[Rappel perso :
-90PV / 65PC
-Volonté : 5
-Genjutsu spé de 5
-6 PA / tours]
Hombre s'avança vers le centre d'une clairière. Une mésange volait à droite, un oiseau agonisait au loin, une guêpe hurlait de ses ailes au dessus, et une fleur horriblement écrasée gisait. Le ciel brillait pas son nombre de nuage, et assombrissait le sol par le soleil qui les éclaires au dessus de tout. Malheureusement, il n’allait pas être seul longtemps, il attendait gentiment que Raiga, un de ces sois disant camarade de village, vienne le provoquer, l’énerver, et le battre, si la force y est.
En l’attendant, il rangeait ses deux kunais : un à son poignet, caché par sa manche, l’autre à la cheville, près à être utilisé dans les plus brefs délais.
Et l’autre arriva, sans se presser, faisant paraitre une ingénuité et une candidité dans sa démarche, l’air perdu. Hombre lui fit signe, alors qu’il s’était assis dans un arbre, comme à son habitude. Il regardait le ciel, essayer de percevoir les étoiles parmi le bleu impénétrable, et parmi les nuages.
Il descendit de son arbre, haut perché, pour allé s’assoir devant son futur adversaire. Malgré que ça sois Raia qui est venu lui demander l’affrontement, c’est Hombre qui fixa les conditions.
-Tu peux blesser, faire mal, mais pas tuer. Tu peux utiliser toutes tes techniques ninjas, tu peux essayer de te défendre aussi bien que d’attaquer, et tu peux également essayer de ne pas mourir, dans la limite du possible.
Le jeune ninja comprit assez vite, puisqu’il acquiesça. Hombre se mis en place, à un des deux bouts de la clairière, et Raiga de l’autre coté. Tout commença dans le regard.
Hombre scrutait chaque parcelle de la rétine de Raiga, ne souffrant pas de la peur, ne craignant pas le dôjutsu, n’ayant peur que de lui-même. Il lui sourit, lentement, monta la main, laissa son capuchon, pour ensuite la rebaisser. Elle n’avait que mis la capuche en place, et pourtant, tout résidait sur ce mouvement dans le combat. Raiga allait comprendre bien assez vite… Hombre avança, pieds après pieds, comme un escrimeur espagnol, œil dans œil, rétine tueuse, en prévision d’une lente agonie. Il l’invita à prendre le départ du combat lui-même :
-Va, attaque, que je te montre…