Hombre Civil
Nombre de messages : 74 Age : 32 Clan : Aucun Special : Genjutsu
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| Sujet: Fin mission rang D : la bague. Mer 14 Mai - 12:14 | |
| [2 essais restant, 12 déjà fait. Lien précédent : Ici]Hombre revint de la banque. Il avait encore légèrement mal à la tête, suite au petit problème qu’avait crée sa technique précédemment. A chaque pas, la douleur s’atténuait, jusqu'à ne devenir qu’un souvenir parmi d’autre. Il marchait de la banque vers les habitations. Il avait compris… Ou peut-être pas. Seul le destin est maître du futur…
Et le destin l’avait encore une fois trompé. La pluie s’était arrêtée, pour laisser place à un ciel nuageux, malgré tout tout autant menaçant qu’auparavant. Un rayon de soleil perçait, décrivant sur le sol un cercle plutôt parfait, entourant une partie du village. Hombre ne croyait plus au présage. Il savait en quoi ne pas faire confiance… Et en quoi faire confiance. Il choisit de suivre une nouvelle fois son instinct, malgré les erreurs passées…
Il arriva aux confins d’une rue sombre, enroulée de ténèbres, frappé de noirceur, tel le milieu d’une nuit… Il s’y engagea. Il avança. Tout ce qu’il croisa se résumait à de la boue, de l’eau et de la terre. Et ils appelaient ça une rue… Dans un coin, on pouvait apercevoir le désespoir, dans un autre l’espoir. Le rayon de soleil éclairait une parcelle de rue que l’on pourrait comparer à de la haine. Pour finir, la seule issue était derrière Hombre : Le retour en arrière. Le retour dans son passé. Ce qu’offre la mémoire…
Il retourna donc dans la jovialité du soleil, l’impossibilité de la tranquillité, et la haine de la différence : une société. Ici, elle était nommée Kiri, ailleurs, on l’appelait Konoha, d’après ce qu’il avait entendu. Il marchait donc dans ces préjugés, et en arriva devant la maison qu’il cherchait : Celle de Maya.
Il entra sans frapper, ni toquer, ni rien. Sans un bruit. Mais, dans un manque de discrétion certaine, il manqua de faire tomber une sorte de vase pourvu d’un style particulier. Un bruit, un seul. Mais un retentissement qui éveilla la curiosité de Maya… Elle entra dans la pièce. Hombre pris rapidement la parole, de sa vraie voix…Je me suis permis d’entrer sans demander, pour justement demander quelques choses. Paradoxal, n’est ce pas ?La jeune fille n’avait pas l’air d’être étonné de la voir, et lui répondis simplement :Je m’y attendais…Hombre compris… Elle était munie d’une sacrée capacité de cacher ses pensées. Un pouvoir assez mental, mais qui lui avait permis d’aller cacher les quelques souvenirs passés qu’elle avait vraiment.Et bien, si tu t’y attendais, réponds moi. Pourquoi cette bague en particulier ? Seule celle-ci est importante ? Pas celle là ? Demanda Hombre en montrant une bague qu’elle avait pris lors de son premier passage, sans rien demander, dans le « but de la mission »…Les défenses psychologiques d’Hombre tombèrent en éclat d’un coup. La jeune fille n’était pas venue à Kiri pour s’amuser, ou pour fuguer… Mais pour une bien autre quête… Evidement, personne ne le savait. Mais Hombre comprit.La bague, j’y tiens, c’est un « morceau de moi » qui est rattaché à celui avec lequel je vis. Un morceau qui est lui aussi attaché à d’autre. N’est ce pas Naia ?...Naia. Elle l’avait appelé Naia. Son vrai prénom. Hombre découvert par une jeune fille. Tiens, et cette jeune fille, à quoi ressemblait-elle ? Cheveux long, blond, légèrement ondulant, s’apparentant à une mer d’huile. Le tout descendait d’une tête allongé, pourvue d’yeux bleus aux reflets gris, d’une bouche aux lèvres craquelées par la sécheresse, et d’un nez qui n’avait jamais été cassé. Le tout arrivait sur une poitrine assez volumineuse pour l’âge, des épaules entrainées à l’esquive. Ses bras et jambes avait une taille parfaite, en accord avec la souplesse que le corps laissait paraître, s’accordant avec la beauté, et s’abrogeait de toutes critiques. Et elle l’avait appelé Naia ? Son sourire pouvait en faire tomber plus d’un, alors qu’un battement d’œil pouvait en faire le double. Sa respiration était sèche, mais longue, dure, mais souple, travaillé, mais naturelle. Comme Hombre, elle savait qui était Naia…Je ne suis pas Naia, je ne suis, comme toi, qu’un ramassis de bout de corps. Tout comme l’était celui que j’ai croisé lors de mon examen débile…Il faut parfois admettre son tort. Tu es Naia, puisque tu as pris les parties de celui qui se nommait Raia. L’homme de l’examen. Moi, je suis Maya. La bague en question, c’est moi qui ai demandé sa recherche, je me doutais que tu étais arrivé dans ce monde, et que tu étais à Kiri. Je suis là depuis ma naissance. Yuko, je la connais de mémoire. Elle contrôle ton âme et ton temps. A fortiori, ta liberté.Hombre paraissait frigorifié. Un bloc de marbre qui ne bougeait plus. Ou peut-être un cœur de glace. Yuko, la traîtresse… La haine… L’envie… La mort… Elle contrôlera aussi le temps. La vengeance sera tardive, mais elle arrivera. Oui, mais… Si je comprends, la bague, c’est …Exactement. Mais je l’ai laissé