Mission rang C - Vol

Citation :

¤ Vol ¤
Des brigands ont réussi à s'infiltrer dans le magasin d'arme du village. Etant donné que celui-ci était dépourvu d'alarme car cette dernière était en panne. Vous allez devoir user de tout vos dons d'enquêteur afin de retrouver la piste de ces malfaiteurs. Il n'ont pas pu aller bien loin avec toutes ces armes...
Lieu : Aux alentours du " Magasin du Shinobi "
Spécial : Tuez ces brigands et ramenez le matériel volé

Le tenant du magasin était désespéré, assit sur la devanture de son magasin, la tête entre les mains à fixer le sol comme si ses marchandises allaient rejaillir de terre pour retourner sur leurs étalages. Moujuu Ban et Aoshi Mishima avaient reçu la mission de retrouver les bandits, de les tuer, et de ramener le matériel volé au magasin. SANS OUBLIER LE MOINDRE KUNAÏ !... S'il manquait quelque chose dans les marchandises, ils pouvaient être sûrs qu'ils seraient pendus haut et court peu de temps après !... Nyark !

[ 10 - ( Perception + Psychologie ) essais de recherche avant de trouver un indice. 2 essais par posts. Les deux doivent faire la recherche d'indices, cependant vous pourrez vous arrêter de chercher dès que l'un de vous aura trouvé un indice. ]

Nombre d'Essais : 6
10 - [Perception : 4] = 6


La neutralité. Voilà l'expression caractéristique que l'on aurait pu attribuer à Aoshi quand il arriva devant le magasin du Shinobi... En effet, il devait retrouver toutes les armes qui avaient été volées, sans exception. Le jeune Mishima considérait ce travail comme très ennuyant. Mais le bon côté, qui refaisait pencher la balance, c'est qu'un rude combat les attendait, contre ces cambrioleurs. L'esprit d'Aoshi tergiversa plus sur les stratégies de combat contre des hommes armés jusqu'aux dents que sur la façon de les trouver. Si bien qu'il se retrouva au dépourvu, quand il arriva devant le magasin. Aucune idée ne lui vint immédiatement à l'esprit. Il se contenta de s'approcher du vendeur d'armes, les mains fourrées dans les poches, et de lui dire d'un ton rassurant :

Aoshi - Bonjour, je suis le Chuunin chargé de retrouver votre marchandise. Mon coéquipier ne devrait pas tarder. Bref, ne perdons pas plus de temps, je me mets tout de suite au travail.

Sans prêter attention aux réactions du vendeur, il se dirigea vers la boutique. Soudain il s'arrêta avant de passer la porte. C'est en entendant le sol crisser sous ses chaussures qu'une idée lui vint à l'esprit. Il y avait forcément des traces de pas des voleurs !

[PREMIER ESSAI]
Aoshi s'accroupit donc, et balaya du regard la parcelle de sol de devant l'entrée de la boutique. Il cherchait plutôt les traces de la sortie des voleurs, car chargés comme ils devaient l'être, leurs chaussures, si ils en avaient eu, auraient du s'enfoncer profondément dans le sol. Mais la hache de la déception tomba sur le moral d'Aoshi, le vol ayant eu lieu la veille au soir, le terrain avait été refoulé par les villageois trop curieux... Ce n'était pas une raison valable pour abandonner ! Il pensa soudain que, par un sursaut d'intelligence, les cambrioleurs auraient envisagé l'idée que quelqu'un vienne inspecter l'avant du magasin, de la même façon d'Aoshi. Ce dernier s'éloigna alors du magasin et passa au peigne fin le sol, dans un demi cercle d'environ 6 mètres de rayon autour de la boutique afin d'y trouver un quelconque indice, un quelconque signe pouvant trahir la présence des malfrats.
Cela faisait près d'une demi heure que la main d'Aoshi examinait le sol au peigne fin. Mais trouver une trace de pas ayant porté des armes dans l'Avenue des Shinobis de Kiri tenait d'un acte de folie. Il se résigna donc, et d'un bond se leva, et épousseta ses mains contre son pantalon. De petits nuages de poussière se formèrent pour partir quelques secondes après, emportés par le vent. Au dépit de tous ses efforts, Aoshi sentit quand même le regard méprisant du vendeur dans son dos. Qu'aurait il donné pour qu'un simple Kunai apparaisse sous le sol : Pour lui servir d'indice et pour détruire ce regard désapprobateur dans son dos... Mais la réalité était toute autre. Le Chuunin de Kiri retourna donc vers la boutique, en regardant furtivement autour de lui, si un objet suspect se trouvait dans les environs.

