[Intemporel] Entrainement en solitaire. [En cours]

Nouvelle vie: chapitre premier: la comprehension.

Sadoruro vennait juste de finir son examen qu'ils appellaient examen de Genin. Neanmois, un gout amer restait dans sa bouche. En effet, il n'avait fait que trois des six entrainements de l'academie. Car lui, il ne reussissait pas a faire ce que les autre appellait des techniques.
Il savait creer une grande reserve d'energie vitale, l'expulser, l'utiliser en la concentrant dans un point de son corps pour le renforcer, ou encore l'envoyer tel quel comme arme sur l'adversaire, il savait parfaitement l'utiliser tel quel... mais apperement, ce n'etait pas suffisant pour realiser des techniques. Il fallait autre chose...

Ce fut perdu dans ses pensées que Sadoruro recupera le bandeau qui apperement etait le signe distinctif du village.
Mince, il ne pouvait abandonner la ! Deja que la moitié des aspirants se moquaient de lui, il ne pouvait pas rester tel quel. Non, c'etait décidé. L'energie vitale, ici, avait des proprieté inatendu... Tant mieux ! Sadoruro les comprendra, les maitrisera, utilisera leur puissance pour renforcer la sienne. Bientot, sur ce coté ci du globe, il retabliera la reputation de son attaque, de sa particularité.
Mais tout d'abors, il fallait placer les premieres pierres. Rome ne s'est pas construite en un jour. Il devait avoir des renseignement, ainsi Sadoruro alla t'il a la bibliotheque de Suna.

La bibliotheque etait un endroit tenu dans un ordre stict... mais elle etait deserte. Personne en vue. Ne se laissant pas abattre, Sadoruro commenca a inspecter les rayons. Sa quete se resumait a cela: "Chakra". Mais rien.... Il y avait bien des bouquin sur la stategie, d'autre su la sociabilité, mais rien sur le Chakra... Le moral de Sadoruro commenca a baisser, lorsque soudain il appercut un petit livre caché derriere d'autre gros bouquins, comme ci il ne fallait pas qu'il soit decouvert, et qui ressemblait plus a un cahier qu'autre chose. Dessus figurait en gros et en manuscrit: "Energie vitale". Ca y est, il avait enfin trouvé quelque chose ! Sadoruro alla s'assoir a une table, et ouvrit le bouquin.

Il etait imprimé, mais il y avait nombre de notes inscritent a coté des points importants. Apperement, il fut la proprieté d'un ninja avant d'atterir ici. Sadoruro lut pendant des heures le bouquin, avec une soif intarrissable de connaissance qui resultait de sa colere.


[Ce qui suit est une partie modifiée de la theorie de l'energie vitale, pour respecter les mots du Mangas. Remplacez "Chakra" par "Ki" et vous aurez la vraie. Si vous voulez des renseignement sur ce que sont les chakras, rappellez vous, wikipedia est votre ami ^^.]

"L'energie vitale, ou chakra, est l'energie qui permet a notre corps de vivre, mais aussi a l'univers d'exister, ou encore a tout etre de vivre. Elle relit toute chose entre elle, et est presente partout. Dans notre corps, elle voyage a l'interieur d'un reseau de distribution du Chakra, qui se deroule absolument partout, mais ayant pour centre un point situé a deux travers de doigts en dessous du nombril. Cet epicentre est le lieu ou est concentrée toute l'energie de notre corps, celle qui est produite par celui-ci, et celle qui est absorbée par l'exterieur. Sur notre corps et en correspondance avec le systeme de diffusion du Chakra se trouve de petite ouverture, que l'on appelle Tekentsu, et qui permettent d'absorber le Chakra de l'exterieur autant que de faire jaillir celui a l'interieur de notre corps."

Pour Sadoruro, ce passage etait deja interressant car elle expliquait la difference entre ce qu'il connaissait et la realité de ces lieux.


"Depuis fort longtemps, des hommes de notre terre se sont efforcé d'enfermer des forces crée par l'energie vitale derriere des sceaux, des signe mystique, afin de realiser des techniques. Ces hommes furent bientot appellé Ninja. Les techniques ninja reposent sur les effort de milliers d'homme pour codifier l'energie vitale en techniques pouvant etre utiliser par toute personne capable de relacher leur energie.
En effet, les techniques produise un certain effet et ce independement de la force de l'utilisateur, et tant que deux utilisateur different peuvent utiliser la meme techniques, elle aura le meme effet.
Pour utiliser des techniques ninja, il faut tout d'abors savoir realiser les sceaux qui enfement les energies, et ensuite pouvoir malaxer son chakra afin de l'insufler a l'interieur des sceaux, afin de temporerement les briser et relacher l'energie de la technique pour qu'elle se realise un bref instant. Le chakra insufler a l'interieur des sceaux desparait a la destruction de ceux ci, voila pourquoi il est perdut a chaque techniques.
Pour creer une technique ninja, il faut donc reussir a enfermé l'energie et l'effet desiré derriere des sceaux choisit pour y resister. A partir de la, n'importe qui pourra en relecher les effet indefiniment."

Alors voila la difference, finnalement. Pourant, qu'elle que chose etait apparut clairement au yeux de Sadoruro: De part l'effort des hommes de cette terre, l'energie vitale est dompté et codifié... mais ce meme a l'interieur de leur corps, dut aux generations qui se sont succedé la ou tout etait codifié ! Leur corps, et leur energie, qui s'adapte comme toute chose naturelle, se sont ainsi codifié de la meme façon. Mais Sadoruro, lui, vennait d'une terre ou l'energie etait encore suavage, et ou les hommes apprennait a en utiliser la puissance brut a chaque fois ou il en avait besoin, et pas a l'enfermer. Seulement lui, il avait apporter en son corps un systeme ou tout etait sauvage, libre. Jamais il ne pourra utiliser des techniques ninja.

Alors c'etait finnallement ca, la verité. Sadoruro ne pourra jamais utiliser ces techniques. Le livre etait finit, il ne restait plus qu'a le ranger. Mais a la fin, quelque chose l'avait encore intrigué. Il y avait marqué la collection dans laquelle ce livre ce trouvait. En faite, il y avait un autre bouquin, intitulé: "Taijutsu, l'art du corps a corps, techniques."

"Tient, interressant." pensa Sadoruro. "Peut etre qu'i; y aura d'autres informations..."

Et, envers et contre tout, Sadoruro se remit a chercher. Il retourna quasiment tout le bibliotheque, cherchant derriere les gros bouquins, dans tous les coins et recoins, mais rien, il ne trouva rien. Une voie retenit derriere lui.

"Oui, c'est frustant quand on ne trouve pas ce que l'on cherche. Mais peut etre puis-je vous aider."

C'etait la voie d'une vielle femme, ridée, mais arborant un sourire chaleureux. Elle etait petite, habillé d'habits coloré et de chales.
"Je suis la bibliothecaire. Je connais tout les livres present ici. Je serait heureux de vous aider, jeune homme !."[/b]

"Peut etre que vous le pouvez, en effet. Je vous en remerci. Je recherche le livre intitulé "Taijustu, l'art du corps a corps, techniques." "

La bibliothecaire plissa les yeux.

"Et pourquoi recherchez vous un tel livre, jeune homme ?"

"J'en ais besoin... car je sens que sans lui, je ne pourrais jamais pleinement me sentire Ninja."

Apperement, Sadoruro avait donné une bonne reponse, car le sourire revint sur les levres de la bibliothecaire.

"Alors je ne vais pas vous gacher votre reve. Vennez, il se trouve dans la reserve. Mais attention, vous devrez le consulter ici."

Sadoruro suivit la vielle femme jusqu'a une cave, ou se trouvait apperement des livres extremement precieux.

"Voila, c'est celui la. Prennez le."

"Merci du fond du coeur !"

Sadoruro pris le livre apres avoir remercié le femme, et alla s'assoira une table. Il l'ouvrit, et s'apercut que ce livre etait resté a l'etat de manuscrit, il n'vait pas encore été edité. Apperement, c'etait donc le seul et unique exemplaire.
Sadoruro commenca sa lecture.

"Le Taijustu est l'art de combattre au corps a corps, avec l'aide de ses armes naturelles, ou d'armes manufacturé. Pour un ninja, le plus important va etre l'efficacité, mais il est aussi important de ne pas totalement oublier le style, car un style imposant va destabiliser, impressionner voir efrayer l'adversaire. Dans le Taijutsu, on distingue deux partie:[b]

-Le techniques de combat proprement dite, avec les coups, les clés, les projection et autres.

-Et les techniques qui neccessite du Chakra.

Nous aborderons dans ce livre la seconde partie.

Dans le Taijustu, les techniques de chakra different. En effet, plutot que de reposer sur des forces enfermées derriere des sceaux (voir precedent volume), elle reposent principalement pour l'injonction de chakra des les coups. Ainsi, ce n'est pas la peine de devoir malaxer le chakra."

Oui, Sadoruro avait bien lut. Pas la peine de malaxer le chakra. Concentrer l'energie vitale dans ses coups. Ca, il pouvait le faire ! Sadoruro passa du temps pour lire le livre en entiers, le survolant en fait, car tout ce qui etait marqué dedans, il le savait deja, au final. Cela avait été instructif, mais finnallement, peu. Mais, alors qu'il le refermait et se levait, l'interieur dune page de couverture se rompit, decouvrant ainsi un compartiment caché a l'interieur du couir de la couvertuire, et d'où sortirent de feuilles manuscrite, mais d'une autre ecriture. Un signe du destin ? Intrigué et exité a la fois, Sadoruro rammassa ces feuilles, qui parraissait vieulle et fragile, avec le plus grand soins.

"Hachimon Tonkou: l'ouveture des portes."

"A l'interieur du systeme circulatoire du Chakra, se trouvent Huit portes, ayant pour fonction de reguler les flux de Chakra sur le dit systement."

A coté se trouvait un shema montrant l'emplacement de ces portes.

"La premiere portes se trouve a l'interieur de la tete, les autres descendent le long de la colone vertebrale, mais la derniere se trouve sur le coeur. Ces portes ont un role cruciale, car elle permettent de distribuer la bonne quantité de chakra au bon endroit, au bon moment. Ainsi, en le regulant, elles evitent la perte de chakra, et donc de force qui en resulte.

