/!\ Avertissement ! Nii a bénéficié de l'utilisation d'un narrateur. Cependant, Ichi a refusé sous prétexte, je cite "qu'il est un grand garçon!". Veuillez donc nous excuser d'avance pour les troubles et fautes futurement occasionnés dans ce dossier. Cordialement... /!\- Ouais...!
Parce que, d'abord, Ichi, et bah, c'est un grand garçon... U_U
(Oui Ichi, nous le savons…)
-Et que Ichi, et
bah, c'est moi... U_U
(Oui Ichi…Nous-le-savons…*bis*)
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Nom : Raishigami, du clan Raishigami
Prénom : Niichi (Ichi et Nii)
Age : 17 ans (corporellement...pour Nii... Ichi est resté vers les 7-9 ans)
Village natal : Kumo, mais s’est malencontreusement retrouvé à Kiri…
Description physique : Niichi est… quelque peu… bizarre, étrange. Elle/Il est spécial(e). Un aspect androgyne, ni femme, ni homme. On ne sait pas ce qu’il/elle est. Mademoiselle ou Monsieur ? Aucune idée. Quoi qu’il en soit, on peut tenter de le décrire en totale objectivité. Il/Elle a des cheveux courts, d’un châtain banal, et a des yeux bleu-verts, en amande. Cependant ils semblent se modifier lorsqu’Ichi prend le dessus sur Nii, ils deviennent ainsi enfantins, écarquillés, Ichi a un regard d’enfant sur ce monde, tandis que Nii a un regard d’adulte, plutôt mature, et parfois... sadique . Le visage de Niichi est ovale. Sur son oreille droite on peut noter la présence d’une boucle d’oreille et autour de son cou un collier fait de perles grossières et blanches.
Description mentale :
Ichi :Et bah Ichi, c'est un grand garçon d'abord ! Il aime tout ce qui est petit (ou grand), gentil (ou méchant) et mignon (ou pas). Bah vi, Ichi il aime tout après tout ! Parce que tout le monde est gentil avec lui, comme l'autre jour il y avait un gentil ninja qui a voulu lui curer le nez avec un Kunai et Ichi il avait une grosse saleté dans le nez ! Mais Nii, elle est méchante avec Ichi, parce qu'elle a empêché le gentil monsieur de le faire. Et le nez d'Ichi, bah il le démange toujours. Mais vous savez, Ichi faut pas l'enerver, parce que sinon il tatane la tronche aux pas gentils jusqu'à ce qu'ils crachent leurs dents de lait d'abord...
Nii : Nii est une personne (on peut appeler ça comme ça n'est-ce-pas ?) plutôt rusée, ainsi qu'intelligente. Elle a toujours été bonne élève (même s'il faut l'avouer, Ichi gâchait toujours tous ses efforts). Elle s'applique et est très minutieuse dans ce qu'elle fait. Malheureusement, elle a peu de patience (surtout avec Ichi), oui elle s'emporte vite et les insultes fusent. Nii n'est pas une personne généreuse, elle est même très radine, c'est bien dommage d'ailleurs, sans ce défaut elle aurait pu être à un peu près normale (mais qu'est-ce-que la normalité...?) Cependant, il semble à toute personne étrangère au phénomène que Nii a plus de défauts que de qualités humaines, mais une chose est sûre, Nii est faite pour être ninja.
Peur :
Ichi : Et bah moi, j'ai peur de rien ! *Fait le fier* Enfin... presque rien... Parce que moi, et bah j'ai peur des fl... des flll... des FLLL... des F-L-E-U-R-S.... Parce que d'abord, et bah elles sont moches, et pis petites et pis elles sont sounoirses, parce que Nii, et bah elle m'a dis qu'il y en avait qui mangeaient des mouches...! Vous imaginez vous...! Si elles font ça avec des mouches, et bah elle vont faire ça avec des humains plus tard, et pis ensuite avec Nii...! Je veux pas que Nii et bah elle parte moi... *Larmes aux yeux*
Nii : Nii a une peur bleue des requins, une peur verte des greniers et une peur rouge
des crabes. Pourquoi ? Et bien, vous savez, les peurs sont parfois
inexplicables… Aussi, plus sérieusement, Nii ne le révèlera jamais à personne,
mais au fond, elle a peur qu’Ichi la quitte, de quelque façon que ce soit…
Certes elle le hait, mais cela fait bien dix-sept ans qu’ils cohabitent, elle
serait totalement perturbée s’il venait à disparaître…
Histoire:Introduction(s)
Aussi loin qu'elle s'en souvienne, Nii, a toujours eu un camarade de jeu, collé à elle. Enfin, ça n'était pas une personne à part, enfin ce que cela veut dire, c'est qu'elle ne s'en séparait jamais même si elle ne l'aimait pas beaucoup (du tout même).