[DEUXIEME ESSAI]
Arrivé devant la façade, il examina la porte. Elle n'avait été ni fracturée, ni enfoncée, ni dégondée ; ce qui laissait prévoir un crochetage de serrure. Il jeta un rapide coup d'œil à l'intérieur du magasin pour voir si quelque chose avait laissé au hasard. Malheureusement, la chance ne lui souriait pas aujourd'hui. Il se pencha donc physiquement, sur le problème de l'effraction. Encore fallait-il qu'il y ait eu effraction. Se doute se révéla inutile quand Aoshi vit l'intérieur de la serrure. Les rayures sur les gonds prouvaient qu'un crochetage avait eu lieu. C'était un crochetage simple, à la portée de n'importe quel ninja, n'importe quel connaisseur. L'absence d'indice irritait et intriguait Aoshi, le coup avait été très bien préparé, et l'absence d'alarme due à une panne était pour le moins étrange. Il s'approcha donc du marchand, se posta en face de lui, et d'une voix peu amicale demanda :

Aoshi - Avez vous déplacé, touché quelque chose après le vol ? Et l'alarme, depuis combien de temps était-elle en panne ?

Aoshi regarda le vendeur dans les yeux, afin de percer tout mystère grâce à ses yeux. Scintillant du diamant, ils ne cessèrent de fixer le boutiquier, pour y déceler une quelconque expression, un quelconque geste suspect. La tension qui animait Aoshi le pousserait peut-être à commettre des erreurs, mais poser des questions à la victime du vol, en exerçant une tension sur lui pourrait se révéler utile. Le Chuunin attendit donc une réponse, qui pourrait peut être mettre un peu de lumière, pour éclaircir ce mystère assombri par ses deux échec d'investigation...

[10-1=9 essais mais j'utilise un point de volonté pour augmenter ma perception donc 7 essais]

Ban revenait de mission, elle avait été éprouvante, mais sans perdre un seul instant il se remis en quête d'aventure.Sa nouvelle mission était de retrouver de la marchandise dérobée aux quartier des commerçant...Pour cette mission il allait être en duo, Aoshi Mishima, d'après les dires, c'était un ninja talentueux, mais Ban ne savait strictement rien de ce mystérieux personnage.
Apres avoir fait des détours dans la ville, il arriva enfin sur le lieux du "crime" , devancé de peu par son équipier.Tout semblait indiquer que le vol eu lieu pendant la nuit, encore une mission qui semblait être banale, mais Ban espérait retrouver ses malfaiteurs afin de les combattre...
Ban entra alors dans la boutique, poussant la lourde porte, d'un pas lent mais assuré il pénétra dans la pièce...

Aoshi Mishima était déjà à l'ouvrage inspectant chaque recoins de la salle, à la recherche d'indice, Ban se présenta alors à lui...
"Yo!...Je suis Moujuu Ban, je crois que l'on va faire équipe...Bien qu'elle est la situation?"

Puis Ban attendis alors la réponse, tout en recherchant également des indices...

Premier essais

Tel un inspecteur de police, le chuunin scrutait attentivement chaque parcelle de la pièce, regardant derrière chaque meuble, essayant de retracer le parcours des voleurs.Ce n'était pas chose facile, lui qui était plus du genre à taper en premier et réfléchir ensuite, devait pour une fois faire marcher ses cellules grises...
Ban recherchait en premier, une empreinte, quelque chose qui pourrait permettre d'établir le profil des malfaiteurs, partant du principe qu'en connaissant son adversaire, il est plus facile de le combattre ou là en l'occurrence de le retrouver....
"Excusez moi, combien y a t-il d'entrée dans votre boutique?.."
Ban recherchait à comprendre la méthode employée par les voleurs, bizarrement aucun signe d'entrée par effraction, la portes était en bonne état...
pendant qu'Aoshi examinait le palier , Ban lui, s'afférait dans l'arrière boutique, là où était stocké les objets dérobés...
Essayer de retrouver des traces dans un endroits pareils était quelques choses de pratiquement impossible....
Ban continua alors ses recherches, une demi-heure plus tard, il retourna dans la piece principal, dépité de n'avoir trouver aucune trace....

"A croire qu'ils étaient invisibles!!!"

Deuxieme essais

Ban décida alors de faire ses recherches du coté de la vitrine centrale...Il était bizarre qu'elle n'eut pas été fracturée, à l'intérieur des objets de grandes valeur était en présentation....
Ban s'approcha alors du gérant, dépité de voir sa précieuse marchandise s'être volatilisée.
"Pouvez vous me faire une liste de tout ce qu'il à été dérobé, et j'aurais également besoin de savoir plusieurs chose...Il me faudrait la liste des personnes travaillant pour vous, et avez vous fait appelle à une ou plusieurs personnes ces temps ci pour réparer des choses...Je dois tout savoir, il faut que je connaisse si des personnes aurait put être en possession d'un double des clefs, ou possédant un plan détaillé de votre magasin!!!!"....

Puis Ban vit Aoshi devant la boutique...
"Quelque chose de ton coté????"
"Je trouve bizarre que personne n'est vu ou entendus la moindre chose?"

Ban avança alors jusqu'aux pres de son coéquipier et il lui glissa à l'oreille....
"Continue d'inspecter les lieux, je vais essayer d'interroger les voisins, peut être qu'avec de la chance nous en apprendrons un peu plus...Le vendeur à l'air vraiment calme...c'est étrange..."

