[Yagami Iori] : Obtention de son Katana : Zanchin

[Intemporel]

Tout d’abord, resituons la chose : tout ceci se passe bien avant l’arrivée d’Iori à Suna.
En effet, le jeune homme avait passé quasiment toute son enfance dans les plaines d’Iwa.
Vers l’âge de 10 ans, Iori vouait une admiration sans conteste envers tout ce qui était arme tranchante et son plus grand rêve aurait-été d’en posséder une, mais bien évidemment sa mère adoptive n’était vraiment pas du même avis :

« Comment ça un katana ? Iori je pense que tu deviens un peu trop obnubilé par tes armes de ninja, essaye d’être comme un garçon de ton âge pour une fois »

Les paroles de la mère résonnèrent aux oreilles de l’enfant comme un échec, lui qui pensait que pour une fois elle serait fière de lui, il avait enfin trouvé une espèce de passion qu’il aurait aimé partager avec elle, malheureusement ce ne fut pas le cas.
Quelques mois passèrent avant qu’Iori ne lise dans une revu qu’un dénommé Fujiyama : forgerons très renommé dans les différents villages, prenait de son temps pour venir exposer son talent aux yeux des villageois d’Iwa. Cela fit tout de suite « tilt » dans l’esprit du jeune garçon.

* Un forgerons, dans un coin aussi éloigné, mais c’est une énorme chance pour moi, je vais devoir en profiter et ne pas laisser ma première et peut-être dernière chance d’avoir mon katana tant désiré, je me fiche de ce que maman pourra dire, je l’aurai un point c’est tout *

Iori parla donc à sa mère de cette exposition qui allait bientôt avoir lieu et si il pouvait, bien sur, s’y rendre. Elle acquiesça malgré tout après plusieurs heures de négociation du jeune garçon (ménage, vaisselle etc.… XD)
Le jour tant attendu arriva et le dénommé Fujiyama était bel et bien au rendez-vous. Toute son exposition ce passa dans l’une des plus grandes salles d’Iwa aménagée pour l’occasion.
Ebahit par tant de splendeur, Iori arriva tant bien que mal à s’approcher de son « idole » et en profita pour lui demander quelques conseils sur la manière de forger un Katana ainsi que sur son maniement.
Une certaine alchimie naquit entre ces deux personnes. Fujiyama lut dans les yeux de ce garçon une envie d’apprendre et l’intérêt qu’il portait à ses œuvres, et cela lui faisait vraiment plaisir. Malgré son jeune âge, ce forgeron lui proposa un petit séjour avec lui pour lui apprendre tout ce qu’il connaissait.
Le visage d’Iori s’emplit de joie lors de cette proposition, et voyait petit à petit les portes de son rêve s’ouvrirent peu à peu.

« Je ne resterais ici longtemps heu… »

« Iori » répondit-il très spontanément

« Je disais donc Iori que d’ici demain je m’en vais donc cela me ferais très plaisir que tu m’accompagne. Comme je vois que tu es un garçon très intéressé et curieux et je pense que l’assimilation de mes différentes connaissances imprégnerons très vite ton petit cerveau » lui dit-il avec un petit ton moqueur

A peine cette conversation terminé qu’Iori alla chercher sa mère pour lui demander si cela ne la dérangeait pas qu’il aille avec cet homme afin de voir comment est la vie d’un forgeron et bien entendu peut-être que ce petit séjour lui permettrait d’avoir enfin son Katana.
La mère resta catégoriquement contre cette idée qui la priverait de son fils pendant une durée indéterminée, elle ne le verrait pas grandir. De plus, le laisser partir avec un homme dont elle ne connaissait strictement rien cela faisait un peu beaucoup d’un seul coup pour elle.
Puis la conversation finit, elle vit dans les yeux d’Iori une grande déception qui lui brisa le cœur. Elle n’avait jamais connu tel tristesse chez son enfant, cela émanait tellement de lui qu’elle comprit que cela lui tenait vraiment à cœur :

« Ne crois pas que c’est lorsque tu me feras tes yeux de chien battu que je céderai, je n’ai aucune informations sur cet homme, et toi non plus d’ailleurs, ce que tu sais, c’est que c’est un forgeron. De plus c’est un voyage extrêmement dangereux et vu que je ne sais pas comment cela se passera, je ne préfère pas te laisser seul pendant ce voyage »