tombée, certainement. Ou plutôt, je l’ai perdue…Ou tu l’as cachée, dans le but que je vienne moi-même la rechercher. Dans le but que je sois LE genin qui la trouve. En tout cas, même avec une seule partie, tu cache très bien tes souvenirs. Mais pas assez bien. Ouvre le tiroir de la commode là bas.Maya se dirigea vers le tiroir, l’ouvris, et souris : Rien dedans. Elle le referma, et elle s’assit en tailleur à terre, devant Hombre. Fait comme moi. Voilà. Je vais te montrer quelque chose, une « technique » selon les termes de ce pays. Kaisou. Une technique de mémoire. En plus de savoir lire les pensées des personnes, et ce malgré les désagréments, tu sais également leur faire oublier quelques pensées. Dans ce monde, quand tu aura à te battre, tu devra leur faire oublier chaque techniques qu’il connaissent avant de les achever durement d’une arme dans le sang. Considère ça comme une technique. Essaye de refaire ta technique Dowasuke…Hombre s’exécuta…Il lança la technique. Mais quel technique ? Il ne su. Il ne savait pas ce qu’était une technique. Encore moins ce que pouvais vouloir dire « lancer une technique ». Un énorme trou. Vide. Rien, les yeux blanc dans un vide ténébreux.Mais d’un coup tout revient. Chaque parcelle de mémoire revient, chaque histoire passée réapparaît. Tout arriva comme normal. Cependant, le souvenir d’un trou de mémoire restait là.Vois tu, c’est ça perdre la mémoire d’une technique. Je sais que tu en a fait une technique toi aussi. Concrétise dans le futur, ça peut servir.Hombre s’exécuta…Il lança la technique. Mais quel technique ? Il ne su. Il ne savait pas ce qu’était une technique. Encore moins ce que pouvais vouloir dire « lancer une technique ». Un énorme trou. Vide. Rien, les yeux blanc dans un vide ténébreux.Hombre repris ses esprits peu à peu, grandement étonné par la petitesse de la fille, mais tellement préservant. Comme Hombre, n’est ce pas. Hombre, Maya, Naia, Raia. La même personne à chaque fois. Le tout devait se concentrer dans un corps...Hombre s’avança vers Maya. Elle entra en contact avec elle. De main contre main, on passa à corps à corps, puis à l’unité. Encore une fois, un succès. Mais il manquait le deuxième fragment, la bague.Les pensée de Hombre, Naia, Raia et Naia ne faisait qu’une, tout en adoptant une différence pas toujours complémentaire, mais subjective quand il faut savoir changer d’avis. La mémoire elle, elle était comme collée par un lien inexplicable, mais indubitable. La bague, elle était là. Là, c’était simplement la poche de Hombre. Maya lui avait planté dedans lors de leur seconde rencontre. Soucieuse de vouloir là revoir : Sois Hombre venait chez elle après déduction que Maya l’avait, sois après l’avoir trouvé dans la poche, voulant des explication. Elle avait réussisHombre, une simple jeune fille, ayant en elle plusieurs personnalité désormais, ayant plusieurs fragment d’âme, certain éparpillés, certain retrouvés. Mais comment expliquer au Mizukage ce qu’il s’était passé, sans vendre sa particularité : Chaque parcelle de corps, chaque fragment d’âme représentait une force pure d’une capacité mentale...Une idée lui viens. Simple, mais efficace : La reproduction de la bague. Hombre fouilla la poche. Dès qu’il la sortis, dès qu’ils la sortirent, dès qu’elle la sortis, la bague disparut, laissant derrière elle un nouveau souvenir, laissant une image de la perfection de ce qu’est un bijoux, laissant derrière lui un vide dans la main d’Hombre….[Mission finie ! Je ne précise pas pour pas faire lourd Hombre qui va chez le kage en disant qu’il a rendu en main propre la bague a la jeune fille, accompagné d’un mot de cette dernière signé. De la main de Hombre, donc de la main de Maya. Donc un jolis finish qui confère des bonus à mon perso en plus, pour mon trait. ^^ Merci pour la lecture à qui le lis !!! (et excusez les fautes. ] | |
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Cloud Fubuki Chuunin du Saigo Senchi
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| Sujet: Re: Fin mission rang D : la bague. Sam 17 Mai - 14:50 | |
| Punaise que c'était long ton truc XD Il est vrai comme tu l'a énoncé dans ton HRP, il y avait des fautes, mais faute avouée, à moitié pardonnée . Enfin bon, tout ça pour dire, que ta mission était assez intéressante, ainsi que ton rp qui mêle un vocabulaire assez varié et une poésie assez bien recherchée. Tu gagnes donc 5XP mission de rang D + 7XP RP + 40 ryos | |
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Hombre Civil
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| Sujet: Re: Fin mission rang D : la bague. Sam 17 Mai - 22:07 | |
| 12XP? Cool, je passe Lvl 2. Les fautes, j'ai une excuse, le seul mpoment ou j'ai l'accé à l'ordi, c'est assez court, et donc je speed pour chaque RP. En plus, je dois respecter un "scénario" pour mon perso. Et question rapide, c'est pas interdit de faire des "RP personels" dans ses missions ou exam? (Pour Maya et Raia...) Bref, merci pour les queslques gentillesses de la fin. | |
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