Ombre.
Que dire d’une rue découverte ? Que dire d’un noir profond ? Que dire ?
Un pied se pose dans la rue. Avenue qui lie l’entrée de kiri à la rivière.
Hombre a été accepté, il entre.
Un second pied se pose. Hombre avance. Noir. C’est la nuit. Un bruit s’élève des ténèbres, un autre du ciel. Un dernier du mouvement des jambes d’Hombre : il marche.
Il avance, tourne la tête. Droite, gauche. Haut bas. Rien. A part du noir, rien.
Rien, un simple mot qui résume tout. L’envie est impalpable, mais se fait ressentir.
Il cherche une ombre dans une folle lumière, il cherche une aiguille. Dans un champ de blé. Il cherche ce qui est introuvable.
Quelques minutes, quelques secondes, il arrive. La rivière coule de tout son long. Droite, gauche. Il choisit Droite. Il remonte. Marche dans la ville, à coté de la rivière. Fin de la ville, il quitte les rues. Il marche quelques secondes auprès de londe coulante, s'arrête. Il parle seul, un monologue.
Il ne fait que susurer les paroles. Il finis par "Où est tu?"
La silouhette d'Hombre, l'enveloppe charnelle se retourne. Elle regarde au loin les quelques maisons et le village plutôt grand de kiri...
Il s'y dirige, il rerentre clairement à l'interieur. Rien, personne pour le croiser, à part peut-être un chat, ou un monstre...
Mais rien ne poussera de son Ombre...
Le ciel s'assombris encore plus, comme s'il était malade. Tout ce qu'il cracha, ce fut ces mots :
Qu'une âme parte ou qu'une revienne, il faudra toujours retrouver la maitresse.
Quelques mots qui changèrent le blanc mat en rouge. La rage s'échapis de la gorge de Hombre. Un cris, stridant, tel un loup affamé, il cris. Le même loup se repose, bouillis interieurement.
Le nouveau départ a commancé, la "chose" arrive...