Elle le voulait pourtant, ça, c'était sûr ! Juste que Nii ne pouvait simplement pas.
C'est là que l'expression "quand on veut on peut" tombe totalement à l'eau. Non, Nii, n'avait pas un frère siamois. Non, Nii n'avait pas reçu du sang de cette personne ce qui la liait à jamais à elle. Juste qu'en réalité, cette personne dont Nii ne pouvait se défaire était... elle-même.
Oui, depuis sa plus "tendre" enfance, elle cohabite avec Ichi. Ichi était Nii et Nii était Ichi.
Pas très clair n'est-ce-pas ...? Pour faire simple, disons, que deux esprits partagent le même corps, la même mémoire et la même histoire. Certains appellent cela de la schizophrénie, cependant, un schizophrène parle-t-il à sa deuxième personnalité comme s'il s'agissait de sa conscience ? Là est le problème, Niichi a conscience de la situation et en profite même ...!
Vous savez, moi, et bah, je suis pas seul, jamais, j'vous le jure sur mon parterre de fleurs...! Elle est dans ma tête, enfin, elle est elle même, hein...! Mais dans ma tête, c'est moi, mais c'est pas moi, et vous savez quoi...? Et bah, c'est ma meilleure amie d'abord, même si elle arrête pas de crier sur moi, la méchante. Mais jamais je ne la détesterais pour ça..! Elle est trop forte, Nii... U_U
Parce Nii, et bah c'est ma copine de tête... Elle est là, elle me parle, je lui répond, mais c'est comme si c'est moi qui parlais, vu qu'on parle avec la même bouche... U_U
Les grands, et bah, ils appellent ça de la schizofannie, je vois pas pourquoi, d'abord, c'est stupide, comme nom, schizofannie... non...?
1°)_
Naissance et... événements (Partie pour Public Averti UNIQUEMENT)"Et bah, notre maman, c'est la plus gentille et la plus aimante de toutes... U_U"Sachez, tout d'abord, qu'avant la naissance, il y a un rapport. Avant la naissance de Niichi, il y a eu une trentaine rapports sexuels, et... autant de meutres. Meutres qui ont eu lieu dans plusieurs endroits. Dix bains de sang ont été à ce jour reconnu à Kumo. Cependant, la vingtaine restante, est une vingtaine officieuse, tout cela dans les alentours du village de Kumo, bref, dans certains villages du pays de la Foudre…
Le meurtrier ? La mère de Niichi: Kamakiri Raishigami. Kamakiri était, et est toujours, une femme qui n'aime que deux choses: le sexe et la mort de ses partenaires. Le décès est une si belle chose, surtout combiné à la jouissance.
Malheureusement, Kamakiri fut arrêtée et emprisonnée pour les trente meurtres qu’elle avait commis, ou du moins dix d’entre eux. Cependant, elle ne se doutait probablement pas, peut-être à cause de son ardeur, qu’en ayant autant de rapports dans un si court laps de temps, elle pouvait être enceinte. Oui, une des filles du fondateur du clan Raishigami allait donner naissance à un enfant presque aussi dérangé qu’elle et que le reste du clan. Bientôt…
Les jours passaient et Kamakiri commençait à trouver le temps long dans sa cellule empestant l’urine, la sueur et les déjections. Cela faisait plus de vingt jours qu’elle n’avait pu jouir des plaisirs dont elle se délectait si souvent. Vingt jours qu’elle n’avait pu mettre la main dans la poitrine d’un homme et y pêcher le cœur pendant qu’un orgasme lui enflammait son corps aux formes généreuses.