Pourtant, il est possible de les ouvrirent. Ouvrire les portes se revele etre un exercice de plus dangereux, mais le puissance qui en resulte peut permettre d'etre plus puissant que les Kage eux meme. Mais attention: ouvrir les portes et rester dans cet etats occasionne des douleurs et des blessures, et il faut que votre coprs soit des plus fort pour y resister.

Ouvrire les portes desinhibe le flux de chakra. Ainsi, ouvrir la premiere porte brise le controlle du cerveau sur les muscles, et permet de les utiliser a son paroxisme, tandis que la cinquieme permet de relacher la quasi totalité du chakra. Mais attention: ouvrir les huits portes signifie la mort a la fin de l'utilisation. Pour des raisons de securité evidente, nous ne nous etalerons pas plus sur le sujets."

Ceci etait ce qui etait marqué sur la premiere feuille. Mais apres, bizarrement, il y a encore d'autre feuille, ecrite plus maladroitement, remplis de ratures, et signé d'un certain Maito Gai.
" Pour ouvrir les portes, il faut pouvoir tout d'abors se concentrer. Il faut pouvoir visualiser l'ensemble des portes, les ressentir, et les imaginer se briser."

Son esprit sortit de son lieu de residence habituel, de cette cage ou bon nombre de personne le laissait enfermé sans se soucié qu'au dehors de cette prison l'esprit pouvait realiser de bien plus grande chose que cloitré dans le lieu qui lui avait été atribué par les regles elementaire de la Nature.

Il etait sortit de sa tete, et voyageait maintenant sur le reseaux diaphanne, intangible, sans consistance mais existant be et bien, du chakra. Partie de ce lieu situé a deux travers de doigt au dessous du nombril, centre de toutes les energies du corps et base de creation de l'energie spirituelle dans l'organisme, Sadoruro sentait qu'il se dirigeait vers le sommet de son crane, suivant ligne apres ligne les entremelements du reseau d'energie, se dirigeant a la sensation plus qu'a la deduction.

Mais il ne savait pas, il ne connaissait pas. Il se perdait dans ce reseau qu'il n'avait jamais apprit. Avançons ! Ici, le rein, ce n'etait pas le bon chemin. Alors continuons d'avancer, et prennons a droite ! La le coeur, il montait, mais n'y etait pas encore. A gauche ! La, a droite ! Suivont cette ligne, vite ! Enfin les canneaux de la colone vertebrale ! Il avait enfin trouvé le chemin pour montrer jusqu'à sa tete, lieu de residence de la premiere porte.

Il suivit donc ces lignes, son esprit monta, monta, suivant le chemin s'enroulant autour du pillier de notre etre, passant vertebre apres vertebre, d'abord les lombers, prêt du coxys, ensuite les autrs, plus petites, consituant la majeures parties de cette colone. Il continua de monter, suivant tel un train ces rails invisibles, arrivant enfin dans l'endroit que son esprit avait quitté, etant maintenant la non plus comme l'esprit dirigeant le corps, mais comme l'esprit chercheur de ce point si particulier du reseau de chakra, etant le voyageur explorant ce dernier.

Il y etait presque, presque, quand la, soudain, misere! Une douleur tellement intense... Non, ce n'etait pas possible ! L'esprit de Sadoruro gemissait en son etre ! Il avait mit trop de temps, s'etait trop perdu. Devant lui s'etendait de plus l'endroit ou, apres le centre des energies, le reseau etait le plus entremelé. Tant de chemin, tant de possibilité, mais tout cela etait si floue, cela faisait si mal... Non, il devait reussir, il le devait... Il commenca a s'engager sur ce chemin, mais la douleur etait trop grande ! Tout devennait floue.

Sadoruro perdit pied en meme temps que sa concentration, puis il se sentit tomber, tomber, alors que tout tournoyait autour de lui a une vitesse illusoire, il se sentait tomber, se perdre....

Puis il se sentit heurter quelque chose de dur. De tres dur. Puis il s'en rendit compte immediatement, la douleur de son esprit avait disparut. En fait, la douleur qu'il ressentait maintenant lui vennait surtout de derriere son crane...

Sadoruro ouvrit les yeux. Un bleu eclatant lui sauta alors a la retine. Enfin, tout revennait clair, autant ses sensations, ce qu'il se passait autour de lui, que son raisonnement, ses capacitées cognotives.
Pendant qu'il etait la bas, voyageant tel un fantomne, usant d'ailes diaphannes crée par la force de son esprit pour suivre tel des rails ses canneaux de chakra, son reseau de chakra, Sadoruro s'etait rendut compte qu'il n'arrivait plus a fournir un raisonnement logique. Il s'etait sentit tel une machine, seulement capable de reagir aux evennements qui arrivaient, n'utilisant que ses sensations pour se guider, incapable d'etablir un plan, un raisonnement, seulement capable d'utiliser les connaissances elementaires qui etaient enfouies en lui.

Seulement, il n'en avait pas eut assez. Il n'avait pas sut se diriger dans ce reseau qu'il decouvrait a peine. Il avait echoué, par manque de temps, de connaissance. Maintenant il savait ou se trouvait la portes, mais il ne connaissait pas le chemin qu'il lui fallait emprunter pour y arriver.

Sadoruro se releva alors. Pour lui, une eternité semblait s'etre ecouler, mais sans doute que pour le monde reel, si c'etait celui la, seul un battement de cil pouvait etre passé. Il savoura alors la merveilleuse vue que lui offrait le village, ce village qui l'avait receuillit, avait meme tenter de le former, lui avait donné les bases pour reussir. Puis il detourna le regard, se massant le derriere du crane pour faire disparaître la douleur. Il avait beau avoir la tete dure, il aurait neanmoins une bonne bosse.

Puis Sadoruro alla s'assoir sur un roché non loin. Cette petite excurtion, bien que ne l'ayant finnallement pas ammenné si loin que ca, lui avait semblé lui faire traverser l'univers en entiers.

« Rhaaa, je suis crevé... Et cette douleur... Quelle horrible douleur... C'etait la pire que j'ais jamais ressentit. C'etait loin d'etre une douleur physique, je suis habitué a celle la... C'etait pire... Elle m'a enserré l'ame de ses griffes... mon esprit criait, sentant le desespoir. Il sentait bien que ce lieu n'etait pas fait pour lui, que les forces universelles a l'origine de toute chose n'accordaient qu'un laps de temps limité a ceux s'aventurant en ces lieux... Et moi, je n'ait pas été assez rapide. »

Sadoruro se releva alors. Purée, ce qu'il avait faim, maintenant ! Trainant alors les pieds, il s'approcha de son sac, pour y prendre une ration des provisions qu'il avait fait en prevision de cet entrainement. En fait, c'etait tout bettement un sandwich. Jambon-fromage. Le must du dejeunage rapide sur le pouce. Enfin...

Sadoruro grimaca quelque peu avant d'enfourner une enorme bouchée dans sa bouche. Loin d'etre succulent, mais nourrissant. Il se sustenta alors paisiblement, profitant de la vue qu'il avait sur le desert, plus loin, et sur le village, en contre bas. Au soleil, il devait etre dans les environs de midi. Les gens sortiaient de leur travails pour rentrer chez eux dejeuner, et a l'academie, la pause dejeuné vennait de sonner, au grand soulagement des gaki comme de leur sensei. Tout le village recommancait a s'animé, faisant fit de cette chaleur a laquelle tout les habitants etaient habitués.

Enfin, Sadoruro avait finit son repas. C'est la que ca lui tomba d'un coup. Il ne sut pas pourquoi, mais bien qu'il se sentait une seconde auparavant parfaitement en forme, la seconde d'apres, une etrange envie de sommeil lui tomba brutallement dessus. D'un coup, tout son corps fut endolorie comme par un manque de sommeil, son esprit s'enbrouilla, et le sol, bien que rugueux, l'appella. Ne pouvant resister, Sadoruro tomba alors dans le gouffre noir du sommeil. Chercher les portes, sans meme les atteindre, devait avoir plus d'effet secondaire qu'il ne pensait.

Sadoruro faisait un reve etrange. Il se trouvait dans un endroit de ce qui ressemblait au neant. Il n'y avait rien autour de lui, rien, tout etait desert. Il ne semblait meme pas y avoir de sol. Il semblait se tenir debout, la, comme cela, dans les airs. D'ailleur, il ne semblait meme pas voir, il ne savait meme pas si il y avait de la lumiere. Il tenta d'avancer, il mit un pied devant l'autre, quand tout a coup, quelque chose apparut devant lui. C'etait etrange, on aurait dit... comme un film projeté sur une toile de cinema... mais sans la toile...

Sadoruro y regarda plus attentivement. C'etait en effet comme un film en trois dimension qui se deroulait devant lui. Il vit tout d'abord un livre, un livre qu'il connaissait bien, celui qu'il avait trouvé a la bibliotheque, alors qu'il recherchait des indices sur l'energie vitale dans cet endroit. C'est d'ailleur la qu'il avait trouvé les differences sur son utilisation entre ces pays, et le siens.
Puis le livre s'ouvrit, les pages defiilant devant Sadoruro. Pages apres pages, le livre finit par s'arretter a l'endroit expliquant le reseau de chakra, a l'endroit aussi ou il avait apprit l'existance des portes sur ce reseaux, avant de trouver des notes prises par ce Gai, et enfermé dans la couverture de cuir de cet ouvrage.

Puis l'image zooma, se concentra sur le dessin du reseau de chakra dans le corps humain. Puis tout s'arretta.

Sadoruro se reveilla d'un coup, se relevant immediatement en position assise, ce qui faillit le faire s'evanouir a cause de l'aflux de sang dans son cerveau. Au loin, le soleil se levait.

Attendez ! Quoi, le soleil se LEVAIT ?

Sadoruro se frotta les yeux pour mieux voir. En effet, au loin, l'aube pointait.

« Combien de temps j'ais dormit ? Quasiment 24 h ? »

Puis Sadoruro eut un haut le coeur. Non pas de degout, mais de faim. Son organisme, affamé, criait a la famine, apres avoir pasé temps de temps sans se nourrir ! Son corps avait il depensé tant d'energie dans son sommeil ? Mais pourquoi ? Sadoruro prit alors un repas matinal pioché dans les provisions qui lui restait.