Ban voyait le mal de partout, s'était à son habitude, il était très soupçonneux ....Puis Ban jeta un dernier coup d'œil sur la devanture de la boutique et alla interroger des passants dans la rue....

Une vieille dame marchait, portant de lourds sacs remplis de vivres...Ban s'avança et lui dit...
"Excusez moi, avez-vous entendus quelques chose d'étrange la nuit dernière???"
La vieille femme ne répondit point, laissant Ban sur le carreau, il est vrai qu'il n'était pas doué pour ses choses la...lui s'était plus l'intimidation que le relationnel...Soudain il eu une idée, voulant écarter tout soupçon sur le vendeur il décida de faire preuve d'intimidation justement sur la "victime"...

Ban fonça à toute allure dans les locaux, renversant au passage deux ou trois meuble, il attrapa alors le vendeur, ses yeux était remplis de rage, il souleva alors l'homme et lui dit...
"Je sais tout, c'est toi...tu voulait toucher l'assurance...allé avoue !!!"
Ban secouait le vendeur dans tout les sens, essayant de le faire craquer, pour récolter des aveux...Mais le vendeur répondit en pleurant qu'il n'y était pour rien dans toute cette affaire, terrorisé par le ninja, l'homme commençait à s' uriner dessus...

*Je crois que j'y suis aller un peu fort...*

Puis Ban déposa alors l'homme, le ninja se remis alors dans une course folle, recherchant le moindre indice...La mission risquait d'etre longue, les deux ninjas avaient du pain sur la planche.....

C'est en se relevant, déçu de n'avoir rien trouvé sur la porte qu'Aoshi assista à l'entrée en fanfare de son coéquipier. Un membre du clan Moujuu : sûrement une brute. Il se leva et lui adressa un salut de la tête. Alors le ninja lui adressa la parole alors qu'il entrait dans la boutique.

"Yo!...Je suis Moujuu Ban, je crois que l'on va faire équipe...Bien qu'elle est la situation?"

Aoshi le regarda inspecter pendant un instant. Au vu de sa manière, il était évident que c'était plus un combattant qu'un intellectuel. Dans un soupir il lui répondit calmement, en jetant un coup d'oeil à l'endroit de la boutique où se trouvait son interlocuteur :

Aoshi - Aoshi Mishima, enchanté. J'ai examiné les sol, sur 6 mètres autour de la boutique, et la porte. Aucune effraction de force, la serrure a été crochetée.

Aoshi arrêta alors son inspection et regarda la façon de faire de son équipier. Ce dernier apprit qu'il n'y avait qu'une entrée, il inspecta alors l'arrière boutique, l'endroit où étaient stockées les armes. Le Mishima poursuivit son investigation, cette fois ci, c'est aux étagères qui arboraient les armes avant de se faire vider qu'Aoshi s'intéressa.

[TROISIEME ESSAI]
C'était de simples planches de bois qui reposaient sur des armatures en fer. Classique, banal, pratique. Aoshi passa en revue le premier rayon, probablement le dernier à avoir été dévalisé, si les cambrioleurs étaient organisés. Rapidement il regarda les masses de poussière déplacées, la clarté du bois due aux mouvements des armes. Puis, sans s'arrêter aux autres il marcha rapidement vers la dernière. Là il fit les mêmes relevés. Apparemment cette étagère avait été dévalisée quelques minutes avant celle voisine à la porte. Les cambrioleurs étaient donc organisés. C'est alors qu'Aoshi se mit vraiment à inspecter les étagères de fond en comble. Tous les étages, tous les recoins, tout passa sous le regard critique d'Aoshi. A son horreur, rien n'avait été laissé au hasard. Comme il aurait aimé trouver un quelconque signe, seulement pouvoir crier : "Là un grain de poussière a bougé !" (dédicace à Wazz XD)

Mais le désespoir avait muté sa voix. Après son nouvel échec, il se remit à regarder son coéquipier enquêter. Il avait interrogé une vieille dame, et n'avait obtenu aucune information. Lui aussi trouvait ça étrange que le vol se soit passé dans la plus grande réussite. Soit il y avait un indic' soit c'était des professionnels. Dans les deux cas, il y aurait du sang. Soudain le membre du clan Moujuu courut vers le vendeur en renversant des meubles dans la boutique. Aoshi se redressa et courut vers son coéquipier qui semblait vouloir tuer le vendeur. D'un geste de la main, il le fit lâcher le boutiquier, le regarda dans les yeux, l'intimidant par la profondeur de ses yeux, il finit par lui dire :

Aoshi - Calme toi, il ne sait rien, c'est totalement inutile de le traumatiser de la sorte. En plus tu as peut être fait disparaitre des indices avec tout le bordel que tu as fait... Allez on s'y remet tranquillement, on les trouvera, t'inquiète pas...

Aoshi baissa lentement le bras du Moujuu et aida le boutiquier à retomber sur ses pieds. Il lui tapa sur l'épaule et se dirigea vers l'alarme. Elle était située sur le plafond, en simple boitier, doté d'un haut parleur. Aoshi sauta donc au plafond, injecta du chakra dans ses pieds, et se fixa au plafond.