Elle avait beau essayer subterfuge sur subterfuge pour attirer ne serait-ce qu’un gardien et lui faire son affaire, ceux-là avaient dû être prévenus de son cas et ne s’en approchait guère. Ils hésitaient même à lui donner son repas de peur qu’elle ne leur fasse quelque chose, c’est pour dire !
Or, un jour, un garde que Kamakiri n’avait jamais vu s’approcha d’elle, la nuit. C’était un bleu, un novice…
une proie. Discrètement, en attendant qu’il fasse le tour de l’étage, la jeune femme dans l’ombre de sa cellule déchira son uniforme de bagne de façon à obtenir des bouts longs et résistants qui serviraient de liens. Puis elle attendit, immobile, impassible bouillonnant d’envie et la déflagration au ventre.
Le bleu revint et s’approcha, Kamakiri étant une femme maligne avait aussi pensé à comment elle ferait pour qu’il ouvre sa cellule… Elle se mit à pleurer après s’être ouvert d’elle-même l’avant bras droit. Le novice lui demanda ce qu’elle avait et elle lui expliqua qu’elle s’était ouverte en voulant retourner son matelas sur un ressort rouillé… Il faisait noir, le garde entra, on ne voyait presque rien, même si en étant attentif on aurait pu remarquer la seule lueur de la pièce : les yeux de la femme assise sur le lit. Une lueur machiavélique, un génie particulièrement vicieux.
Puis, tout est allé très vite, il était près, elle l’assomma, elle le tira, l’attacha au lit et le bâillonna. Les mains et les pieds aux barreaux de la couche. Elle se leva, et avec son poing cassa le petit miroir qui trônait au-dessus du lavabo remplit de moisissure puis elle revint s’asseoir à califourchon sur sa proie. Il reprit ses esprits. A peine avait-il eu le temps d’ouvrir ses yeux noirs qu’une pointe glacée et réfléchissant la faible lumière lunaire s’était posée sur sa veine jugulaire. Kamakiri se pencha et lui murmura :
-« Bande. Dit-elle à celui qui tentait de parler malgré son bâillonnement, bande ou je te bute salopard… Et ne tente rien sinon ton cœur va saigner… »Le pauvre garde ne savait que faire… Kamakiri voyant qu’il ne réagissait pas plus que ça baissa le pantalon de sa victime et ôta le sien. Puis elle se plaça de façon provocante, vous imaginez sûrement comment… Elle le fixa et posa la pointe du miroir sur le cœur du bleu.
-« J’ai dit bande, elle appuya la pointe du miroir sur la poitrine du jeune homme afin d’ouvrir une blessure superficielle, tu entends petit con…? Fait la se lever… »Voyant qu’il ne réagissait toujours pas, Kamakiri sourit. Mauvais présage. Elle quitta un instant le torse ensanglanté du garde et se dirigea vers ses parties intimes. Elle savait comment s’y prendre, et pas seulement avec les mains… Elle commença sa besogne…Il ne pouvait plus résister, il craqua. Le pauvre, c’était horrible de perdre sa virginité à cause d’une femme comme cella là. Jamais il n’avait imaginé cela, jamais. Kamakiri soupirait, lui souffrait tandis que l’objet réfléchissant et sa pointe découpait une nouvelle fois le torse de Takeshi, car tel était son nom. Le buste de Takeshi semblait être couvert de scarifications fraîches à présent... Il sentait qu’il ne pouvait plus faire demi-tour, il ne savait pas ce qu’il allait advenir de lui, il avait peur. C’était totalement absurde ce qui se passait ! Comment en était-il arrivé là ?! Kamakiri en était à son dernier orgasme, le troisième pour être précis. Takeshi éjacula, soulagé d’un côté, peut-être que cette folle à lier allait le laisser tranquille ? Enfin…
Kamakiri serra le bout de miroir tellement fort qu’elle en saigna. Mais, des deux personnes qu’il y avait dans cette pièce celle qui souffrirait le plus était…
-« GWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARGH !!!!!!!… » …était celui qui était entré dans la cellule de la mante religieuse.