« Mais maman essaye de comprendre, c’est la chance de ma vie d’avoir ce que je souhaite depuis des mois, comment peux tu me faire ça ? Tu ne m’aime pas à ce point sniff »

« Iori, au contraire, c’est parce que je tiens énormément à toi que je n’ai pas envie de te savoir loin de moi, surtout que je n’aurai pas l’esprit tranquille, essaye de voir la chose à ma place, et puis de toutes les façon je pense que la conversation est close, je t’ai donnée mon point de vue et c’est tout. Pour le moment tu es trop jeune un point c’est tout, tu n’iras pas avec cet homme !! »

« Je te déteste !!!!!! » lui dit-il tout en courant dans sa chambre

La soirée se termina dans le calme, aucun dialogue ne fut entamer entre eux, et le jeune garçon perdit l’appétit.
Pendant toute la nuit, elle se questionna afin de savoir si elle n’avait pas été trop dur avec Iori, et si elle n’agissait pas trop comme une « mère poule ». Après n’avoir pas pu dormir de la nuit à cause de ses multitudes d’interrogations, elle prit une décision : elle décida de lui permettre de partir avec cet homme et de faire des concessions pour son fils par amour.

Iori ne voulant pas tenir compte des interdictions de sa mère, se leva à l’aurore afin de préparer son sac et de fuguer pour partir avec ce Fujiyama. Avant de s’en aller, il laissa un petit mot sur la table de la cuisine. Au réveil, elle vit ce mot sui disait :


Voyant cette lettre, elle devint folle, elle venait de comprendre qu’elle avait fait une erreur et que son manque de compréhension avait fait son fils fuguer. Elle se précipita vers les portes du village afin de voir si elle aurait pu tout de même les rattraper. Essoufflée par sa longue et très rapide course, elle demanda de suite aux ninjas chargés de la porte s’ils n’avaient pas vu son garçon. Après ce grand moment de panique, elle vit ce Fujiyama ainsi que son fils à ses côtés, alors elle courut vers eux :

« Mais tu es fou et vraiment inconscient, tu imagine la frayeur que tu viens de me causer, ne refait plus jamais ça, mais vraiment !!!! Sur ce coup de tête de ta part, je devrais t’empêcher de partir mais j’ai beaucoup réfléchi cette nuit et je pense que si c’est vraiment ce que tu veux je devrais te soutenir et t’encourager » lui dit-elle avec un grand sourire aux lèvres. »

Le garçon émut et très enthousiasmé par cette décision sauta dans les bras de sa mère afin de lui montrer sa gratitude.

« Merci maman, je t’aime très fort et tu verras je reviendrais très vite »

Voyant cette émouvante scène, le forgeron s’avança et décida de parler à la mère du jeune garçon :

« Bonjour madame, je suis monsieur Fujiyama, le forgeron de l’exposition qui a eut lieu hier dans ce beau village d’Iwa. Je sais que cela semble très fou mais je trouve que votre enfant est très intéressé et curieux d’apprendre cet art et surtout la jouissance de contempler par la suite l’objet crée.
Je sais que vous ne me connaissez surement pas mais je tenais tout de même à vous dire que j’essayerai d’être pendant ce séjour comme un père pour lui afin que cela se passe dans les meilleurs conditions »

« Je vous conseil de vous en tenir à vos engagement car je serais sans aucun scrupule envers vous si il devait arriver quelque chose à mn fils chéri, je pense que je me suis bien faite comprendre monsieur Fujiyama. Ne prenez pas mes paroles comme une menace ou autre, mais vous pourrez comprendre que je suis très inquiète quant à l’avenir de mon fils et la dangerosité de ce voyage. En parlant de cela, combien de temps celui-ci durera t-il ? »

« Je comprends tout à fait vos crainte madame et je le jure sur ma vie que votre enfant ne courra aucun danger avec moi. Je vous le garanti. La durée du voyage est encore indéterminée j’en suis vraiment désolé mais vous serez informée à chaque changement de programme. »

Les paroles de l’homme semblèrent sincères et c’est bien sur ce que recherchait cette pauvre femme emplit de tristesse :

« Bon et bien si nous sommes sur la même longueur d’onde je pense que cela se passera sans aucuns problèmes. Iori !!!! Monsieur Fujiyama est là !!!
Tu as tout pris mon chéri, je te souhaite un bon voyage et n’oublie pas d’envoyer des nouvelles assez souvent à maman. Allez au revoir vous deux. »