[QUATRIEME ESSAI]
Alors, il détacha le boitier de l'ensemble et examina la venue de la panne. Le circuit électrique était long mais pas des plus complexes. Le Chuunin regarda d'abord le haut parleur. Ce dernier ne montrait aucun dysfonctionnement. Puis il se concentra sur le détecteur. Là non plus, aucun problème. Aoshi fut donc contraint d'examiner en profondeur l'installation. Perdu au milieu de tous ces fils, il commença à s'énerver. Mais sa tension revint à son seuil normal en voyant qu'un fil était dé-soudé. L'origine de la panne était là. En regardant de plus près le Mishima observa que la soudure avait cédé d'elle même car des petits bouts de poussière pendaient à l'extrémité du fil. Là non plus, rien de manuel ou de volontaire. Pour s'en assurer, Aoshi regarda le boitier qu'il tenait à la main. Les probabilités que la panne soit naturelle se multiplièrent alors... L'alarme avait presque 8 ans...

Il sauta alors du plafond et retomba sur ses pieds, posa le boitier du dispositif sur une étagère dont il avait vérifié l'innocence dans cette affaire au préalable. A court d'idées et l'esprit engourdi par toutes ces réflexions, il sortit de la boutique et contempla le ciel pendant quelques secondes. La brume était moins présentes que les autres jours. Sans se retourner, ni faire voyager son regard, il dit à son coéquipier :

Aoshi - Rien du côté de l'alarme... Au niveau des étagères j'ai vu voir que la dernière à avoir été dévalisée était la plus proche de la porte. Autrement dit, le vide total au niveau des indices. Cette affaire prend une drôle de tournure... Les mecs qui ont fait ça ont bien préparé leur coup.

Aoshi mit ses mains dans ses poches et profita du courant d'air frais qui passait par là. Décidément, cette mission s'avérait plus compliquée que prévu...

Ban reprenait ses esprits, Aoshi devait prendre le Moujuu pour un fou, mais Ban détestait attendre...


Calme toi, il ne sait rien, c'est totalement inutile de le traumatiser de la sorte. En plus tu as peut être fait disparaitre des indices avec tout le bordel que tu as fait... Allez on s'y remet tranquillement, on les trouvera, t'inquiète pas...

Ban sourit, son coéquipier devait etre un homme aimant l'ordre, suivant des règles et ayant un haut niveau de déduction...Ban décida alors de suivre ses conseils, calmement il retourna alors à ses recherches...

*Bon le sol à été examiné, la devanture également, pour ce qui est de l'arrière boutique RAS...Que reste t-il...Pfff cette mission me soul...*

Ban ne savait plus où chercher, il décida alors de réfléchir à la façon de procéder des voleurs, il alla alors s'assoir devant la boutique.Les bras croisés, il essaya de se mettre à la places des voleurs...

*Tout d'abord il n'y à qu'une seule entrée, donnant sur la grande rue, donc ils ont du entrer rapidement pour ne pas être remarqués....Ensuite après être entrés, ils ont directement trouvés ce qu'ils cherchaient, donc ils avaient déjà effectué une reconnaissance, ils savaient où chercher...A mon avis le cambriolage n'a duré pas plus de 20 minutes, nous avons affaires à des pros!!!...Ce qui me tracasse c'est l'absence de traces, j'en déduis alors que soit ils volaient, soit ce sont plus que des brigands ordinaires, de plus ce qui a disparut ne sert que pour le combat...Donc quelque chose se prépare, je ne pense pas que ce soit pour la revente...Un coup d'état?...pfff...Quels sont leur intentions?...Pourquoi ne pas avoir cambriolé directement la réserve d'armes de Kiri, pourquoi s'être attaqué à une petite boutique...Je suis persuadé que le patron nous cache quelque chose....*

Puis Ban se releva, toujours plongé dans ses songes, il entra alors dans l'office, se tenant la tete, il vit Aoshi descendre du plafond...

Rien du côté de l'alarme... Au niveau des étagères j'ai vu voir que la dernière à avoir été dévalisée était la plus proche de la porte. Autrement dit, le vide total au niveau des indices. Cette affaire prend une drôle de tournure... Les mecs qui ont fait ça ont bien préparé leur coup....

[troisième essais]

Ban décida alors d'allé inspecter de nouveau l'arrière boutique, quelque chose semblait échapper à nos deux ninjas...Ban fit signe alors à Aoshi de le rejoindre dans un petit moment....
Ban ouvrit la lourde porte séparant la boutique et la réserve...
Ban sentit alors un vent léger venir caresser son visage ...

*D'où viens cet air....Bizarre*

Ban commença alors à fouiller les multiples étageres, écartant de son passage de lourdes caisses, contenant différents ojets, allant du vulgaire shuriken, aux Katanas...