Kamakiri venait, premièrement de trancher la gorge de Takeshi au niveau des cordes vocale (elle en profita pour enlever le bâillon) puis, elle se retira, laissant le sexe du novice mouillé d'un entremêlement de liquide vaginale, de sang et de sperme… Puis, elle acheva sa proie : elle ouvrait le torse lentement tandis que Takeshi perdait peu à peu connaissance. Seulement, Kamakiri savait que le cri qu’avait précédemment poussé son patient semi-mort avait alerté les autres gardes. Pour obtenir satisfaction, il fallait donc agir vite, vite et bien. Elle arrivait à ce qu’elle préférait, le cœur, ne palpitant presque plus, elle l’arracha dans un flot de sang puis elle s’attaqua aux parties génitales de l’homme, commençant par les testicules. N’ayant que le miroir comme arme pour découper, elle ne peut se délecter du même plaisir que d’habitude, malheureusement. Puis elle passa au pénis, mais le miroir ne faisait pas bien son travail, c’est alors, que sous le coup de la folie elle mordit violemment le sexe du défunt garde, le croquant à pleines dents, mêlant le sang et le sperme qui commençait à sécher à la bave qui coulait des lèvres de Kamakiri. Elle fut maîtrisée à temps (si l’on puis dire) par les gardes qui venait d’arriver sur le lieu de ce massacre. Tous les prisonniers étaient réveillés à présent, comment ne pas l’être d’ailleurs…? Cette nuit là, Kamakiri fut jeté dans la salle d’isolement, une camisole de force sur le dos, enceinte. L’enfant ne connaîtrait jamais son père…
La mante religieuse bénéficiait maintenant d'un régime alimentaire très enrichie en calories invisibles. Purée sans goût, bout de pain, steak dur ou calciné... bref, une bonne et saine alimentation pour une femme enceinte d'un futur dégénéré, comme le voulait la "coutume" du clan Raishigami. Quiconque naissait dans ce clan devait obligatoirement avoir une dégénérescence mentale, pourquoi ? Bonne question. Il parait que c'était à cause du fondateur du clan, allez savoir ce qu'il avait traficoté... Enfin, revenons en au fait. La femme enfermée tournait en rond dans le noir, cela faisait environ huit mois. Huit longs mois... Huit mois sans sexe, huit mois sans breuvage, huit mois sans la moindre déflagration dans le ventre. Huit mois qu'elle n'avait pas sentit les pulsations de son cœur battre la mesure au rythme de ses pulsions meurtrières. Et accessoirement, huit mois que son ventre avait enflé ! Enflé !! Elle venait à peine d'y penser, sans doute trop occupée à penser à son passe temps favori, elle n'avait pas noté le fait que son ventre était vraiment énorme... (Faut le faire quand même.)
La camisole commençait à l'énerver... Bien-sûr, les responsables de la cellule lui enlevait pour des raisons évidentes de propreté quotidienne. Puis un jour, les hurlements à la fois de haine et de douleurs se firent entendre d'un bout à l'autre du centre de détention, de telle façon que même les gardes ne purent faire semblant de ne pas l'entendre. Rapidement, le docteur pénitentiaire fut appelé et emmené sur place où il fut stupéfait par le visage qu'elle affichait, un visage de haine profonde et irraisonnée.
- "Qu'est-ce-vous avez à me regarder bande de connards ! Enlevez moi cette merde du ventre ! Bande d'enculés ! J'ai une putain d'infection alors sortez vous les doigts !"Le docteur sortit alors immédiatement de sa torpeur pour se mettre au travail, distillant ses ordres aux quelques gardiens présents dans la pièce qui sortirent immédiatement faire ce qui leur avait été demandé. A peine le dernier garde fut-il sortit que le directeur de la prison en personne entra accompagné du chef de la garde. Le docteur, en plein travail, ne le remarqua pas au premier abord, tout du moins pas avant qu'on ne le lui fasse remarquer. Le docteur entraina le directeur dans un endroit un peu plus calme, sous les menaces et les jurons de Kamakiri, pour lui expliquer brièvement la situation, à savoir qu'il avait put observer le fait que la jeune femme meurtrière allait bientôt être mère.