Après les avoir laissé s’en aller elle ferma la porte et lâcha quelques larmes. L’apprentissage d’Iori allait enfin commencer.
Quelques jours de marche passèrent et les deux personnes commencèrent à apprendre petit à petit l’une sur l’autre et le forgerons s’intéressa de plus en plus au jeune Iori.
Arrivée à la maison Fujiyama ce dernier demanda à Yagami de se reposer afin de récupérer de ce long voyage car une journée éprouvante allait les attendre : la journée d’un apprenti forgeron. Le vieil homme décida d’aller réveiller le jeune Iori aux aurores afin de lui montrer que le travail de forgerons n’attend pas.

« Mais que ce passe t-il monsieur Fujiyama, le soleil vient à peine de se lever je ne comprends pas, il est trop tôt »

Malgré la frêle voix d’Iori montrant son net manque de sommeil, monsieur Fujiyama ne s’en laissa pas attendrir et continua de bousculer si l’on puit dire le jeune garçon afin qu’il comprenne la dureté de ce métier.
Après avoir passé un petit moment dans la salle de bain, dans la petite salle à manger, ils se dirigèrent donc vers cette fameuse pièce où tant de lames avaient vu le jour par les mains de ce forgeron expérimenté. Les questions ne tardèrent pas à fuser de partout, Iori se lâcha et apparemment il n’allait pas se contenter de ce que l’homme allait lui apprendre, il en voulait toujours plus.

« Iori, il va falloir te calmer et ne pas vouloir aller plus vite que la musique, tout d’abord je vais t’apprendre les bases afin de t’enseigner plus en profondeur cette art. »

Le jeune homme acquiesça sans rechigner et attendit donc les premiers conseils de Fujiyama.

« Tu dois savoir que forger une lame, est quelque chose de très complexe et qu’il ne suffit pas d’un simple claquement de doigt pour que cette dernière te tombe dans les bras. Si tu en veux une, il va falloir vraiment te donner les moyens pour y parvenir. Donc revenons à nos moutons.
Tout d’abord, il va nous falloir de l’acier, ce qui ne manque pas dans cet endroit comme tu peux le remarquer, nous allons devoir effectuer plusieurs soudures, c’est-à-dire « coller » plusieurs morceaux d’acier les uns avec les autres, ainsi que plusieurs pliages afin d’obtenir l’acier laminé de notre futur katana.
Puis nous allons introduire une pièce de fer beaucoup moins riche en carbone ; tout ceci sera par la suite chauffé ensemble afin d’y combiner solidité et tranchant.
Enfin il ne nous restera plus beaucoup de choses à faire : recouvrir notre lame d’un mélange d’argile et de charbon de bois, la tremper et enfin la polir.
Je sais que tout ceci peut te paraitre assez barbare mais ne t’inquiète pas je serais la pour t’aiguiller, je ne te laisserai pas tout seul »

Après avoir fait un large briefing de la fabrication d’un katana, Iori et monsieur Fujiyama se mirent au travail afin de confectionner l’une des plus belle lame jamais conçut à ce jour. Des mois passèrent et aucuns résultats ne semblant satisfaisant, bien entendu le jeune Iori faisait ce qu’il pouvait mais bien évidemment sa formation n’allait pas donner ses fruits du jour au lendemain. Alors ils insistèrent dur et finirent après six mois de dur labeur à arriver a un résultat plus que convaincant, Iori avait atteint l’âge de 11 ans et maitrisait maintenant la forge avec habilité. Le résultat fut le suivant :

Spoiler:

« Iori comme je vois que tu as fait d’énorme progrès je pense que cela te reviens de droit, je pense même que tu pourrais la baptiser » lui fit-il avec un sourire »

Alors le garçon émerveillé par cette annonce ne pu contenir ses larmes et alla se réfugier dans les bras du forgerons.