« Bizzare, generalement, cela se produit quand notre organisme doit reparer des degats fait sur notre corps. Il pioche alors dans toutes les reserves d'energies disponible, c'est pour cela que le sommeil est indispensable, afin de laisser le plus d'energie possible a l'organisme. »

Sadoruro engloutit son repas. Puis il repensa a son reve. Il pensa avoir comprit le message.

« Je doit apprendre mais surtout comprendre le reseau du chakra. La derniere fois, j'ais echoué, car je m'y suis perdu. La prochaine fois, je devrait non pas l'avoir apprit, mais plus que cela, l'avoir integré en moi. Car en ce lieu, seules les sensations sont encore utilisable. Et cette connaissance, elle devra faire partie de moi.

C'est pour cela qu'il me faut plus qu'un livre. Dans un livre, je pourrait apprendre par coeur. Mais je ne ferait jamais mien. Non, il faut autre chose. Mais quoi ? »

Au loin, le soleil se levait, fournissant une vue absolument magnifique sur le desert alentour. Les couleurs flamboyantes se refletaient sur le sable, faisant croire a un ocean de feu teinté de rose et d'orange.
Le village lui aussi s'evaillait. Des lumieres apparaissaient ici et la, a travers les fenetres, suivant le reveil des occupants de la maison. Deja, des habitants sortaient leur poubelles, ou allaient chercher leur bouteille de lait au pied de leur portes.

Sadoruro comptempla le spectacle pendant de longues minutes, suivant le debut de journée des gens. Il regarda les enfants sortir dans la rue, les gens partir a leur travail. Au loin, les ninjas de garde etaient remplacé par ceux de jours.

Et puis, de longue minutes apres, une sonnerie retentit. Il tourna alors la tete, ce son lui etant fammilié, pour voir que les enfants allaient rentrer en classe pour la journée, afin de continuer leur apprentissage de ninja.

Un sourir apparut sur les levres de Sadoruro, en pensant que perdu au millieu du desert, dans un monde en conflit, utilisant les ninjas comme des armes, un petit village comme celui ci pouvait exister, et dans ce petits villages, une ecole des moins banale existait aussi.

Puis cela lui apparut comme une evidance. Et cela lui fit perdre son sourir. Dans cet ecole... c'est la qu'il allait devoir retourner. Pour son entrainement, pour ses portes... C'est la qu'il trouverait quelqu'un qui lui permettrait de pouvoirs faire sien ce qui lui manquait.

Chapitre second: Connaissances Diaphannes.

Retourner encore une fois a l'academie. Purée, deja que Sadoruro n'avait pas un bon souvenir de cet endroit... il allait devoir y retourner... Pourtant, il le fallait, c'etait le seul endroit ou il allait pouvoir trouver un maitre qui pourrait lui enseigner ce qui lui manquait.

C'est avec cette idée, chassant son malaise, qu'il descendit du terrain d'entrainement ou il avait passé les deux derniers jours. Oui, en effet, il etait resté deux jours la haut, et, c'etait peu dire, Sadoruro etait vraiment dans un sale etat. Il etait couvert de poussieres, de terre par endroit, bref, pas vraiment presentable. Il decida donc de faire un tour dans la chambre qu'on lui avait decerné lors de l'obtention de son diplôme, vu qu'il n'en avait pas ici, et vu que les ninjas devaient mieux se reposer que les autres, de par leur activitées intenses, on ne pouvaient les laisser sans abris, dormir dehors. Sadoruro, lui, avait passé les trois quart de sa vie a dormir dehors, il n'y voyait aucune difference, surtout pas lorsqu'un debut d'été etait aussi beau.

En tout cas, Sadoruro arriva bientôt dans sa chambre. Elle etait suffisement grande, pas trop, mais juste ce qu'il fallait. Il y avait aussi un lit, une cuisinette, et une salle de bain. Sadoruro s'ocupa tout de suite de la salle de bain. Fort heuresement, elle etait tout de suite utilisable, sans doute tout avait il été rangé quand on lui avait donné la chambre.

Apres que Sadoruro eut finit de vider son chauffaud, en profitant au passage pour se relaxer totalement, il s'habilla d'un autre de ses kimono a manches coupées, le premier etant bon a laver au moins trois fois.

Propre comme un sous neuf, Sadoruro sortit enfin de sa chambre, son sac sur les epaules, comme toujours, ne laissant rien a l'interieur.
Au dehors, il etait deja presque onze heures, la chaleur était deja bien la, le soleil aussi etait haut dans le ciel, de plomb, et les routes semblaient floues sous les effluves de chaleur qui montaient d'elles.
Neanmoins, il y avait de la vie dans le village, des gens marchant dans les rues, allant dans les commerces, des poissonniers vendant leurs poissons et des bouchers leurs viandes, des restaurant aceuillant le cliant a cet heure proche du dejeuné. La vie dans ce village semblait bien tranquille. C'etait sans compter que quasiment l'autre moitiée de la population, celle cachée, etait composé de ninjas, ces militaires d'un nouveau genre pour Sadoruro. D'ailleur lui aussi en etait devennu un... Mais sans doute parce que pour lui cela representait un bon moiyens de devennir fort.

Sadoruro marcha un bon moment dans les rues de Suna, flannant aussi ici et la, profitant de la belle saison, car de toute façon, il ne savait absolument pas quelle etait l'heure d'arrivée a l'academie qui lui donnerait le plus de chance de rencontrer un bon sensei...
Si bien qu'il arriva sur les coups de onze heure et demie a l'academie, une demi heure avant le dejeuné.

Sadoruro rentra dans le batiment, sans un bruit. Il ne voulait pas attirer l'attention de la megere qui etait la concierge du batiment. Il avait assez vu son gros nez et ses yeux pleurant le mascara comme cela.
Sadoruro passa donc sans un bruit devant sa porte, et rentra enfin dans le batiment des salles de cours. Il etait a la recherche d'une traitant du chakra quand il en vit une qui etait juste entrabaillé. A l'interieur, il pouvait le voir, il y avait un professeur, le sensei, accompagné d'un viel homme. Un viel homme assez etrange, il etait dans une espece de toge, ample, de couleur rouge. Il etait petit, ridé, et avait une longue barbichette.

« Et bien les enfants, » commenca le professeur. « Voici Roga-sensei. Il a été mon professeur, mais aussi celui de mon pere, et de bon nombre d'autre professeur de cette academie. Veuillez lui donner le respect qu'il merite. »

« Allons, voyons Hiro, ne me flatte pas comme cela. » sourit Roga-sensei. « Je ne suis plus professeur depuis longtemps. »

« Oui, mais vous ete toujours le meilleur, Roga-sensei. »

« Merci, Hiro. »

« Les enfants, Roga-sensei sera celui qui vous donnera la derniere demi-heure de ce cours. Vous allez bientôt tous passer vos examens, et Roga-sensei va profité de ce laps de temps pour vous donner un maximum de conseils. Ecoutez le attentivement. »

Apres cet echange de politesse, le cours de Roga-sensei commenca. En effet, il fournit bon nombre de conseil aux jeunes gens, conseils que Sadoruro aurait bien aimé avoir lui aussi, lors de son propre examen.

En tout cas, le professeur etait impressionnant. Sa façon de parler et d'expliquer etait majesteuse, captivant tout les eleves. Il n'y avait pas un bruit dans la salle. Mais plus encore, il avait une façon de parler, cette gentillesse dans la voie, cet envie de vous faire reussir telle que tout ce qu'il vous dit, vous le retennez. Ce professeur etait un immense professeur. Sadoruro sut qu'il devait au moins lui demander.

Il attendit pour cela l'heure du dejeunné. A la fin du cours, Sadoruro partit se cacher dans les toilettes les plus proches, afin de ne pas se faire prendre sur le fait, puis revint peut apres. Tout les eleves etaient deja sortit dans la cours de recreation, et Sadoruro arriva juste au moment ou Roga-sensei et l'autre sortait a leur tour de la salle.

Sadoruro arriva alors, et s'inclina martiallement devant le professeur.

« Oh oh ! Voilà un jeune homme impressionant, si il en est ! Quel carrure ! Et quel politesse ! » commenca Roga-sensei, avant meme que Sadoruro n'eut dit quoi que cela soit.

« Bonjour, Hiro-sensei. Bonjour, Roga-sensei » dit Sadoruro, se tournant tour a tour vers les deux professeur.

Ce fut Roga-sensei qui reprit la parole.

« Et bien, jeune ninja, que pouvons nous faire, Hiro et moi, pour t'aider ? »

Sadoruro se mit alors a genoux, devant Roga-sensei, puis salua depuis cette postion, c'est a dire se pencha en avant jusqu'à coller sa tete au sol.

« Roga-sensei, je voudrait que vous devenniez mon sensei, j'aimerais apprendre de vous ! »

« Hum, je n'avait pas vu une telle attitude depuis nombres d'années, jeune homme. Il me semble que vous connaissez les anciennes traditions, puisque vous vennez de faire la demande a une sensei dans le plus pur respect de celle-ci. Mais vous savez, je n'ais pas enseigné depuis longtemps. »

« Roga-sensei, je sait que vous ete le meilleur, encore aujourd'hui. »

« Oh, et bien soit ! Cela faisait longtemps que je ne m'etait pas ammusé autant ! »

Sadoruro sourit, puis se releva.

« Merci, sensei, merci infiniment. »

« Houla, attend, attend mon garçon. Attend avant de me remercié. » rigola t'il.

Puis ce fut Hiro qui prit la parole:

« Et bien sensei, je vais vous laisser. Mes devoirs m'appelle. »

« Et bien, merci Hiro, merci, et bonne chance a toi. »

« Merci, Roga-sensei. »

Puis Hiro quitta la piece, d'une demarcje fatiguée... Apperrement, ses eleves devaient l'epuiser... C'etait peut etre pour cela qu'il avait fait appelle a Roga-sensei.
Peut apres que l'autre professeur soit partit, ce dernier se tourna vers Sadoruro.