*Pourquoi n'ont 'ils pas tout pris...Auraient-ils étaient dérangés...?*

Ban cherchait un indice, désespérément, il enchainait des fouilles rapides, passant sa main dans les moindre recoins, espérant trouver un bout de papier, le moindre objet pouvant le conduire à une piste...
soudain sa main sentit quelques choses, rond, mou, Ban saisis l'objet fermement...Tout en retirant sa main de dessous l'étagere il aperçut quelques chose de répugnant...Une crotte de rat...

"Puti.!!!c'est dégueulasse!!"
Il jetta violemment l'excrément contre mur, la "boulette" alla s'écraser contre le mur blanc, enfin maintenant il était crépis ....
Ban avança alors discrètement vers le porte manteau, voyant un tablier, il essuya sa main souillée sur le vêtement....
Puis il retourna à ses investigations, la scène du crime semblait etre dénuée de toutes preuves, ne sachant plus où chercher, Ban attendit patiemment son collègue....

[quatrième essais]

Tout en attendant son "ami" le Moujuu ne resta pas planté pour autant...Il décida de partir à la recherche de la source du vent qu'il avait ressentis...Soudain il eu une idée , il y avait la présence de rongeurs, lui qui était en parfaite harmonie avec les animaux il allait se servir d'eux pour trouver ce qu'il recherchait...Mais avant cela il allait essayer de se débrouiller par lui même...
Ban concentra ses recherches sur les murs, une recherche qui pouvait sembler banale mais qui se révélerait peut être fructueuse...En effet souvent les cambrioleurs creuse des tunnels via les murs pour passer d'un endroit à un autre sans être remarqué, peut être était-il le cas dans cette affaire, peut-être qu'un complice était passé par le bâtiment d'à coté, pour aller ouvrir la porte aux autres brigands, cela paraissait peu plausible, mais on ne sait jamais....
Ban déposa alors son oreille gauche contre la parois de placo-plâtre, et de sa main droite il frappait l'égerment le mur...Essayant de ce fait de trouver une résonance différente...
Frappant sur chaque mètre carrés, Ban ne remarqua point de diférence sonore, ce n'était donc pas cette option là....
Ban ne comprenait pas leur méthode de travail, l'enquete piétinait, mais plus que ça, Ban était persuadé que le patron n'était pas si neutre qu'il voulait le faire croire.....Il y avait trop d'incertitude, trop de chose inexplicable, comment était-ce possible que des cambrioleurs puisse mener à bien une opération comme celle-là sans que personne n'eut rien vu ou entendu...De plus l'alarme...Ce n'était pas normal....Comment les voleurs auraient-ils puent savoir qu'elle était en panne...non...Le patron cachait quelque chose.....mais quoi????

Ban décida alors de regarder le plancher, il était assez vétuste, dénué de vernis, les planches, rongées par le temps avaient une couleur effacées, entre chaque planche, un petit espace, pas assez grand pour que quelqu'un puisse passer cela va de soit, mais bon il fallait inspecter chaque recoins, peut etre que dessous le plancher se trouvait une preuve...

"Aoshi s'il te plait viens m'aider!!!"

cria Ban, il allait demander à son équipier de l'aider à arracher une ou deux planches afin de regarder dessous.....

[personnellement, je pense que le vendeur n'st pas neutre, il y a trop de chose inexplicable, comment les voleurs auraient-ils puent savoir que l'alarme ne marchait pas, ensuite, l'absence de marque sur la porte, même en crochetant une serrure il reste des traces(je sais de quoi je parle j'ai été cambriolé une fois, et la serrure avait été crochetée mais en la crochetant le cambrioleur laisse toujours des traces sur la serrure enfin à l'intérieur il est obligée qu'elle soit rayée....Donc soit c'est le patron qui est derriere tout cela, soit les cambrioleurs ont un rapport direct avec le patron....enfin c'est ma déduction...Aoshi t'en pense quoi, et wazz est-ce que ce que je viens de déclarer est plausible....]

Cela faisait quelques minutes qu'Aoshi était planté sur le seuil de la porte, en attendant qu'une idée lui vienne à l'esprit... Ou qu'un indice lui saute au visage peut-être... Il bougea légèrement sa jambe droite pour se persuader lui même qu'il n'était pas totalement inactif, qu'un fond d'utilité était enfouis en lui. Le Chuunin ferma doucement les yeux, et se perdit dans ses pensées. Mais ce petit rêve ne dura pas, immédiatement il se réveilla, et pivota rapidement sur lui même, le regard sombre. Soudain, il entendit le cri de son coéquipier, Aoshi fonça avec toute sa vitesse à travers le magasin et vit le Moujuu s'essuyer sa main souillée par une quelconque salissure sur un tablier. Le regard d'Aoshi retomba, blasé.

Et voilà que le marchand s'enfuit en courant. Aoshi regarda le commerçant déguerpir à toute vitesse d'un regard méprisant. Dans sa course, il désigna l'alarme avec sa main tremblotante. Aoshi regarda le dispositif avec un air purement in-intéressé. Il avait déjà vérifié cette partie de magasin.

