivre, qu’un curieux processus se produit en elle et la jeune fille se mit à feindre le bonheur. Ainsi elle allait rendre visite à son amie, lui racontant comment le monde était beau dehors, c’était inutile mais Kanzaki se raccrochait à l’idée que ça faisait du bien à ce qu’il restait de gai chez la jeune Hyûga, enfoui quelque part dans son esprit.

Les mois passaient, et Kanzaki se remettait peu à peu de cette affaire, n’abandonnant pas pour autant son amie. Mais l’abandon par sa mère et son enfance sans parent lui avait forgé un caractère plus fort que ce que tout le monde, y compris elle-même, croyait, et ce qui ne la tuait pas ne pouvait que la rendre plus forte. D’ailleurs, elle devint beaucoup plus joyeuse et très extravertie, elle pensait qu’il fallait qu’elle vive ses journées à plein régime et profiter de la vie, pour elle, pour Hitsuko et aussi pour Rin.

Elle recommença sa vie de Kunoichi, elle demanda à ne pas être affecté à une nouvelle équipe et se proposa pour des missions en solitaire. Cela se passait bien, et elle fêta ses dix sept ans toute seule à Kaminari no kuni en mission pas loin de Kumo, se gavant de bonbons et se saoulant sur les toits d’une bâtisse quelconque et déserte. Elle n’était plus la fillette sérieuse mais une folle complètement déjantée qui passait son temps à s’amuser. Au départ elle avait du mal en mission, mais après quelques temps elle trouva l’équilibre, redevenant sérieuse quand il fallait. Ainsi elle fut promue jounin. Elle espérait trouver une cause à défendre avec ses pouvoirs de kunoichi, se lassant un peu des missions, peut-être la plus belle des causes au final, ce qu’elle confia à sa meilleure amie, Hitsuko Hyûga : former une nouvelle équipe, une nouvelle famille.

Bonsoir, j'espère que ça ira ^^

• C'est avec ce perso que je postule, afin de rentrer dans l'organisation d'Ikari Buki Dorei sous le signe du... cochon XD
  
• Pour le tatouage sur la langue, il s'agit du sceau du cochon, et comme pour l'instant je ne savais pas à quoi il pourrait servir mais que j'avais l'idée sur la façon que je pourrais l'avoir, bien voilà, je l'ai mais on sait pas à quoi il sert pour l'instant (ça sera lié au sensei en tout cas, vu comment je l'ai, ça explique son nom Inozuka)
  
• Pour l'arme j'ai pas d'idée, alors on verra plus tard !
  
• Pour l'invocation des hiboux, j'espère que ce sera possible, notez que j'ai signé le pacte mais pas réussis la technique donc voilà ^^

Que dire? si ce n'est Ouhaou ^^
Tout d'abord bienvenue parmi la secte des PNiens, tu verra on donnera un sens a ta vie, et tout et tout (la grande gourou Tsunade sacrifie régulièrement des brebis égarées sur l'autel du RP)...mais trêves de convenances, passons aux choses sérieuses

Je suis simplement en admiration devant cette présentation. Moi qui suis pourtant de nature feignasse, je dois admettre qu'elle fut un réel plaisir à lire et que je n'en ai pas perdu une miette.

D'autant plus qu'en tant que fan d'évangelion et du personnage d'Asuka, j'ai grandement apprécié les petits parallèles

Bref tout ça pour dire que c'est un sans faute qui explose mon top 3 des présentations du forum. Le petit banquet anthropophage m'a un peu écœuré, mais on survie comme on peu

PS: tu as bien fait de signaler que tu avais signé le pacte mais n'avait pas maitrisé l'invocation des hiboux ^^ Personne ne commence avec une invocation C'est niveau 5 pour le commun des mortels, et niveau 3+ quête pour certaines exceptions, dont tu pourrai éventuellement faire partie (bien que généralement au niveau 3 on a encore du mal a avoir la réserve de chakra suffisante pour une invocation majeure ^^)

PS2 (ben oui quand même!): bercée par mon enthousiasme j'en oubliais presque l'essentiel: Juunin acceptée, et récompense suprême pour une présentation, +15xp.

Te voila ninja de Konoha, pour le plan de carrière on en parle sur le chan. J'ai besoin d'une sensei pour une équipe (jusqu'au 20 avril...après tu es libre ), mais je comprendrais que tu refuse, vu la situation mentale actuelle de ton personnage ^^