Planete Naruto
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 Dans les steppes, Journal de Fuite

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AuteurMessage
Faito Hima
Ragan
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Faito Hima


Nombre de messages : 50
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Clan : Hima
Special : Kugutsu de Clan

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MessageSujet: Dans les steppes, Journal de Fuite   Dans les steppes, Journal de Fuite Icon_minitimeMar 18 Aoû - 22:58

Flash back. Desole si je poste beaucoup, mais je me fais tellement chie...


Journal de Bord

Deux jours. Deux longues journées. Ce n’est que le début de notre calvaire. La purge est violente. Trop violente. Ils nous poursuivent, et s’acharneront sur nous jusqu’à ce que nos corps soient si estropiés que l’on ne nous reconnaisse plus. Il ont faillit nous avoir dans le pays du vent, mais nous avons réussit à prendre la fuite. Depuis, le colonel Jaya et ses sbires veulent notre peau. Mais ne reste il que nous ? Ou sont ils si nombreux à chercher les ninjas qu’ils peuvent se permettre tant de persévérance ?

Le paysage est sublime, mais nous n’avons pas le cœur à l’admirer. Les étranges herbes hautes nous lacèrent les jambes quand nous grimpons les collines. Il nous aurait fallu des chevaux. Nous pensons qu’un peuple vit sur ces terres. Des traces le prouvent. Nous voulons les trouver. Un peuple nomade, sans nul doute. Nous commençons aussi à manquer de vivre. Il n’y a pas grand-chose à avaler, ici. Pour l’eau, il y a quelques petites rivières qui nous la procurent. Dans l’état, nous ne tiendrons pas longtemps, il faut à tout prix rencontrer les indigènes et quémander l’hospitalité.

Nos connaissances nous servent. Survivre dans ce genre de milieu fait parti de nos qualifications de Ninjas. Mais c’est tout de même surhumain. Nous marchons des kilomètres par jour, vers on ne sait quoi. Nous ne sommes dirigés par rien. Juste notre peur. Notre futur flou. On ne sait pas vraiment où nous sommes. Finalement, nous sommes comme morts. Nous ne sommes plus dans la société. Notre autarcie pesante est notre seul référentiel. D’ailleurs, ce journal ne doit son existence qu’à ma solitude, et du besoin d’évasion qu’il créé en moi.

Ce matin, nous avons vu des chevaux, au loin. On ne sait pas trop ce que nous devons en penser. Est-ce Jaya et ses compagnons, bien équipés ? Non. Ces chevaux sont libres, chevauchés par le vent. Mais alors, qui sont ces gens, qui arrivent ? Ils ont de grands bâtons, et regroupent les bêtes. Des Indigènes ! A force de cris, nous les attirons vers nous. Ils se présentent : Ce sont les Rêveurs du Souffle. Il s’agit de membre d’un clan de Nomades. Ils sont d’accord pour nous accueillir, nous planquer, de nous prêter des montures, en échange de notre travail quotidien. C’est une solution idéale, on n’en demandait pas tant.

Nous découvrons le camp, où on nous offre un alcool à base de lait fermenté. Nous arrivons pour le départ. On nous apprend brièvement les bases de la cavalerie, puis il est temps de prendre la route. Nous devons observer, aujourd’hui. C’est imposant, ce troupeaux. Des chèvres, des moutons, et, évidemment, des futurs destriers trop jeunes pour être montés. Une centaine de bêtes, entourés d’une vingtaine d’hommes qui assurent l’ordre dans cette bien étrange caravane. Quand nous nous arrêtons, la nuit tombe. Les grandes tentes sont vite montées, et un bouillon est préparé. C’est infect, mais avec le pain qui l’accompagne, cela nous remplit l’estomac. On nous demande, maintenant, de dormir. Demain, il faudra se lever tôt.

Le soleil se lève, et le réveil est difficile. On m’envoie avec deux autres types à l’Est, pour chercher le bétail. Mes compagnons, eux, vont dans d’autres directions. Les animaux sont en liberté presque totale. Je trouve ça beau. Vraiment. Je suis accompagné par deux types, dont l’un se dit ancien ninja. Il a renoncé à rêver au rétablissement du monde d’avant. Il est maintenant membre du Clan à part entière. Par choix. Il me dit qu’ils sont nombreux, comme lui.

Nous effectuons plusieurs kilomètres, mais nous ne trouvons rien. Mes camarades me disent que les bestiaux ont dû partir ailleurs. Nous retournons au camp. Ils avaient raison. Maintenant, il faut les traire. Pour faire cet alcool de lait. On tue un mouton. On place, avant son exécution, un genre de nappe, pour que le sang n’inonde pas le sol. C’est un rite ici. Le sol, c’est le sol. Ils ont un respect maladif de la terre. Celle-ci, d’ailleurs, est à tout le monde. J’aime cette réflexion.

Après le repas, nous préparons les chevaux à une course. On me convie à y participer. Je refuse poliment, car je ne veux pas humilier le clan de mon manque de talent. Un de mes camarades de fuite accepte, la tête haute. On se dit qu’il n’arrivera à rien, entre nous. Mais les indigènes croient en lui. Je ne comprend pas pourquoi. Mais pourtant, la course débute. Les rivalités ancestrales mettent leur honneur en jeu, et mon ami dit qu’il joue son droit de faire partie des Rêveurs du Souffle. Il est devenu fou. Mais nos hôtes l’acclament. Ils l’accueilleront dans le clan, s’il gagne.

Alors la course commence. On cri, on se bat, physiquement, parfois. Je les vois, sur les chevaux. Il doivent aller jusqu’au pied de la colline et revenir. Une quinzaine de kilomètre. Dodimi, mon compagnon en course prend la troisième place au milieu du parcours. Le premier, alors, chute. Son cheval s’écroule, sa jambe craque entre l’animal et une grosse pierre. Dodimi revient sur le deuxième. Et les voila qui se battent face à la ligne d’arrivée. Pour quelques centimètres, c’est mon ami qui l’emporte. Un cri est poussé par nos hôtes. Il est des leurs. Avec lui, une grande partie de mes autres camarades choisissent de rejoindre le clan. Je décline l’invitation.

Une grande fête est organisée. On y avale du mouton, et de l’alcool de lait, jusqu’à ce que nos estomacs explosent. Une étrange danse traditionnelle nous est apprise, et nous montrons à certains comment lancer un couteau. Cela leurs servira peut être… A la fin, violements avinés, nous rentrons dans la tente pour dormir. Le réveil se fait avant le levé du jour. On nous dispense de la recherche des bêtes, mais nous devons tout ranger, préparer les tentes, les mettre dans une carriole, que l’on accroche à deux étalons. Le colonel Jaya est sur notre piste. Trois amis et moi proposons de nous retirer. Ils n’acceptent que si l’un d’entres eux nous accompagne à cheval jusqu’à la civilisation.

Nous prenons alors la route sur nos montures, faisant nos adieux aux indigènes et à nos anciens camarades. En route pour le Pays de la Foudre ! Adieu Journal ! Je t’enterres dans à la frontière de la civilisation. En espérant qu’un jour, quelqu’un, peut être, te lise !
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