« Merci beaucoup monsieur Fujiyama, je vous en suis très reconnaissant, vous saviez à quel point cela me tenait à cœur et vous me permettez d’arrivez à un de mes rêves. Vu que vous me le demandé si gentiment je vais la nommée ZANCHIN. »

De là, monsieur Fujiyama décida de le ramener chez lui, car il avait maintenant inculqué à Iori tout ce qu’il savait à part une chose : le maniement de cette arme, et pendant le trajet qui les ramenèrent vers les plaines d’Iwa, le forgeron lui appris les mouvements de base du shinkendo (art martial japonais du maniement du sabre) afin qu’il soit prêt au cas où il devrait se servir de cette arme tout de même dangereuse. Alors monsieur Fujiyama commença son petit briefing :

« Bon même si cela ne se voit pas, mais j’ai beaucoup de connaissance dans l’art du Shinkendo donc, maintenant que tu possèdes une arme très tranchante et surtout très dangereuse, je vais passer avec toi, avant que tu ne rentres au pays, à un entraînement plus que rigoureux. En effet durant tout ce voyage je vais t’apprendre à attaquer, à te défendre et à contre attaquer avec ta lame, mais dis toi que cela ne sera pas facile et que tu vas devoir t’accrocher car si tu ne peux pas maîtriser cette arme, je me verrais contraint de te l’enlever »

Iori surpris par le comportement soudain du forgeron, se mit dans tous ses états :

« Comment ça vous allez me l’enlever, vous n’avez pas le droit et d’ailleurs qui vous as dit que je ne réussirais pas votre petit entrainement de rien du tout ?! » lui dit-il d’un air furax tout en lui tournant le dos.

« Je n’en attendais pas moins de ta part. Alors si tu le veux bien, vu que l’on n’a pas beaucoup de temps, on va commencer l’entrainement dès maintenant. Je pense qu’il nous faudra une dizaine de jours pour revenir aux plaine d’Iwa donc, cela veut dire que pour t’apprendre chaque rudiment de la lame, on passera 3 jours sur chaque chapitre, c’est-à-dire : attaque, défense et contre-attaque, compris. »

« Oui j’ai très bien compris ^^ »

« Alors je t’expliquerai tout d’abord l’attaque et ensuite tu effectuera ses mouvements sur moi.
Commençons !! Tout d’abord, en face d’un adversaire tu pourras effectuer diverse mouvements : soit des attaques simples ou composées. Les attaques composées veulent seulement dire que tu fais plusieurs mouvements, mais au fur et à mesure tu développeras tes propres enchainements d’attaques.
Face à un ninja tu pourras également user de la ruse avec les fausses attaques. Ces dernières te permettront de connaître les réactions de l’adversaire et ses intentions, pour préparer et trouver un synchronisme pour une attaque réelle. Si tu as bien compris tout cela, on peut commencer »

Le jeune Iori se mit en place, mais bien entendu, il avait avec lui un simple katana en bois sculpté précédemment par Fujiyama. Il attaqua sans relâche : que ce soit des attaques droites, latérales, basses, après quelques heures de pur entrainement, il s’écroula exténué par tous ses efforts mais il ne s’avouait pas vaincu pour le moment, et savait qu’il devait réussir à tout prix s’il ne voulait pas se voir déposséder de son bien si précieux.
Après avoir repris des forces, ils se remirent en selle et l’entrainement repris de plus bel. Bien évidemment au début monsieur Fujiyama ne bougeait pas afin que le jeune Iori maitrise les mouvements de bases mais au fur et à mesure, la confiance s’installait en lui et ses attaques devenaient de plus en plus fluides et précises. Au bout du troisième jour le tour était joué, Iori savait les bases, il n’était pas encore un as de la lame mais cela, avec l’âge, n’allait surement pas tarder.

« Et bien Iori, je vois que tu as fait d’énorme progrès même si il te manque une certaine dextérité, mais pour ton jeune âge, et un entrainement continuel, tu devrais ne rien avoir à envier avec certains membres du clan Kasumi ^^.
Bon assez bavasser, pendant que tu es toujours chaud, je vais t’expliquer ce que nous allons faire demain. Comme tu le sais déjà, demain nous allons commencer tout ce qui est défense, car il est bien de savoir attaquer, mais la défense n’est pas négligeable. Donc je te laisse la surprise de l’entrainement qui nous attend demain. Sur ce, bonne nuit »

La nuit se passa paisiblement, et Iori s’endormi sans aucun souci, cela dit avec l’entrainement qu’il avait subit, cela n’était pas trop difficile.
Le lendemain, les deux personnes mangèrent leur petit déjeuné ensemble avant de recommencer leur entrainement.
Alors Fujiyama entraina Iori dans un coin assez étrange, reculé, et entouré d’arbres. Au centre, des pantins de bois tournoyant sur eux. C’était donc ça l’entrainement du vieil homme. Comment allait-il se passer ?