« Mais je dois te dire quelque chose, mon enfant. Meme si j'ais accepté de t'enseigner, je ne pourrait le faire que peu de temps. En effet, les jeunes genins sont placés generallement sous la tutelle d'un ninja plus experimenté apres leur diplôme, normalement un Jounin mais aussi parfois un Chunin.
Meme si tu n'as pas encore été placé dans une equipe, ca ne tardera pas a se faire, et alors la, je ne pourrait plus etre ton professeur. »

« Alors, sensei, je tacherais d'apprendre le plus possible de vos enseignement durant ce laps de temps. » dit Sadoruro, en s'inclinant devant son nouveau maitre.

« Bonne reponse ! » fit Roga-sensei, avec un grand sourir. « Mais vient, suis moi, nous allons discuter en chemin. »

Puis, Roga-sensei, suivit de Sadoruro, commencerent a marcher dans le couloir en direction de la sortie.

« Alors dis moi, mon enfant, quels sujets prefererait tu que je t'enseigne en priorité, vu que n'auront pas le temps de tout revoir. » dit Roga-sensei.

« Et bien, sensei, j'aimerais surtout que vous m'apprenniez tout ce que vous savez au sujet du reseau de chakra. »

« Tient donc ! On ne te l'as pas apprit, a l'academie ? »

« Et bien si... Mais j'ais besoin de le savoir plus. Sensei, il ne faut plus que je le sache, mais que cela face partie de moi ! »

Sur cela, Roga-sensei s'arretta brusquement.

« Que cela fasse partie de toi... Mon dieu, mon enfant, qu'a tu vu ? Jusqu'ou est tu allé ? »

« ... »

Le sensei s'etait arretté, tout comme Sadoruro. De ses yeux semblant n'etre fait que de sagesse, il semblait sonder l'ame de son eleve. Silencieux, ils se regardaient , au millieu du couloir vide de toute presence, hormis les leurs. Puis se fut Roga-sensei qui prit la parole:

« Il n'y a que peu de techniques qui requierent d'aller la ou tu est aller. Toutes sont du Genjutsu. Toutes, sauf une. La derniere est quelque chose d'inclassable, mais elle se rapproche le plus du Taijutsu. Et tu n'est pas un ninja a Genjutsu. »

Puis il laissa un petit temps pour que ses paroles fassent leur effet. Avant que Sadoruro ne put ouvrir la bouche, il reprit:

« Cette technique pourrait te tuer. Tu est sans doute promis a un grand avenir. S'il te plait, abandonne cette idée. »

Puis, sur ces mots, Roga-sensei commenca a s'en aller, laissant Sadoruro sous le choc. Mais ce dernier se remis vite, et courut se placer devant son professeur.

« Sensei, s'il vous plait ! Vous devez m'aider, vous connaissez cette technique ! »

« Je t'arrette tout de suite, mon enfant. Je connais cette technique de nom, et je connais ses effets, mais je ne suis en pouvoir de la realiser. Ni meme de te l'enseigner, deja parce que je ne le peut pas, ensuite parce que je ne le veut pas. »

« Sensei, vous devez comprendre ! Elle represente tout pour moi ! »

« La discution s'arrette ici. Abandonne cette idée. Je... je tient trop... a mes eleves. »

Sur ces paroles, Roga-sensei sortit du batiment, puis disparut.

Une nouvelle fois, Sadoruro avait echoué... mais une nouvelle fois, il se jura qu'il n'abandonnerait pas !

Chapitre trois: Volonté et Entrainement:

Désormais, il etait seul dans le couloir sans ame de cette academie.

« Cette technique peut me tuer... ca, je le savait deja... » pensa Sadoruro. « Mais elle represente tout pour moi, quasiment ma seule chance. J'ais besoin d'en savoir plus, pour y arriver. Et cet homme peut m'y aider. C'est d'ailleur sans doute le seul dans cette ville qui puisse me faire arriver la ou je veut arriver. Je ne peut pas abandonner comme cela. Non, je dois lui montrer ma volonté, lui montrer que j'y arriverais, coute que coute. Que je n'abandonnerais pas ! »

Mais comment faire ? La etait la bien grande question. Sadoruro, lui, regardait le sol, en pleine reflexion, tandis qu'une douce brise lui ébouriffait ses cheveux blonds cendrés, fait rarissime a suna.
Ce couloir etait désespérément vide. Sadoruro allait devoir utiliser la bonne vielle méthode, la « traditionnelle ». Apres tout, quand il etait plus jeune, quand il etait encore dans son pays, il avait deja dut l'utiliser pour que son ancien maitre lui enseigne le formidable pouvoir de la manipulation de l'energie vitale. Aujourd'hui, encore une fois, il allait devoir l'utiliser. Mais les conditions etaient tout autre, aujourd'hui. Deja d'une, il etait dans un desert, le soleil risquait fort d'etre son pire ennemi, de plus, cette periode de l'année etait attendu par tous, car l'orage annuel sur ce desert n'allait pas tarder...
Mais qu'importe, de toute façon, cette technique etait deja suicidaire, la rechercher comme il la recherchait etait proche du suicide. Alors, mourir en la recherchant ou mourir en l'utilisant, quelle difference ? Si c'etait son destin, il l'accepterait, comme il a toujours accepté l'idée de sa mort qui pouvait subvenir a n'importe quel moment durant une mission. C'etait d'ailleur pour repousser ce moment toujours plus loin qu'il s'etait entrainé sans relache durant toute sa vie. Qu'il n'avait jamais abandonné. Alors oui, cette technique pouvait autant lammenner a la mort que l'en éloigner, en lui permettant de survivre. Prendre un risque mortel... Ne pas le faire ne fait pas partit de la vie d'un ninja !

Trouver l'adresse de maitre Roga-sensei ne fut pas difficile. A la sortie de l'academie, il rencontra Hiro, auquel il lui demanda son adresse. Ce dernier fut assez etonné que Roga-sensei soit partit comme cela, mais Sadoruro lui dit que son nouveau professeur etait assez fatigué, et qu'il lui avait dit de le retrouver demain chez lui, avant de partir. Seulement, il s'etait rendu compte qu'il ne connaissait pas son adresse ! Et comme un bon gros poisson, Hiro se laissa ferer comme un debutant. Tant mieux pour Sadoruro. A partir de la, Sadoruro deambula dans Suna, l'adresse du professeur en tete.

« 10 rue De Traverse,,, Mais ou cela peut il bien etre, bon sang ! » dit Sadoruro pour lui meme.
« Hé, madame ! S'il vous plait, excusez moi, sauriez vous ou se trouve la rue De Traverse ? »

La femme, arrettée dans la rue par l'interpellation de Sadoruro, lui repondit simplement d'un signe de denegation de la tete.
Mince, cela n'allait pas s'averer facile !

Sadoruro deambula encore pendant un certain temps. L'apres midi commençait a etre avancée, et il n'avait toujours pas trouvé de piste concluante... Finalement, ce village etait plus grand qu'il ne le pensait ! Mais, a force de preseverance, et apres une heure et demie de deambulage dans les ruelles surchauffée de ce village du desert, il eut enfin une piste.

« La rue De Traverse ? Oui, je le connait, elle n'est pas loin ! Prennez la, a gauche, puis ensuite a droite, montez l'escaliez, tourner a gauche, ensuite la troisiemme a droite, et enfin, tout droit, la rue suivant, et vous y ete ! Voilà, ce n'est pas compliqué ? » dit un homme, dans une petite rue.

Au final, une demi heure plus tard, Sadoruro atteignit enfin la rue recherchée. Vraiment, elle etait chere payée !
La rue, quand a elle, etait tout bonnement banal, a une seule exception: apperement, toutes les autre maison qui formait cette « impasse » n'avait pas leur entrée dedans, sauf une, au bout, celle avec le numero 10. C'etait d'ailleur elle qui formait l'impasse: une maison avait tout bonnement été construite au millieu de la rue, porte vers le côté ou se trouvait Sadoruro. Ce dernier apprendra par la suite de la bouche d'un passant qu'un glissement de terrain avait detruit l'autre coté de la rue, et que finalement cette maison avait été construite par la suite, formant ainsi une impasse, mais pour ne pas perturber les service du village, le nom de « rue » avait été gardé.

En tout cas, c'etait absolument parfait ! Les autre batiment formait un genre de cour a la maison de Roga-sensei, c'etait juste ce qu'il fallait a Sadoruro. D'ailleur, comble de la chance, celui-ci etait apparemment chez lui, vu que les lumieres etaient allumées, entres autres signes d'activitée. Sadoruro commenca donc sans attendre. Il prit place au centre de la cour, proche de la maison de Roga-sensei, sous ses fenêtres. Il s'assit en lotus, une position confortable, et deposa son sac a ses côtés. Puis il ferma les yeux, et commenca a mediter. Une longue attente allait commencée.

Plus que mediter, Sadoruro s'entrainait a sa maitrise de l'energie vitale, en faisant et refaisant les exercices qu'on lui avait apprit, et qui fonctionnaient encore dans ces contrées, meme si ils devaient posseder d'autre nom. Tout d'abord, par ce que sa civilisation appellait « Ten », il controlla le chakra dans son corps, ainsi que son evaporation naturelle, pour que plus aucune perte n'ait lieu, et ainsi retennir tout ce chakra qui « s'évaporait » naturellement de notre corps, autour de lui, formant ainsi un halo bleu envellopant son corps. Sadoruro resta un moment dans cet etat, puis il commenca a jouer avec l'épaisseur de ce halo grace a ce qu'il appellait « Ren », et qui consistait a faire jaillir son chakra contenu dans son corps autour de lui, afin de mobiliser le plus d'energie possible, pour une attaque, par exemple. En declenchant ce Ren, l'épaisseur du halo de chakra autour de lui augmentait, et quand le Ren retombait, le halo diminuait sous l'effet de retractation a l'interieur de son corps du chakra qui en avait été expulsé.
Sadoruro continua ses exercices pendant longtemps. La detente losqu'il les faisait etait telle qu'il ne sentait meme plus le temps passer. C'est alors qu'il entendit une voie.

« Que fait tu la ? Pourquoi reste tu ici ? »

C'etait la voie de Roga-sensei, qui l'avait interpellé par une fenetre. Pour lui repondre, Sadoruro choisit ses mots avec soin.