[CINQUIÈME ESSAI]
Vraiment, cette mission prenait une tournure étrange... Mais voilà qu'un nouveau cri se fit entendre. C'était encore Ban qui l'avait poussé, cette fois il demandait de l'aide à Aoshi. D'un pas calme, le Mishima s'avança vers son coéquipier qui semblait être aux prises avec le plancher de la boutique. Aoshi comprit immédiatement que le Moujuu voulait vérifier le sous-sol, en défaisant le plancher. Rapidement, Aoshi s'agenouilla, et tenta de mettre son doigt entre deux planches... Sans succès. Après quatre ou cinq tentatives, il se résigna à penser qu'il n'y arriverait pas de cette façon. Mais, le Chuunin en connaissait une autre... Façon, et il était presque sur qu'elle allait marcher.
Il leva donc le poing au niveau de son épaule, et assena un violent coup sur la planche qui lui résistait depuis quelques temps. Celle ci vola en éclats, répandant des copeaux de bois à un mètre à la ronde. Aoshi ne s'arrêta pas là, il frappa aussi une planche voisine à celle qu'il avait détaché. Puis une autre ! Maintenant, le trou était assez grand pour qu'on puisse regarder ce qu'il y avait dessous. La parcelle de plancher qu'Aoshi avait détruite était heureusement dans la ligne de mire d'un grand rayon de soleil. Mais l'astre ne permettait de constater un sol jonché de poussières, de cadavres de rats, et autres plantes rebelles qui semblaient prendre un malin plaisir à pousser dans ce taudis sombre.
L'espace entre le plancher et le sol même était trop étroit pour laisser passer une personne, qu'elle soit surchargée d'armes ou pas.

Aoshi se releva donc lentement, le regard étonnement profond en cette situation. On y décelait même une lueur d'espoir au fond de ces diamants, dont le dosage en carats n'était aucunement décelable. Le Chuunin, recommençant à arpenter les rayons, dit avec une voix sobre, calme et imposant une raison à son coéquipier :

Aoshi - Décidément, il n'y a vraiment rien à se mettre sous la dent. Mais ce n'est pas un point si négatif, nous trouverons forcément quelque chose d'ici peu.

Et Aoshi ne croyait pas si bien dire... Quelques secondes après, la découverte de cette chose qu'il appelait "indicé" lui rendrait une parcelle de sourire.
C'est donc parmi les étagères atrocement vides qu'Aoshi vagabondait, l'œil affuté. Mais il savait pertinemment que tout ça était d'une inutilité flagrante. Il avait déjà inspecté ces étalages au préalable, sans oublier le moindre centimètre carré. Et quand son regard se posa sur le soleil qui commençait à se coucher devant l'étalage du magasin, éclairant de sa lumière jaunâtre, filtrée par la Brume de Kiri la terre entourant la boutique. Là aussi, Aoshi ressentit une inutilité palpable : il avait déjà inspecté le sol... Et puis son regarda se porta sur une légère pointe cloche brillante au dessus de la porte... L'alarme aussi avait été inspectée ... Le Chuunin s'adossa donc au mur adjacent à la porte du magasin et croisa les bras, troublant le silence par les crissements de son Kimono.

Là, ses yeux se fermèrent lentement, laissant Aoshi à sa réflexion poussée, à sa pensée troublée par cette étrange affaire qui, mis à part l'absence de toutes les armes du Magasin, ne semblait pas avoir existé. Le regard aveuglé par ses paupières closes, il se remémora ce magasin, dans tous ses recoins, et sa pensée lui dicta une phrase décisive :

"Cherche ce que t'as pas inspecté ! Y a forcément quelque chose"

[SIXIÈME ESSAI]
Alors Aoshi ouvrit grand les yeux. Evidemment qu'il y avait quelque chose qu'il n'avait pas inspecté, c'était même flagrant ! Il fit un grand bond et atterrit devant... Le comptoir du magasin. Il ressemblait fortement à un bar, il était fait de bois sombre, orné de quelques décorations, et un bord supérieur large. Pris par l'excitation, il commença à regarder la face extérieure du meuble, rapidement, il remarqua que rien de suspect ne la marquait, il commença donc à se retourner vers le haut, où les clients déposent leurs Ryos au profit de ce magasin... Aoshi passa rapidement ce rebord du regard, et, évidemment il n'y avait rien de suspect... Mais il se reprit soudainement. Il secoua légèrement la tête et reprit ses esprits et son calme habituel. Il avait été emporté par l'impatience et l'excitation, quelle honte, la faculté de garder son calme avait toujours été un grand atout pour Aoshi,et, en ce moment crucial, il l'avait complètement outrepassée pour laisser place à ces réactions furtives...