« Bien Iori, cette entrainement sera très simple, il te suffit juste d’esquiver les coups de ces pantins avec ton sabre, à toi de jouer »

Il se dirigea au centre, et c’était parti !!! Les mouvements allaient certes, se répéter mais quoi de mieux pour commencer l’apprentissage de quelque chose. Donc l’enchainement des pantins était toujours les mêmes : une attaque à la tête, puis basse, une sur le côté gauche et l’autre sur le côté droit. Et cela allait durer toute la journée jusqu'à épuisement.
Après avoir réitérer ses mouvements non stop, Iori prit d’un soupçon d’orgueil, sauta en dehors de la ronde de pantins qui l’encercla et s’en prit à fujiyama. Ce dernier qui surveillait le jeune garçon n’eut aucun mal à esquiver cette attaque qui était dénué de stratégie et de finesse.

« Mais dis moi tu es devenu fou ou quoi, je t’ai donné un entrainement à faire et tu m’attaque. Qu’est-ce qui t’arrives »

« Vous croyez vraiment que mes adversaires seront des vulgaires pantins de bois, ne vous moquez pas de moi, j’ai besoin d’un opposant plus mobile que ça, qui sois intelligent, comme vous »

Ecoutant les paroles du gamin, il accepta donc de servir d’attaquant afin qu’Iori essaye de parer ses offensives. Etant tout de même beaucoup plus vif que les pantins, Fujiyama lui donnait tout de même beaucoup de fil à retordre sans oublier que lui ses attaques n’était pas préméditées. Enfin, les deux jours suivant se passèrent entre Iori et le forgerons, l’un essayant tant bien que mal de parer les attaques de l’autre. Après la fin du troisième jour, Iori savait se positionner afin de limiter les dégâts d’une attaque mais ne savait que parer les attaques basiques, il allait devoir s’entrainer beaucoup plus afin d’y parvenir complètement. Cela dit avec la frêle musculature qui le caractérisait pour le moment, il devait déjà être très fier de ses prouesses.

Le septième jour arriva et ce fut au tour de l’apprentissage des contre-attaques.

« Bon nous voici aux contre-attaques. Pour cela il va te falloir une bonne synchronisation, car elles reposent essentiellement dessus. Lors de l’attaque de ton adversaire, tu vas devoir faire en sortes de :
-sois esquiver son attaque pour riposter par la suite
-sois bloquer au dernier moment le coup de l’adversaire et t’ouvrir une brèche pour frapper
Il doit en coir d’autre mais je n’ai pas eut le temps de finir, moi-même, moi apprentissage XD donc on va déjà faire avec cela. »

Ils se mirent donc l’un en face de l’autre. Et Fujiyama, envoyait son épée toujours vers le ventre de Iori pour forcer ce dernier sois à esquiver et attaquer sa cible, sois à dévier le sabre du forgerons et ainsi se créer une brèche. Ils effectuèrent ceci sans arrêt, mais en variant tout de même les attaques pour ne pas que cela devienne vraiment trop rébarbatif. Cet exercice se paraissait être dur pour Iori, car après avoir passé plus d’une semaine à travailler sans relâche, ces petits membres ne tenaient plus et pendant ses répétitions d’exercice, il tomba dans les vapes.
Le lendemain, Iori se leva comme-ci de rien était, il ne se souvenait de rien et se demandait ce qui s’était passé. Alors Fujiyama lui expliqua.

L’entrainement était terminé et Iori s’en était tout de même pas mal débrouillé, il n’était pas un pro de la lame, mais en tout cas il était près au cas il devrait s’en servir dans le futur. Cela permis également au garçon de calmer son tempérament bien trempé, et cela développa l’harmonie de son corps et de son esprit. Cela devint par la suite, la plus grande priorité dans la vie d’Iori et lui permit de sculpter son physique, dût à ce rude entrainement, et ainsi que d’optimiser sa concentration, ce qui serait un bon avantage dans sa future inscription à l’académie.
Un jour plus tard, ils arrivèrent sur Iwa, et les chemins des deux amis se séparèrent ici. Là les retrouvailles pour le jeune garçon et sa mère furent plus qu’émouvante, et ils rentrèrent chez eux, afin qu’Iori raconte ce fabuleux séjour…

Chose promise, chose due^^ 7Xp pour le Rp et un katana.