« Maitre, je suis venu ici pour vous prouver ma volonté ! Pour vous prouver que je n'abandonnerait pas ! Que je suivrait ce chemin, meme si il y a un risque qu'il me mene a la mort ! Parce que je suis un ninja, et plus que tout, parce que je n'abandonne jamais ! »

Roga-sensei ne repondit pas. Il referma sa fenetre. C'est alors que Sadoruro remarqua que tout autour de lui, la lumiere avait decrut, et le jour etait sur le point de tomber. Il allait passer sa premiere nuit dehors, et seul Roga-sensei saurait combien il en passera d'autre.
Assit en position du Lotus, Sadoruro mit en pratique un viel entrainement qu'il avait maitrisé il y a longtemps, et qui lui avait été fort utile durant toute sa vie: l'art de dormir en restant sur ses garde.

La premiere fois que son vieux maitre lui en avait parlé, alors que Sadoruro etait toujours dans son pays, il avait crut a une blague. Dormir mais rester sur ses garde en meme temps, comment etait-ce possible ? Et bien il avait apprit a le faire. Car veritablement, il ne dormait pas, il plongeait son corps en sommeil, et une partie de son cerveau, ne laissant actif que celle qui controllait ses sens. Ainsi, meme si il etait conscient, son corps se reposait. Mais a dire comme cela, ca semblait facile, neanmoins l'entrainement pour y parvenir fut plus que douloureux. Il consitait en une journée d'exercices intenses, divers et variés, et, arrivé le soir, avec la fatigue accumulé, s'assoir dos contre un mur avec, pendu au dessus de sa tete, une pierre d'une grosseur variable selon la maitrise de l'eleve, pendu grace une corde dont l'eleve tenait le bout dans sa main. Il devait alors reussir a se reposer sans que la pierre lui tombe sur la tete. Impossible, me direz vous ? Et bien, apres plusieures nuits a avoir des bosses, le corps et l'esprit humain s'adaptent, permettant de dormir en restant finalement conscient de ce qui nous entoure. Tres utile quand son maitre s'amuse a couper la corde au beau millieu de la nuit.

Sadoruro, donc, mit en exergue cet art, et commenca a passer la nuit. Roga-sensei revint plusieures fois a sa fenetre, afin de voir « si son abrutit d'eleve restait la ». Enfin, c'est ce que pensait Roga-sensei. Et la grande chance de Sadoruro, c'est qu'il y avait une pointe d'amour dans cette pensé de son maitre.

La nuit se passa bien. Aucun accident notable arriva, a part qu'un chat reussit a faire ouvrir les yeux a Sadoruro en plein milieu de la nuit. Peu apres, le jour se leva. Sadoruro engoufra tres rapidement un des derniers sandwich qui lui restait, et se prepara a passer un autre jour de meditation et d'attente. C'est d'ailleur ce qui arriva. Roga-sensei ne sortit pas une fois de sa maison de toute la journée, et Sadoruro ne l'appercut meme pas. Neanmoins, certains signes d'activitée prouvaient qu'il etait encore la. Sadoruro, lui, n'allait pas encore abandonner. La journée fut longue, tres longue, le milieu fut particulierement dur a cause de la chaleur, et Sadoruro du passer des heures entouré de chakra protecteur afin que sa peau ne brule pas au soleil. Finalement, le soir arriva, ainsi qu'avec lui, la fraicheur du crepuscule. Neanmoins, autre chose arriva dans le ciel, ce soir la. Le jour tomba plus tot que prevu, car de sombres nuages d'un noir de jais apparurent, annoncant ainsi l'orage annuel tant attendu par ce village. Il etait reputé pour sa violence, et la totalité des maisons du village avait été construite dans la but d'y resister. Neanmoins, Sadoruro avait fait une promesse, une promesse a lui meme, autant qu'a son professeur, et il ne pouvait y déroger.

Et l'orage commenca.

En quelques minutes, le chaos s'installa sur la ville. Le ciel, zébré d'eclair et frappé de tonnerre, deversait ses torrents de larmes sur cette terre qui lui faisait si mal. Le vent hurlait, etait d'une puissance phénoménale, et les batiments tremblaits sous le crie courroucé du ciel, grand fracas ressemblant a des coups sur l'enclume de la forge celeste.
Et au millieu de tout cela, Sadoruro se tennait toujours en position du Lotus, luttant pour rester stable au sol, et pour garder sa concentration malgré les hallebardes qui tombait du ciel.

« Hum, tant que ca reste comme cela, aucun risque. » pensa t'il. « Grace a la protection de mon energie vitale, je ne risque pas d'attraper la mort. »

CRAC ! Avec un grand fracas, un eclair vint frappé le toit de la maison d'a coté, laisant une marque profonde. Et ceci, ce ne plus pas a Sadoruro. Mais alors pas du tout. A force de cotoyer la mort, elle devient une bonne amie, et on arrive a predire ses venues. Et la, Sadoruro avait un mauvais pressentiment. Il se leva, aux aguets, et des qu'il fut sur ses deux pieds, le pire se passa. Un eclair frappa le corps de Sadoruro.

-Flash Back-

« Sadoruro, vient me voir, Aujourd'hui, je vais t'apprendre quelque chose de special. » lui dit son maitre.

C'etait un homme de fort bien constitué. Malgré son age, il avait encore de gros muscles saillants, un corps d'acier, des reflexes d'or et un esprit d'adamantine. Il faisait bien son mètre 85 de haut, et pesait dans les 95 kilos, entierement de muscle. Neanmoins, malgré cette carrure imposante, il etait d'une gentillesse et d'une douceur sans egale, et avait toujours été un pere pour Sadoruro, depuis qu'il l'élevait apres l'avoir receuillit durant les plus jeunes années de son éleve. Et depuis ce jour, il l'entrainait aux arts qui etaient les siens, lui inculquant l'esprit qui avait toujours été le siens, celui de ne jamais abandonner, quelque soit l'adversité et les difficultés, un but que l'on cherie plus que tout.

Sadoruro avanca vers son maitre, et s'assit en Lotsu afin de recevoir la leçon. A cette epoque, il avait douze ans, et etait en plein apprentissage de la manipulation de l'energie vitale.

« Aujourd'hui, Sadoruro, nous allons parlé d'électricité. Plus prescisement, je vais t'apprendre la façon de pouvoir minimiser ses degats. Mais sache que cela ne fonctionne que sur l'electricité naturelle, celle qui sera crée ou utilisé par tes enemis par le biais de leurs pouvoirs ne pourra pas etre minimisée, car ils la controllerons grace a leur energie a eux. A tu bien comprit ? »

Sadoruro fit signe que oui de la tete.

« Bien. Maintenant, tu doit savoir ce qu'est l'éléctricité. Sans entré dans les details, c'est une energie qui est basé sur le transfert de matiere. Entre deux corps va s'etablir un courant électrique quand il y aura un transfert de toutes petites particules de matiere, appellées électron, entre eux. Et c'est bien la la clé du mystere. Tu me suis ? Bien. Ce que la quasi majoritée des savants ignorent, c'est que toute matiere est rattachée a de l'energie spirituelle. Ainsi, chaque objet, chaque element, mais aussi chaque particule correspond a de l'energie.
C'est pour cela que quand les particules d'un corps sont transferé a un autre par un courant electrique, ce dernier est aussi un courant d'energie spirituelle. Et quand cette derniere te touchera, elle se transformera en ernergie vitale etrangere qui viendra perturber la tienne. Tu as saisi ? »

Sadoruro avait reussi a suivre, tant bien que mal. L'élctricité, en le frappant, allait donc en plus lui injecter une energie vitale nocive ?

« Et c'est dans ce transfert d'energie que se trouve la clée. En effet, l'energie transferée par l'électricité n'est pas nocive en elle meme, mais juste etrangere, elle ne peut pas rester ainsi dans ton corps. Seulement, elle ne te fera pas de mal sauf si tu cherche a la retennir. C'est pour cela qu'il faut l'accepter en notre sein, la faire passer dans notre reseau d'energie, puis la laisser repartir en lui offrant la porte qu'elle n'aurait pas put trouver toute seule. Ainsi, l'energie traversera ton corps sans te faire du mal, elle ne fera que voyager dedans, et ne l'abimera pas, et cela ira de meme pour l'électricité physique. »

-Fin du flashback-

Sadoruro ouvrit les yeux. L'eclair le frappa. Il sentit une enorme décharge d'energie spirituelle rentrer en lui et se transformer en energie vitale, etrangere, cherchant desesperement a retourner d'ou elle vennait. Sadoruro ouvrir donc son coeur et son reseau de chakra, et aceuilla l'energie en son sein. Apprait l'avoir sentit une energie etrangere, il sentait maintenant comme une enorme decharge de puissance l'envahir, tellement puissante que perdre le controlle serait tres facile. C'est d'ailleur ce qui se passa, les premieres fois ou il recut des decharges electriques durant l'entrainement. Mais maintenant, il avait beaucoup d'experience a ce petit jeu, et meme si la quantité d'énergie fournit par un éclair representait toujours un risque de perdre le controlle et sa vie, elle lui permit de maintenir son emprise. Empechant l'energie de se disperser mortellement dans son corps, l'esprit de Sadoruro, comme un rail, reussit a guider l'energie jusqu'à ses jambes, puis ses pieds.

Heuresement qu'il ne portait pas des chaussures en caoutchouc, car elles auraient representé alors porte close, car meme si il aurait été isolé, l'eclair avait tellement de puissance pour pouvoir le frapper quand meme, et il n'aurait pas put faire sortir l'energie. Ainsi, grace a son esprit, il reussit a faire sortir la décharge d'énergie directement dans le sol par ses pieds, et ainsi survivre au passage de l'éclair. Neanmoins, un éclair etait toujours un des phenomenes les plus puissants de la nature, et son passage, dans Sadoruro, avait été extremement rude, tout comme sa canalisation. C'est pour cela que Sadoruro, des l'energie evacué, tomba a la renverse, sur le dos, et inconscient.