Le Mishima fit donc le tour du comptoir, d'un pas plus calme, plus posé. Son regard se posa sur la caisse, simple boite métallique fermée à clef, avant d'examiner le bord qui portait cette même caisse. Mais son cœur ne fit qu'un bond. Là, devant lui, juste à côté de la caisse, c'était impossible...
Ses efforts étaient enfin récompensés...
[INDICE TROUVE]
Un couteau étrange s'offrait à sa vue. Enfin quelque chose de concret se dressait dans cette affaire... Enfin... Aoshi s'accroupit et mit ses yeux au niveau de l'arme, pour l'inspecter dans sa totalité. Il était étrangement courbé et la lame était émoussée, voire même effritée à certains endroits. Son manche était simplement circulaire, et fait de bois presque noir, et était entouré de bandes blanches. Aoshi écarquilla les yeux, c'était providentiel, rien ne pouvait mieux les mener aux brigands qu'une de leurs armes personnelles. Il se redressa donc en criant , la voix prise par l'excitation :

Aoshi - Ban viens voir vite !

Sans attendre son coéquipier plus longtemps, il repéra le lieu où le couteau était posé, et commença à le prendre, dans sa main. Mais avant de le tenir, il prit un chiffon présent sur le comptoir et s'en recouvrit la main, au cas où l'arme porterait quelconques marques. Marques qui pourraient s'avérer inutiles compte tenu des informations que lui révèlerait ce couteau. L'arme en main, Aoshi s'avança vers le Moujuu et poursuivit, d'une voix plus calme :

Aoshi - C'est à toi ça ? Parce que je l'ai trouvé sur le comptoir ! Il suffit de l'examiner de près pour qu'il nous conduise directement aux voleurs !

Aoshi avait un demi sourire, il ne voulait pas s'exciter outre mesure, son caractère lui imposait de rester calme. Cependant, ce sourire, rien ni personne ne pouvait lui réprimander, c'était sa fierté, de plisser ses lèvres le haut en signe de victoire. Il attendit donc la réponse de son coéquipier le bras tendu, le couteau en-chiffonné dans sa main.

[J'ai 4 en Persuasion]

Et le voilà qui resurgit, renaissant de l'ombre et courant à l'assaut de l'esprit d'Aoshi. Son grand défaut : l'impatience. En effet, le jeune Mishima ne pouvait rester plus longtemps avec ce couteau dans les mains sans savoir ce que signifiait la présence de cette arme dans le magasin, d'où elle venait !

C'est donc sans concessions qu'il poussa de volée la porte du magasin, qui se plaqua dans un grand fracas contre le mur du magasin. Heureux de ne pas avoir fait de casse, Aoshi courut au milieu de la rue qui longeait le magasin, comme si il attendait quelque chose... Ou quelqu'un. Le tâtonnement de ses jambes sur le sol donne des crissements semblables à des gâteaux qu'on effrite. Et c'est ce bruit qui fit rendre Aoshi son comportement habituel. C'est en voyant le trajet qu'il avait fait, et dans quel état d'excitation il l'avait effectué qu'il se re-saisit, pas question de perdre le contrôle de soi pour un si maigre indice ! Donc, en diminuant ses mouvements frénétiques, il scruta du regard les passants, comme pour en chercher un qui pourrait lui être utile. Une chose pourrait paraître amusante dans cette scène : Malgré son excitation, Aoshi n'a pas bougé les traits de son visage à une seule seconde, il est toujours resté de marbre. De toute évidence, avec sa mine sombre, il espérait croiser un connaisseur en lames.
Le coucher du soleil lui tapait sur les yeux, et il ne pouvait observer correctement qu'un seul côté de la rue, tellement les rayons rasants dépeçaient la brume, lui enlevant sa protection habituelle... Le peu de passants qui défilaient contribuaient au désespoir du Chuunin : une vieille dame, un père de famille, totalement ahuri, un groupes de jeunes filles qui gloussaient à s'en pendre... Tous aussi ridicules les uns que les autres. Mais soudain, alors qu'un rayon de l'astre solaire entamait sa fuite, Aoshi reconnut un homme peu commun dans la rue. Il y prêta le regard et l'attention et reconnut immédiatement un des forgerons du coin, un homme d'âge mur avec qui il lui était déjà arrivé de confectionner quelques armes, sans hésiter, il marcha dans sa direction avec entrain, en le fixant, et en lui adressant un léger signe de la main. Le forgeron reconnut le jeune Mishima, et s'approcha de lui avec un pas convivial. Arrivé à sa hauteur, il lui dit quelques mots de sa voix rauque et amicale. Mais le Chuunin n'y prêta pas une grande attention, il se contenta de le fixer et d'attendre la suite des évènements.
Aoshi sourit au contact de la tape amicale que lui avait dédié le maitre des forges, mais le jeune Mishima abandonna toute idée de manipulation, ou de convivialité, il avait simplement besoin des renseignements à propos de ce couteau, afin de mettre un terme à sa mission. Le Chuunin mit donc sa main sur l'épaule de cet homme, et lui dit d'une voix profonde, calme, rassurante et persuasive :

Aoshi - Salut. Dis, j'ai vraiment besoin de toi et de ton savoir là. Je suis en mission pour Kiri.

