Team 2, Test de Kikoï seul, Deuxième Partie

Team 2, Test de Kikoï seul, Deuxième Partie

La nuit avait installé sa sombre dominance sur le paysage désertique de Suna. Comme d'habitude, un froid insoutenable et ennuyeux régnait, assez chiant pour faire perdre la vie à celui qui s'y perdrait vêtu comme en plein jour. Or, c'est à ce moment là que Yashamaru avait choisit de donner rendez-vous à son élève, comme pour le punir pour sa témérité trop grande, ses décisions sauvages et insensées. Installé sur le haut d'une dune, il observait Suna au lointain, comme une baie sauvage installée dans le sillon d'une sombre vallée, pensez à Turner. Les dunes, toujours elles, forment des vagues immobiles, incapables de se mouvoir dans une étendue de terre sableuse, de sable, finalement, de ce qui compose le desert et le determine en tant que tel, en tant qu'espace desertique voué à être espace sableux. Dur de se positionner face au sable qui en tant que tel, contrairement à son agglomerat Duneux, était aussi mobile que les véléhités humaines. Le ninja Iga attendait son élève, et se surprit à penser...

Penser, c'était pour lui songer à ce temps passé à Suna, depuis l'an passé où il s'était installé. Il en avait fait du chemin, le petiot, depuis. S'il s'était à un seul instant figuré sa propre figure posée sur ce corps plus athlétique, mais toujours plus svelte, plus rapide mais vêtu d'une armure de Juunin laide et commune... Yashamaru l'avait promis, du moins, se l'était promis : il ne mettrait jamais cet uniforme horrible devant quelqu'un qu'il devrait tuer. Déshonorant, quelque peu déplacé. Apparaitre dans un vêtement commun, tuer du commun. Voila le but de l'uniforme, faire disparaitre l'homme derrière du commun. En ce sens, cet uniforme puait, il sentait la mort, et le commun. Le commun. Il part, il revient, le commun. Et Yashamaru, dans sa course haletante - figurez vous des levriers aux langues pendantes -, ne pouvait se permettre le commun. Il se sentait investi d'une puissance nouvelle, celle d'être être à part entière dans un monde d'êtres communs. Tortueuses pensées, Yashamaru l'acceptait.

Quelques minutes plus tard, il était l'heure de commencer à attendre Kikoï. En effet, contrairement à son compère surpuissant de l'affreuse Konoha, l'homme à la chevelure grise et aux airs de gozaru toujours en retard, Yashamaru se faisait l'obligation, impératif catégorique, d'être toujours ponctuel, toujours à l'heure, toujours présent pour être incritiquable. C'est comme ça qu'il avait choisit de briller et de ne pas pouvoir être pointé du doigt, lui, ancien membre de clan illustre devenu clan mineur et ridicule. Raillé ? Non, quand même pas. Il avait une gueule assez grande pour qu'on le respecte et qu'on lui laisse le crédit de prouver ce qu'il était.

Voila l'heure venue, voila le Genin qui devrait commencer à se pointer, en avance, espérons-le pour lui, à l'heure, pour une mièvrerie banale et illustre normalité, ou en retard pour sa perte. Oui, voudrait t'il courir à sa propre perte ?

¤

Kikoï
dormait il était dans un rêve enfin plutôt un cauchemar, il revivait la nuit la
plus horrible de sa vie, celle où c’est parents se faisait tuer, ils courraient
pour échapper aux bandits, mais cette course ne sauva que le jeune enfant, il avait réussi à maîtriser sa colère cette fois. Il n’en voulait presque pas aux bandits. Mais au moment où sa mère sauta de la falaise il fut comme aspirer par
le ciel il tenait de tout sa petite force de nourrisson la main de sa mère, il
la lâcha, où fut réveiller par le bruit de la porte, il se leva et vit la
lettre sur le sol, il ne voulait pas l’écrire mais une partie de lui le voulais
et le poussa à faire se qu’il ne voulait pas faire. Il l’ouvrit et vit se que
son sensei avait écrit il s’arrêta sur une phrase « Rendez-vous à 1h30. Ne sois pas en retard,
cette fois ». Sa première réaction fut de se tourner vers
son horloge, elle indiquait 1h20

*Il faut que je me dépêche *

Il ne déjeuna pas, il n’avait pas faim ce qui est
normale a 1h20, Il s’habilla vite fait, mal fait, mais comme il disait on ne
verra pas mes habits dans le noir. Il attrapa son katana, ce katana était pour
lui la chose qu’il chérissait le plus au monde se katana appartenait a son père
s’était le dernier souvenir des son
père. Regarda l’horloge «1h28 »

*Bon là je dois courir comme un fou »

Il courait à travers le village Suna comme si il
avait les Sabaku Heitai à ses trousses. Mais il devait être ponctuelle, car son
sensei tient a qu’il soit polit, et surtout ponctuelle s’était comme pour lui
son objectifs premier, Kikoï doit être ponctuelle. Le jeune genin le trouvais
un peu fou des fois mais il voulait lui ressembler il veut être un assassin tué
des gens dans l’ombre être l’homme de l’ombre celui qui est redouter de tous,
qui tue les gens dans leurs sommeil. Le soleil se reposais la lune le
remplacer, c’était la plaine lune celle des fantômes et des loups-garous, celle
de l’entrainement solitaire d’un jeune ninja du village caché du vent. Il
arriva dans le terrain d’entrainement et vit son sensei. Etait t-il en retard,
il le ne le savait pas. Il n’avait pas de montre il n’a pas d’horloge dans le
terrain d’entrainement. Il regarda son sensei, et vit dans son regard une
certaine chose qui lui disait « C’est bien tu n’es pas en retard »Un
grand sourire apparut sur le regard du jeune ninja

« Bonso…..Euh bonne nuit Yashamaru-sensei »[/size]

» Yashamaru no Team [Introduction de Kikoi Hijuka]