Quand Sadoruro ouvrit les yeux, la premiere chose qu'il vit, ce fut un plafond d'une couleur clair et sobre, nappé de la lumiere du soleil. La seconde chose qu'il vit, ce fut le visage severe de Roga-sensei. Et pour troisieme, il vit une main, avant de sentir une douleur vive et piquante au front.
Et puis Roga-sensei prit la parole:

« Espece d'inconscient ! Rester dehors par le grand orage de Suna ! C'est de la folie ! N'as tu donc jamais entendu parlé de sa puissance devastatrice !?! Et imagine que tu te soit effondré face contre terre, comment aurait tu fait pour survivre, avec tant de boue ? Et de toute façon tu serait mort noyé si je ne t'avais pas tiré de la ! Mais vraiment, a quoi pense tu !?! »

Sadoruro baissa les yeux. Il comprenait ce que Roga-sensei voulait lui dire, neanmoins, il prit finalement la parole:

« Roga-sensei. Je suis venu ici dans le but de vous montrer ma determination. Je vous suis reconnaissant de m'avoir sauvé, mais je ne crain pas la mort, car ce que je recherche est assit a la droite de cette derniere. Neanmoins pour rien au monde je ne cesserais de parcourir cette voie, et c'est pour vous le montrer que je suis venu ici hier soir. »

Roga-sensei fit un signe de depitement de la tete.

« Tu est vraiment inconscient, mon eleve. » commenca t'il. « Tu recherche ce qui pourrait bien te mener a ta mort... »

Puis il laissa un petit temps de pause.

« Mais tu a toute les chances de la trouver sur la voie que tu parcoure, et je sais que je ne pourrais t'en faire devier, pour rien au monde. J'ais bien comprit comment tu fonctionnais. Alors, puisque de toute façon tu continuera sur ce chemin, je vais t'aider a ne pas rencontrer la mort prematurement. Ca sera mon cadeau a l'etre inconscient que tu est, aussi tetu qu'une mule ! »

Chose qui remplit le coeur de Sadoruro de joie, ce fut que Roga-sensei termina cette phrase par un sourire. Il etait heureux, fort heureux, car il avait reussit a convaincre cet honorable sensei de l'aider.

« Mais rappelle toi bien ce que je t'ais deja dit: je ne puit t'enseigner la technique que tu recherche, car je ne la connait pas. Neanmoins, d'apres ce que tu m'as dit, la technique que tu recherche necessite d'amener ton esprit sur les rails du reseau de chakra. Et ceci est une chose commune a plusieures genjutsu tres puissant. J'asi été un specialiste des genjutsu quand j'etait jeune, et je connais le moyen de faciliter le voyage de ton esprit sur le reseau, je connait l'entrainement necessaire a cela. Mais sache que cela sera dur, tres dur. Je suppose que tu veut toujours continuer ? »

« Bien sur, Roga-sensei. »

« Evidement... Bon, ecoute moi bien. Pour cet entrainement, il y a trois phase. Ces trois phases doivent etre accomplies l'une apres l'autre, pour maitriser chaque etape de l'ouverture de ta technique. La premiere etape consiste a parfaitement connaître ton reseau de chakra, afin de pouvoir diriger ton esprit jusque la ou il faut, et ce en le moins de temps possible.
La deuxieme etape est la maitrise de ton esprit, et de ton reseau de chakra. Dans cette phase, tu devra renforcer ton psychisme pour qu'il puisse encore mieu ressentir, intégrer et dompter les rails de ton reseau de chakra. Mais surtout, dans cette phase, tu devra faire rentrer ce que tu aura apprit dans la premiere phase en toi, que cela devienne une partie de toi, une partie de tes sensations, pour que tu puisse l'utiliser la bas.
Et la troisieme et derniere phase, c'est la maitrise de la douleur psychique que tu ressentira la bas. »

Sadoruro avait hoché la tete a chacune des explications sur les differentes phases... Mais il n'y avait pas eut d'explication sur la derniere phase... Comment allaient ils faire pour l'aider a maitriser sa douleur psychique ? Sadoruro s'attendait au pire...

« Bien, depeche toi mon eleve, nous commencerons des aujourd'hui. Ton equipe va surement bientôt rentrer de mission, et quand elle sera la, je ne pourrais plus t'aider. Alors attable toi, déjeune vite, et nous partirons juste apres pour l'academie. »

« L'academie !? Mais pourquoi encore l'academie ? »

« Tout simplement parce que c'est la que nous serons le mieu pour t'entrainer a la premiere phase, car nous disposerons alors de toutes les connaissances utiles a ceci. »

Alors Sadoruro dejeuna. Ce fut un repas frugale, mais suffisant, et apres avoir remercié le maitre pour son hospitalitée, ils partirent direction l'academie.
Il etait encore tôt quand ils sortirent dans la rue, et la Sadoruro fut assaillit par des odeurs que jamais il n'oubliera: celles du desert apres la pluie. Des odeurs magnifiques, quasiment indescriptible, comme un melange entre la pinede sous le soleil et l'odeur du sable mouillé. Tout autour de lui, et bien que le soleil deja haut dardait de ses rayons, il subsistait de grande flaque et retenue d'eau n'ayant pas reussit a traverser le sable deja repus d'eau,

« Ah, c'est vraiment et pour toujours le plus beau jour de l'année ! » declara Roga-sensei.

Sadoruro se rendit alors compte que les rues etaient deja bondées d'homme et de femmes qui s'etaient levés tot rien que pour admirer le spectacle ephemere qu'offrait un lendemain d'orage dans le desert, pour sentir sur leur peau la douceur de la brise fraichement rafraichie, avant que l'ardeur du soleil ne fasse disparaitre cela jusqu'à l'année prochaine.

La progression jusqu'à l'academie fut assez difficile, le sable mouillé n'aidant pas vraiment, pas plus que les vieilles geta de roag-sensei. Sadoruro, lui, marchant quasiment toujours pieds nus, n'eut pas trop de mal a avancer.
Apres avoir traversé la moitié du village, et se frayer un chemin a travers les foules, les deux hommes arriverent alors a l'academie. Roga-sensei fut alors salué a son entrée, et Sadoruro marcha humblement derriere son maitre. Le mot comme quoi Roga-sensei avait un nouvel élève particulier ayant été passé, il ne lui fut pas demander de diriger des cours aujourd'hui, mais on le laissa alors avoir acces a la bibliotheque reservée aux professeurs.

C'etait un lieu spartiate, avec des chaises en bois sans aucun confort, des tables rustiques, mais surtout d'immenses etageres remplit de livres, brochures et cachiers, et qui tapissaient tout les murs de la salle. Et la salle etait entierement vide de prescence, a par les leurs.
Roga-sensei incita donc son eleve a s'assoir a une table, tandis que le vieux maitre grimpait deja a une echelle accrochée aux etageres, en quete des bon livres.
A peine cinq minutes plus tard, il redescendait deja les bras chargés de son butin, a savoir une pile de livres poussiereux, qu'il deposa prestement sur la table devant Sadoruro, soulevant un nuage de poussiere qui les firent tousser tout les deux. Apres avoir rit quelque peu de leur sort, le maitre et l'élève commencerent leur etude.

« Voilà mon élève, j'ais rammenné les livres les plus utiles que je connaissent. Dedans se trouvent des chapitres entierement dédiés au reseau de chakra, et a sa description. Ils ont tous été ecrit soit par des anciens moines, soit par des ninjas theoriciens tres savants. Tous sont gage de qualitée.
Bien, la premiere chose que tu va faire, c'est de memoriser la disposition meme du reseau de chakra. »

Et il accompagna ses paroles par des gestes, soulevant alors un des plus gros livre qu'il avait apporté, et l'ouvrit la ou il y avait un vieu marque page. Devant lui apparut alors un entremelement de fils dessinés en bleu clair, sur fond de silouhette humaine.

« Oh oh ! » commenca Roga-sensei. « Le marque page n'as pas bougé, apparement, personna n'as dut toucher a ce bouquin apres moi, et ce depuis des années ! Neanmoins, ce livre est formidable. Voici, mon élève, la plache la plus detaillée que je connaisse sur le reseau de chakra, la plus pointue, et la plus vraie. Et ton devoir, maintenant, va etre de la memoriser. »

Sadoruro faillit s'ecrouler.

« Oh, mais ne t'inquiete pas, je t'aiderais, je t'aiderais. Et les autres bouquins aussi. Car pour cette etude, les autres livres nous permettrons d'avoir des détailles sur toutes les parties specifiques de cette planche. Et bien, mon élève, si tu est prêt, commencons. »

Et ils commencerent. Mais tout ceci etait incroyablement compliqué. Il fallait apprendre chaque entremelement de chakra, chaque bifurcation, la signification de chaque prescence d'un fils dans un endroit particulier. Pourquoi donc ce fil prêt du rein ? C'est pour permettre a l'energie de circuler a l'interieur de l'organe, et de purifier les elements spirituels qui passaient la bas. Et ceux prêt du coeur ? Car le coeur etait le centre de la circulation des energies dans le corps, autant que pour le sang qui voyageait a travers tout notre etre, le coeur etait la pompe qui permettait de distribuer l'energie de son lieu de formation, a deux travers de doigts sous le nombril, jusqu'à tout les autres lieu de notre corps.

A la fin de la journée, Sadoruro eut l'impression que sa tete allait exploser. Mais surtout il avait l'impression qu'il n'avait rien retenu.

« Ne t'inquiete pas, Sadoruro. Meme si tu en a l'impression, tu retient, tu retient. Meme plus que cela, tu comprend, car tel est mon roel: rien ne sert d'apprendre par coeur, il faut que tu comprenne la logique de ce que tu apprend, alors la, tu t'en souviendra toute ta vie, car tu sera toujours capable de retrouver ce dont tu a comprit la logique. »

Sur ces belles paroles de Roga-sensei, le maitre et l'élève rentrerent. Roga-sensei offrit avec plaisir l'hospitalité a son eleve, lui offrant la chambre d'ami, car comme cela, et cela durera chaque soir de leur entrainement, ils purent faire un récapitulatif de toute les connaissances appris et compris durant la journée. Ainsi, cela durant pendant un peu plus d'une semaine, sous un rituel quotidien, dirigé tel un chef d'orchestre dirige ses musiciens par Roga-sensei, qui se montrait avec brio dans sa capacité a faire faire comprendre les concepts les plus durs a Sadoruro. Il etait un grand professeur, et tout ce qu'on disait de lui n'etait pas seulement comme le sable dans le vent du desert, futile.
Toutes les connaissances s'inscrirent alors petits a petits dans l'esprit de l'élève, puis vint le jour ou, enfin, recompense des etudes poussées sur ce seul sujet, Sadoruro reussit l'epreuve finale que lui imposa Roga-sensei.