Pour toute réponse au regard interrogateur de son interlocuteur, Mishima déploya son bras, et tendit sa main, dévoilant un bout de chiffon qui semblait renfermer quelque chose. Aoshi fixa le regard du forgeron, et lui dit avec la même voix qu'à l'instant :

Aoshi - Je sais que tu n'aimes pas balancer les gens, mais cette fois-ci c'est très important. J'aimerai donc faire appel à ton savoir pour que tu puisses me dire d'où vient ce couteau.

A ce moment, la main libre du Chuunin enleva le chiffon qui recouvrait cette arme, dévoilant une arme peu travaillée, d'apparence grossière.

Aoshi - C'est pour le village que tu dois me le dire, car je suis sur que tu as une idée de sa provenance. Même si elle est minime j'ai vraiment besoin que tu me le dise. Et puis si tu ne veux pas le faire pour Kiri, fais le pour moi, mon ami... N'aie pas peur des représailles, si les gens que tu auras balancé sont ceux que je cherche, crois moi, il ne pourront rien contre toi...

Un petit sourire fendit le visage d'Aoshi, et il savait que le forgeron qui se tenait en face de lui comprenait la pensée du jeune homme. Le Mishima attendit alors une réponse de son interlocuteur, le regard fixé, les pensées troublées et le bras toujours tendu, laissant le couteau à la vue de cet homme, qui allait, avec chance donner une réponse très utile à Aoshi.

Aoshi - C'est pour le village que tu dois me le dire, car je suis sur que tu as une idée de sa provenance. Même si elle est minime j'ai vraiment besoin que tu me le dise. Et puis si tu ne veux pas le faire pour Kiri, fais le pour moi, mon ami... N'aie pas peur des représailles, si les gens que tu auras balancé sont ceux que je cherche, crois moi, il ne pourront rien contre toi...
Forgeron - Mmh... C'est pas du beau boulot. Je ne connais pas grand monde qui vendrait de telles horreurs en toute conscience... Bref ! Je crois, d'après la marque sur cette... chose, que celui qui l'a forgé est Sawamura, un forgeron qui travaille sur le port. Il est connu pour ses créations absolument minables, il aurait été bien meilleur en tant que boulanger qu'en tant que forgeron...

L'homme ne s'étala pas trop en informations, il indiqua la route à suivre pour trouver la forge de ce "Sawamura" et passa son chemin après quelques échanges de politesses. Il ne restait plus qu'à tirer les informations de la part de ce forgeron !...

[désolé pour mon absence wazz en connait la raison....]
Alors que Ban s'évertuait à rechercher une preuve Aoshi décrocha peut etre le gros lots..... Ban viens voir vite !...Ces quelques mots attirerent l'attention du Moujuu qui sans perdre un instant fonça aux cotés de son acolyte....
C'est à toi ça ? Parce que je l'ai trouvé sur le comptoir ! Il suffit de l'examiner de près pour qu'il nous conduise directement aux voleurs !

Ban fit signe de la tete que non...Nos deux ninja étaient maintenant en possession d'une preuve qui allait peut etre les mener sur une piste serieuse...
Puis Aoshi commença alors son investigation, ils leurs fallaient maintenant connaitre la provenance de cette arme blanche....
Aoshi partis donc interroger les passants....Ban connaisait l'origine de cette arme.Il avait eu souvent recours à ce pseudo "forgeron" dans le passé, mais il préfera laisser son équipier s'évertuer à interroger d'autre personnes, car il était probable que Ban se trompe....

Tout en restant en arriere, le Moujuu écoutait Aoshi questionner Mishima...

Aoshi - C'est pour le village que tu dois me le dire, car je suis sur que tu as une idée de sa provenance. Même si elle est minime j'ai vraiment besoin que tu me le dise. Et puis si tu ne veux pas le faire pour Kiri, fais le pour moi, mon ami... N'aie pas peur des représailles, si les gens que tu auras balancé sont ceux que je cherche, crois moi, il ne pourront rien contre toi...
Forgeron - Mmh... C'est pas du beau boulot. Je ne connais pas grand monde qui vendrait de telles horreurs en toute conscience... Bref ! Je crois, d'après la marque sur cette... chose, que celui qui l'a forgé est Sawamura, un forgeron qui travaille sur le port. Il est connu pour ses créations absolument minables, il aurait été bien meilleur en tant que boulanger qu'en tant que forgeron...

Le port!!! Ban était maintenant sur que cette arme provenait du forgeron véreux....

"L'enflure...Il continu donc...."
Ban se retourna alors vers Aoshi, lui qui avait été pour l'instant d'une utilitée désastreuse allait maintenant pouvoir montrer à son équipier la vrai force des Moujuu....

"Aoshi , écoute moi, le forgerons qui à crée cette ame est un homme plein de vice!! Il n'hésitera pas à nous faire tourner en bourrique...Laisse moi l'interrger.....Je le connais un petit peu...."

Ban fit alors signe à Aoshi de le suivre, il fallait maintenant que les eux chuunins se dépeche d'aller au port, afin de ne pas creuser d'éccart entre eux et leur PROIES.....

[désolé pour ce petit post, mais étant donné mon absence , plus trop d'inspiration et un peu perdu dans le déroulement de la mission^^]