« C'est parfait mon élève, toutes tes reponses sont justes. » dit il, en prennant la feuille de Sadoruro.
« Tu as reussit la premiere phase de ton entrainement, je suis fier de toi. Maintenant, nous en avons finit avec ces livres rébarbatifs, maintenant nous allons mettre tout cela en pratique, dehors, sur le terrain. Bravo a toi, mon élève, tu te rapproche de ton objectif ! »

Alors commenca la seconde partie de l'entrainement.

Le lendemain, Roga-sensei reveilla Sadoruro aux aurores. Rapidement, ils se preparerent pour la journée, bien que Sadoruro n'eut absolument aucune idée de ce qu'ils allaient faire.
Tout les preparatifs finient, ils sortirent enfin de la maison.

« Ou vas t'on aujourd'hui, Roga-sensei ? » demanda Sadoruro.

« Tu verra, mon eleve, tu verra. Aujourd'hui commence la seconde phase de l'entrainement, celle qui te permettra de faire integrer a ton corps et a ton esprit les notions que tu a vu précédemment.
Mais pour se faire, il faut que tu le trouve dans l'adversité. »

« L'adversité ? Que voulez vous dire, sensei ? »

« Tu verra, tu verra. »

Ainsi, sur ces paroles mysterieuses, ils continuerent leur chemin. Agreable chemin si il en etait, le soleil pointant a peine a l'horizon, tout etait calme, doux, frais. Traverser le village a cette heure etait un experience d'une beauté incroyable. Souvent, par la suite, Sadoruro recommencera.
La marche dura un peu plus d'une demi-heure, jusqu'à ce qu'ils arrivent a un terain d'entrainement totalement isolé, et quasiment introuvable, en fait, si l'on ne connaissait pas le chemin qui y mennait.
Sur ce terrain vague etait installée une structure d'entrainement tres particuliere:
De nombreux tronc d'arbre d'une dizaine de centimetres etait plantés dans le sol, verticalement, les uns a cotés des autres. Quand Sadoruro se tourna vers Roga-sensei, il le surprit a etre emu. Voyant cela, le vieux professeur se tourna vers son élève, avec un grand sourir emu.

« Ici est le lieu ou moi aussi je me suis entrainé il y a maintes et maintes années. Ces troncs ont d'ailleur été plantés grace a l'huile de mes coudes, et je suis heureux de voir qu'ils sont encore la. »

Sadoruro hocha de la tete, comprennant ainsi qu'il suivait pas a pas l'ancien chemin tracé par son maitre.

« Bien, trêve de sentimentalisme, mon élève. Ici se deroulera la premiere phase de ton second entrainement. Maintenant, grimpe sur un des pilliers. »

Sadoruro s'executa. Il n'eut aucun mal a sauté en haut de ce pillier, mais, une fois le geste accomplit, il se rendit compte de la difficulté qu'il allait devoir surmonter: rester en équilibre sur cette surface d'a peine dix centimetres de diametre allait se reveler particulierement difficile.

« Comme tu a put le comprendre, cher élève, il va falloir que tu reste la haut un certain temps. Et cela ne va pas se reveller etre facile. Mais je te donnerait des conseils pour que tu reussise, La clé est de te servir de ta connaissance de ton reseau de chakra. Visualise le, projette ton attention a l'interieur. Ne pense plus a ton corps, mais uniquement au reseau qui s'y trouve. Ne visualise plus ton pied, visualise le reseau de chakra a l'interieur. Et visualise le en équilibre sur ce rondin.
Car quand ton reseau de chakra sera en équilibre, tout ton corps le sera aussi, et sans aucun effort. »

Ce fut plus facile a dire qu'a faire.

« Mince, il faut penser au reseau de chakra... Penser a lui, et plus au corps... » pensa Sadoruro.

Néanmoins, Sadoruro visualisa sans aucun mal le reseau qui se trouvait dans ses jambes, et dans ses pieds. Grace a l'étude qu'il en avait fait précédemment, il connaissait desormais par coeur chaque parcelle de son reseau.
Mais néanmoins, la douleur arriva vite. Il eut beau se visualiser son reseau, il chuta tout de meme.

« Je ne comprend pas, seinsei. » dit il en se relevant. « J'ais reussit a visualiser mon reseau, dans mes jambes, dans mes pieds, dans mes appuis, mais cela n'a donné aucun resultat. »

« C'est normal, mon élève. Car plus que de simplement le visualiser, il faut que tu le resente, comme un prescense qui t'aidera. Il ne faut plus faire appel a ton intelligence, mais à tes sensations.
Maintenant, remonte, et met en pratique. »

Sadoruro acquiesça. Il regrimpa donc au sommet du rondin, et essaya de mettre en pratique.

« Ne plus penser au reseau... le ressentir... le ressentir apres l'avoir visualiser... » pensa t'il,

Sadoruro revisualisa parfaitement, son reseau... puis il essaya d'immaginer les sensations que devrait provoquer le passage du chakra dans les fils du reseau, les sensations qu'il aurait en ne s'occupant plus que de ce dernier...
Et, petit a petits, il se fit une image de plus en plus nette. Des sensations comme si on avait posé un tres légé fil non pas sur sa peau, mais a l'interieur. Un légé picotement, suivit d'une sensation d'écoulement, alors que le chakra passait dans ce fils.
Sadoruro tint bien plus longtemps cette fois-ci, car la douleur arriva bien apres. Neanmoins, arriva un moment ou il chuta.

« C'est bien, mon élève ! Tu a comprit le truc. Ne pas y penser, essayer de le ressentir ! Dès ton second, tu a reussit a comprendre ce qu'il fallait faire. Tu y arrivera bientôt ! »

Et des jours passèrent ainsi. A chaque levé du soleil, ils revinrent a cet endroit, et pendant toute la journée, Sadoruro tentait d'immaginer les sensations que provoquerait son reseau de chakra. Et petit a petit, le temps qu'il passait sur le rondin augmenta, au fur et a mesure que les sensations qu'il avait se faisaient plus nette.
Puis vint le jour ou enfin, apres des jours et des jours d'entrainement, ou il se mit veritablement a ressentir son reseau.
Ces sensations, fruit de son immagination, ou choses bien réelles. Quand Sadoruro posa cette question a Roga-sensei, lorsqu'ils rentrerent chez le vieux maitre, ce dernier lui répondit tout simplement que c'était la meme et unique chose.

« Bravo, mon élève, tu vient enfin de reussir la seconde partie de cette phase. Maintenant, il va falloir faire le plus dur pour cette phase: reussir a faire la meme chose, mais en mouvement. Et pour cela, je te reserve une petite surprise pour demain. » lui dit il en souriant quand ils furent rentré.

Et en effet, la surprise fut de taille. Le lendemain, apres s'etre levé, lavé, preparé, et avoir dejeuné, le maitre et l'élève commencerent donc leur travail pour la journée.
Quelle ne fut pas la surprise de Sadoruro quand il decouvrit devant la porte de la demeure de Roga-sensei une pile enorme de valise, vieille et bonne a jeter.

« Mais qu'est-ce donc, Roga-sensei ? » demanda Sadoruro.

« Ceci, mon cher élève, est la seconde partie de cette phase. Dans la premiere partie, tu a reussit a te servir de ton reseau afin de pouvoir rester en équilibre de façon immobile. Maintennant, il va te falloir reussir a garder cet équilibre tout en étant en mouvement. C'est pour cela que j'ais amené cette pile de vieille valise dont je ne me sert plus. Je les ais remplit de sable, afin de rendre la tache un peu plus difficile. Ton but, maintenant, sera de les transporter tout en me suivant. »

Sadoruro acquiesca, faisant confiance a son sensei, car il savait que meme si son entrainement était difficile, il ne lui faisait pas faire des choses impossible. Alors, Sadoruro s'attela a sa tache. Il souleva alors la pile de valise, qui meme si elle etait lourde, ne representait pas un obstacle pour lui. Alors commenca la ballade. Celle-ci se passa encore une fois aux aurores, afin de ne pas etre gêné par la chaleur qui sévirait bientôt. Mais elle fut plus difficile qu'il n'eut pensé. En effet, maintenir la pile en équilibre quand ils marchaient sur du plat etait deja difficile, mais le faire en descente ou en grimpant les escaliers se revellait d'une grande difficulté. Sadoruro fit tomber la pile plusieures fois.

« Mon élève. » commenca alors Roga-sensei. « N'as tu donc pas retenut les leçons que je t'ais appris ? Sert toi de tes sensation, de ton reseau de chakra, afin de garder l'équilibre ! »

En effet, Sadoruro, trop occupé a tenter de garder l'équilibre de la pile, n'y avait meme pas pensé.
Mais il était temps que ca change. Alors, il se concentra sur lui meme. Petit a petit, il retrouva les sensations de son reseau. Mais les faires s'appliquer aux bras etait difficile, car pour l'instant, il ne l'avait fait que pour ses jambes. Ils continuerent alors leur ballade, Sadoruro reussisant petit a petit a faire tenir la pile plus longtemps, au fur et a mesure qu'il prennait conscience de ses sensations.

Bien sur, Sadoruro n'y arriva pas completement dés le premier jour. C'est pour cela que l'entrainement dura quelque temps, toujours de la meme façon, encore une fois, toujours composé de ballade en tennait une pile de valises. D'ailleur, les habitants de Suna commencaient a se demander qui pouvait bien etre ce drole de duo.
Plusieurs jours sécoulerent, jusqu'à ce que Sadoruro arrive a la maitrise de son reseau tout en étant en mouvement. Ce jour la, il ne fit tomber aucune fois les valises durant toute la ballades, reussissant meme parfois a les tenirs d'une seule mains, tendit qu'il grimpait en sautant les escaliers que son sensei et lui empruntaient, et qui etaient un si grand obstacle pour lui avant.
Bien sur, une fois qu'il eut reussit cela, Roga-sensei considera l'entrainement pour cette phase comme terminé.

« C'est parfait, mon élève, parfait. Tu a reussit cette phase, encore une fois. Tu te rapproche de ton but. Mais attention, ne soit pas trop insouciant... car maintenant arrive la plus douloureuse des phases, celle qui te permettra de dominer la douleur psychique que tu rencontera lors de ton voyage sur les fils du chakra. Cela sera ta derniere epreuve. Il il faudra que tu en triomphe ! »

Ainsi démarra la derniere et ultime phase d'entrainement de Sadoruro. Mais aussi la plus dure. Car Roga-sensei, l'homme qui disposait de cette science, n'allait pas lui faire de cadeau.

L'entrainement finale de Sadoruro commenca dès le lendemain. Apres qu'ils se furent preparé, le maitre et l'élève sortir de la maison, le dernier suivant le premier avec une apprehension folle. Il n'avait absolument aucune idée de la forme qu'allait prendre l'entrainement. Il la découvrit bientôt.

Roga conduisit son élève encore une fois au terrain d'entrainement des pilliers, car ce lieu etait si reculé par rapport au village qu'il fournissait apperement le calme necessaire... mais surtout la distance voulue pour que les futurs cris de Sadoruro ne s'entende pas depuis le village. Car en effet, Sadoruro allait crier.

« Bien mon élève, voicit ton dernier entrainement. Maintenant, je vais devoir t'infliger une douleur psychique comparable a celle que tu a ressentit lors de ton voyage sur ton reseau de chakra. »

« Mais, comment allez vous proceder, sensei ? »

« Je vais utiliser le genjutsu. »

« Genjutsu ? »

« Oui, l'art des illusions, et de la manipulation du chakra dans le cerveau de l'adversaire. C'est un art redoutable, car quand on a prit le controlle du chakra dans ton cerveau, on peut te faire voir, ressentir, et croire tout ce que l'on veut. Et c'est cela, que je vais te faire. Est-tu prêt ? »

« ... Oui sensei. »

Roga-sensei hocha alors la tete, et se concentra, en faisant d'etrange signe de ses mains. C'est alors que Sadoruro se perdit dans le regard de son professeur. Le temps semblait s'etre arreter pour lui, et d'un coup, sa vision se noircit. Et la commenca le calvaire.

Une pince de metal chauffé a blanc ecrasa alors le cerveau de Sadoruro. On le transpersa de mille couteaux infernale. Sadoruro ressentait une telle douleur, mais une douleur si particuliere, qu'il n'avait deja ressentit qu'une seule fois. Une douleur comme si votre ame se mettait a bruler, non pas une douleur qui resulte d'un traumatisme physique, mais une douleur qui ne conserne que votre esprit. Votre esprit souffre, mais pas votre corps. Enfin, pas pour vous. Car meme si dans ce cas la on peut penser le contraire, le corps et l'esprit reste lié, et le corps souffre aussi.

Neanmoins, Sadoruro devait triompher ! Mais comment ?

« Sert toi de ton reseau de chakra, Sadoruro ! Sert toi de ta spiritualitée, pour ne faire plus qu'un avec cette douleur, pour l'accepter, l'integrer, qu'elle fasse partie de toi ! Ne cherche pas a lutter, accepte la, et apprend a faire avec ! »

Comme toujours, plus facile a dire qu'a faire. Sadoruro essaya en vain de resister a cette douleur. Puis il sombra dans l'inconscience...

Il fit alors un etrange reve. Un reve dans lequel il etait debout, sur un sol noir, avec seulement le neant comme compagnons. Il n'y avait absolument rien.
Puis tout d'un coup, un éclair vint le frapper. Un éclair sortit de nul part. Sadoruro fut bien sur surpris tout d'abord, mais il reussit rapidement a mettre en pratique ce qu'on lui avait deja apprit: il reussit alors a faire devier l'éclair comme avant, car ce dernier etait de l'électricité naturelle, et non controllée par le chakra d'un ennemi. Il devint alors un pont entre l'éclair et le sol. Puis tout d'un coup, quelque chose changea. L'eclair se transforma alors en autre chose. En une douleur, un courant de douleur. La meme douleur psychique. Seulement un phénomene nouveau était en cour: cette fois-ci, bien que Sadoruro eut mal, il était toujours capable de reflechir, de se mouvoir, de penser. Il avait integré la douleur. Elle etait la, elle faisait son effet, mais Sadoruro était devenu au dessus de tout cela.

Puis Sadoruro ouvrit les yeux. C'etait le matin, et il vit le plafond de l'appartement de Roga-sensei. Et apres cela, il vit le vieu visage ridé de son maitre se pencher au dessus de lui.

« Vas tu bien, mon élève ? J'y suis peut etre allé un peu fort, tu a dormit tout le reste de la journée d'hier, et toute cette nuit aussi. »

« Ne vous inquietez pas, sensei, ca va pour moi. Mais il faut que nous retournions la bas, sensei. Il le faut, il faut que j'essaye quelque chose. »

« Que tu essaye quelque chose... ? Bien, ca me va. »

Alors ils sortirent rapidement de la maison, sans meme prendre le temps de déjeuné, et Sadoruro passa devant, courant presque vers le terrain d'entrainement. Il avait peut etre comprit ce qui lui manquait, il ne pouvvait qu'etre excité a l'idée que cela était peut etre la clée de tout !

Chapitre final: Révélation:

Ils arriverent bientôt sur le terrain d'entrainement. Tout était calme, et tranquille, tout était comme avant. Dès son arrivée, Sadoruro se tourna vers son maitre.

« Allez y, Roga-sensei. Refaite moi le Genjutsu. Il faut que j'essaye ! Il faut que j'y arrive ! »

Devant tant de fougue, le vieu professeur ne fit qu'acquiescer, hochant la tete vers son élève, puit il refit les memes gestes que la veille.

« Prepare toi ! » dit il alors.

Et encore une fois, Sadoruro plongea dans les abysses du regard de son sensei, et il lui sembla se perdre dans les meandres du temps. Et la douleur réapparut. Vive, forte, insoutenable. Elle apparut avec force, violence, et vint heurter l'esprit du ninja. Mais ce coup-ci, ce dernier ne se laissa pas abbatre. Il visualisa alors la douleur comme une décharge d'énergie, une decharge qu'il pouvait désormais controller. Il l'absorba alors, l'integra a lui, comme l'éclair, pour lui la douleur n'etait plus a l'exterieur, mais faisait partie de sont esprit. Ainsi lui et la douleur ne firent plus qu'un, et malgré qu'il en souffra enormement, Sadoruro put se relever sans un cri de douleur.

Alors Roga-sensei rompit son jutsu. Sadoruro revint alors a la realité.

« Je suis impressionné, mon élève. Impressionné, mais surtout soulagé. Soulagé que tu ait reussit si vite, car je ne pouvvait predire a combien de genjutsu ton esprit allait pouvoir resister, avant de se briser. Tu a reussit la le seul coup de maitre qui pouvait t'apporter la victoire. Et tu a gagner ! »

Des larmes coulerent alors sur les joues de Roga-sensei.

« Ce fut un grand plaisir que de guider un ninja comme toi vers sa reussite. »

« Tout cela est grace a vous, Roga-sensei. Vous avez été le meilleur professeur que jamais je n'aurait meme esperé avoir. »

« Cher élève, veut tu bien m'accorder une derniere faveur ? »

« Bien sur, sensei. Que puis-je faire pour vous. »

« Exécute ta technique ici et maintenant, devant moi. Je veut voir ta reussite. »

« Oui, Roga-sensei ! »

Le grand moment etait finalement arrivé. Sadoruro avait su surmonter les étapes, une a une, et voilà maintenant qu'il arrivait au bout du chemin.
Serait il maintenant assez fort pour y arriver ? Allait il savoir combiner tout ce qu'il avait apprit pour atteindre son but ? Une seule façon de le savoir.

Sadoruro se referma alors sur lui meme. Il vusalisa alors son reseau de chakra avec toute la prescision que son étude lui avait fournit. Il se focalisa alors sur la parti superieur de son corps, sur le haut de la tete, et la, alors, il l'a vit, encore une fois, cette boule de lumiere bleu, qui tronait dans la partie gauche de son esprit. Lentement, il se concentra, il se focalisa sur elle. Et Alors...

Hachimon Tonkou: Daiich ! Kaimon......

Alors il sauta dans la lumiere bleu. Encore une fois, son esprit quitta son lieu de résidence habituel, et fut propulsé dans le centre du reseau de chakra, a deux travers de doigts sous le nombril. Alors, et sans perdre de temps, Sadoruro commenca son ascension.

Puis la douleur le rattrapa. La meme douleur, lancinante, horrible, que la derniere fois. Mais Sadoruro l'acceuillit, l'integra, en fit une partit de lui meme. Et cette fois ci, il continua son ascension, malgré la douleur, car celle ci ne lui brouillait plus l'esprit. Maintenant, et grace a son étude et a son entrainement à sa maitrise, plus que de connaître, il ressentait instinctivement son reseau de chakra. Il connaissait chaque fil qu'il devait emprunter, la, il fallait passer sur les rails a gauche du rein. Il fallait ici commencer a remonter la colone vertebrale. La, ca y etait, il arrivait a la nuque, il fallait alors se diriger vers l'interieur du crane. La douleur devennait de plus en plus forte, de plus en plus intense. Mais Sadoruro resista cette fois ci. Cette fois-ci il ne chuta pas. Il traversa alors les mince fils qui surplombaient, gardant sa tete et ses sensations, et il avanca alors vers la boule bleu qui lui faisait face, jusqu'à cette chose qu'il avait tant recherché. Finalement, il arriva a son bord. Et c'est confiant que Sadoruro s'offrit a elle.

KAAAAAAAAIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!

J'ai fini de lire ton entraînement, il y a beaucoup de fautes et je ne suis pas totalement convaincu par certaines explications notamment au sujet de la foudre et le fait de créer une couche de Chakra pour se protéger la peau du soleil^^'

Bon sinon globalement c'est bon, je vais dire 8Xp pour ton entraînement.

Edit: Tu meurt :s